1
icatriser rapidement ses blessures : signe que sa
circulation
est bonne. Si les oppositions politiques les plus violentes laissent
2
s, c’est en grande partie à cause de la constante
circulation
d’idées et d’hommes qui s’est établie dans ce pays entre le gouvernem
3
e gens. Jean Kräyenbühl est notre ingénieur de la
circulation
à Genève. Avant d’être pour ou contre l’automobile, il a l’immense re
4
’urbanisme est en effet au cœur du problème de la
circulation
et des transports. On l’a dit : de plus en plus les gens vont habiter
5
dget de la nation. François Peyrot : On amène une
circulation
moderne dans des villes qui n’étaient pas faites pour la recevoir. Il
6
teline : on aménage des autoroutes pour rendre la
circulation
plus fluide mais on s’aperçoit qu’au moindre départ en vacances les v