1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 icile à réussir qu’un beau roman : c’est un roman chrétien . Qu’est-ce donc qu’un roman chrétien ? Une histoire où tout le monde
2 est un roman chrétien. Qu’est-ce donc qu’un roman chrétien  ? Une histoire où tout le monde « se conduit bien » ? Il n’y aurait p
3 imiste à la Thomas Hardy a plus de chances d’être chrétien qu’un quelconque happy end soi-disant édifiant, s’il est certain que
4 re courage d’avouer sa dégradation. Un vrai roman chrétien est d’abord réaliste. Car il faut bien connaître la nature et ses abî
2 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
5 e santé civique, de volonté humaine et de liberté chrétienne . Non seulement d’espoir, mais de force. h. Rougemont Denis de, « V
3 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
6 rémonies totalitaires, se déroulent dans un cadre chrétien , immédiatement significatif pour la grande majorité des participants,
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
7 ne font point partie de la doctrine et des dogmes chrétiens . Suárez et les jésuites pensaient différemment, mais c’était il y a t
5 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
8 bles sur nos positions trop variées d’Occidentaux chrétiens ou humanistes, pour affronter la « redoutable dialectique » du parten
6 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
9 omme d’aujourd’hui. (Paragraphe sur « l’éducation chrétienne  », p. 231.) Or, ce Dieu que l’on écrit sans sourciller Ps-Pr-F — comm
10 iques, de « la foi active, fondée sur la doctrine chrétienne , qui a engendré la civilisation occidentale » (p. 209). Je suis bien
7 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
11 pastorale. Ils relèvent de sa fidélité à l’idéal chrétien . Ils sont une prise au sérieux des principes au nom desquels notre Co
8 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
12 epose sur l’héritage gréco-romain et la théologie chrétienne , transmise par des moines au Moyen Âge. On ne peut parler de culture
9 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
13 puise pas moins ses racines dans des motivations chrétiennes . C’est donc par elles que la discussion doit commencer. Et là, deux r
14 Au nom du Dieu Tout-Puissant », entendant le Dieu chrétien , en tête d’une Constitution qui n’est absolument pas chrétienne. Bern
15 tête d’une Constitution qui n’est absolument pas chrétienne . Bernard Béguin. — Est-elle antichrétienne ? Denis de Rougemont. — En
16 e 49, paragraphe 8, on tranche contre la religion chrétienne . Bernard Béguin. — Contre l’interprétation d’un individu… Denis de Ro
17  ? Est-ce que c’est vraiment la même chose d’être chrétien , et d’être civique, et d’être citoyen ? Il y a les lois, mais il y a
18 ple le fait que ce n’est pas la même chose d’être chrétien et d’être citoyen. L’objecteur prend une position particulière pour m
19 cun rôle. Mais pour d’aucuns, il y aurait de bons chrétiens qui ne portent pas les armes, et de mauvais chrétiens qui portent les
20 tiens qui ne portent pas les armes, et de mauvais chrétiens qui portent les armes. Il faut faire très attention quand on aborde c
10 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
21 l n’y a de révolution qu’européenne, c’est-à-dire chrétienne à sa source : le socialiste Henri de Man l’avait bien vu. Vous avez é