1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 rodigieux stupéfiant », tandis que « l’attrait du christianisme est dans l’inquiétude qu’il nous inflige ». « Ils mettent leur âme en
2 e livre se termine par un voyage à Jérusalem : le christianisme n’est-il pas le plus beau don de l’Orient à l’Europe ? Il y a là des
2 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
3 conséquence de finir carrément mal ? Non, car le christianisme se passe dans cette vie ou bien n’est pas du christianisme. Et l’on s
4 isme se passe dans cette vie ou bien n’est pas du christianisme . Et l’on serait en droit de prétendre qu’un roman pessimiste à la Tho
3 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
5 truction toute naturelle des vérités centrales du christianisme  : et je dis bien, de la religion et de l’éthique du Christ des évangi
4 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
6 classique, tous produits de la Grèce, de Rome, du christianisme , de l’influence germanique ou celtique. Ainsi nous avons une communau
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
7 uctures ? Christian Schaller. — Pas forcément. Un christianisme vécu ou un humanisme vécu, peuvent arriver aux mêmes conclusions. Den
8 ose dont le contenu est une autre religion que le christianisme , à savoir la religion civique. C’est la religion stato-nationaliste f
9 civique qui triomphe. Si l’objecteur invoque son christianisme , on lui dira : « Tant pis, c’est le civisme. » Bernard Béguin. — C’es
10 Béguin. — C’est une interprétation personnelle du christianisme face à celui d’une collectivité, qui, elle, a jugé le christianisme c
11 à celui d’une collectivité, qui, elle, a jugé le christianisme compatible avec le service militaire du citoyen. Moyen légal ou fe