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rodigieux stupéfiant », tandis que « l’attrait du
christianisme
est dans l’inquiétude qu’il nous inflige ». « Ils mettent leur âme en
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e livre se termine par un voyage à Jérusalem : le
christianisme
n’est-il pas le plus beau don de l’Orient à l’Europe ? Il y a là des
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conséquence de finir carrément mal ? Non, car le
christianisme
se passe dans cette vie ou bien n’est pas du christianisme. Et l’on s
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isme se passe dans cette vie ou bien n’est pas du
christianisme
. Et l’on serait en droit de prétendre qu’un roman pessimiste à la Tho
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truction toute naturelle des vérités centrales du
christianisme
: et je dis bien, de la religion et de l’éthique du Christ des évangi
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classique, tous produits de la Grèce, de Rome, du
christianisme
, de l’influence germanique ou celtique. Ainsi nous avons une communau
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uctures ? Christian Schaller. — Pas forcément. Un
christianisme
vécu ou un humanisme vécu, peuvent arriver aux mêmes conclusions. Den
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ose dont le contenu est une autre religion que le
christianisme
, à savoir la religion civique. C’est la religion stato-nationaliste f
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civique qui triomphe. Si l’objecteur invoque son
christianisme
, on lui dira : « Tant pis, c’est le civisme. » Bernard Béguin. — C’es
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Béguin. — C’est une interprétation personnelle du
christianisme
face à celui d’une collectivité, qui, elle, a jugé le christianisme c
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à celui d’une collectivité, qui, elle, a jugé le
christianisme
compatible avec le service militaire du citoyen. Moyen légal ou fe