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ans un murmure flatteur, comme on peut le voir au
cinéma
. C’est agréable, pour un écrivain, qu’on croie tout cela… Je doute qu
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s livres, plutôt que sur toute autre distraction,
cinéma
ou meetings sportifs ? D’où vient cette désaffection des grandes mass
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it dans toutes les classes et qu’entretiennent le
cinéma
, la TSF, les illustrés et les hebdomadaires. Je ne nie pas que cela e
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ques pornographies situées dans un grand monde de
cinéma
. Comment veut-on qu’il en soit autrement, quand Proust, Gide ou Valér
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ansant à travers les faisceaux des projecteurs de
cinéma
. De quelque trentième étage, on déroulait d’immenses serpentins blanc
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éralisée et la physique nucléaire, la radio et le
cinéma
, la pénicilline et le DDT, le pétrole synthétique et le radar, la rat