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des choses, lucide, avec une sorte d’acharnement,
comme
seul il sait l’être aujourd’hui sans que cela nuise en rien à un don
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eignent pas sur une partie orientale de lui-même,
comme
c’est si souvent le cas, mais bien sur l’Orient. Encore faut-il s’ent
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nt les œuvres des Orientaux. L’intérêt d’un livre
comme
celui-ci est plus dans l’opposition des deux mondes que dans la peint
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ère de comparaison valable qu’entre individus, et
comme
type d’individu européen Robert de Traz ne pouvait trouver mieux que
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éviter la nôtre. » La place me manque pour parler
comme
j’aurais voulu le faire des deux autres parties du volume, d’une impo
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ques toujours un peu stylisées. Il apparaît, ici,
comme
le type du voyageur intelligent, qui n’accepte d’être séduit que pour
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lettres, et tout cela finira bien par s’arranger,
comme
au dernier acte d’une opérette. Ce peuple s’est résigné avec une faci
8
its taxis rouges qui déferlent sur les boulevards
comme
une nuée d’insectes affolés. Les maisons sont basses, couvertes du ha
9
z dîné au paprika chez des gens qui vous ont reçu
comme
un cadeau de Dieu, — c’est leur formule de salutation — vous constate
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hany est une grande artiste. Vous vous êtes levé,
comme
tout le monde, à l’entrée d’un des archiducs. Car ce peuple, seul en
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totalement incompréhensible, rient et s’enivrent
comme
plus un Européen ne sait le faire, et dansent à tout propos de folles
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ont le voyageur s’éprend malgré lui, malgré tout,
comme
d’une passion poétique un peu folle… b. Rougemont Denis de, « Pano
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othèque Rose. Est-ce une histoire qui finit bien,
comme
le croyaient les écrivains anglais du xixe — en conséquence de quoi
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« de toutes croyances ou de toutes incroyances »,
comme
disait Péguy. Et dix fois, en me le rendant, « Je ne vous dirai pas à
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eure je l’ai terminé cette nuit ». — « Des livres
comme
celui-là, ça aide à vivre ! » Tout le charme profond de Selma Lagerlö
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iers du Nord, que d’introduire la durée d’une vie
comme
protagoniste du drame.) Des fragments émouvants du journal de Sara co
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es de la France contemporaine. N’y a-t-il pas là (
comme
disent les étrangers qui ont appris le français dans leur dictionnair
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ches antifascisme, l’Italie et l’Allemagne ayant,
comme
chacun sait, déclaré une guerre sans merci à toutes les formes d’inte
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s, et traversant la vie dans un murmure flatteur,
comme
on peut le voir au cinéma. C’est agréable, pour un écrivain, qu’on cr
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commode très mal de la dispersion de ses efforts.
Comme
, d’autre part, on ne saurait admettre que seules les personnes fortun
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s. Ils se contentent de les flatter. Et aussitôt,
comme
on pouvait le prévoir, le niveau baisse… Les moralistes se récrient e
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ublicité et de la littérature faite sur commande,
comme
s’il ne s’agissait vraiment que de commerce, d’épicerie, de macaronis
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t-on si peu ? Pourquoi, en temps de crise, a-t-on
comme
premier réflexe d’économiser sur les livres, plutôt que sur toute aut
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nte, semble-t-il, que l’enjeu en est plus confus,
comme
il arrive souvent dans les luttes politiques. Roosevelt représente le
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reuses, de la passion politique, sont considérées
comme
des tricheries regrettables, dénotant un manque d’éducation civique t
26
sse, à peu d’exceptions près, soutienne Willkie —
comme
elle soutint Landon il y a quatre ans — l’information reste impartial
27
re éloquence : « Je désire Willkie (ou Roosevelt)
comme
président. » Tout cela paraît, dans l’ensemble, gentil, un peu puéril
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émocratie », dans ce pays, n’est pas un terme usé
comme
il l’était en France, mais un synonyme de santé civique, de volonté h
29
ues environnantes et revenait submerger le square
comme
une marée de joie. Je n’oublierai pas le bonheur brillant dans tous c
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bolchévisme ! » Cette dame s’occupe aujourd’hui,
comme
toutes ses pareilles, à réunir des conserves, mais pour l’Angleterre,
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ses compétences, qu’on lui « donnera sa chance »,
comme
ils disent. Cet esprit de participation exerce une influence excellen
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at). Je me bornerai pour aujourd’hui à la décrire
comme
un fait, un grand fait qui mérite d’être connu et médité en Suisse, d
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emaine de recueillement. Le choix de lord Halifax
comme
ambassadeur aux États-Unis est particulièrement approuvé, parce que,
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s’y poser. Rien ne donne une idée de l’immobilité
comme
ce vol sans repères en plein ciel, à 130 mètres à la seconde, sans vi
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s-mille mètres plus bas paraît une surface bleue,
comme
un papier grenu ponctué de défauts blancs. Un petit fuseau clair y tr
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onnaissez des chambres libres, faites-moi signe. (
Comme
les Américains paraissent bizarres, ici ! Comme ils se mettent immédi
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(Comme les Américains paraissent bizarres, ici !
Comme
ils se mettent immédiatement à ressembler à ce que l’on pense d’eux e
38
cet au revoir en juin 40, qui sonnait malgré moi
comme
un adieu… Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon
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daine de cris menus et de sifflets de tous côtés,
comme
les premières gouttes d’une averse, ce sont bien des oiseaux ! Dans u
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amis intacts, et dont l’amitié seule avait fleuri
comme
un bon vin. Et j’ai feuilleté des éditions si belles qu’on se demande
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ais sans tristesse. Ce fut une glorieuse journée,
comme
disent les Anglo-Saxons, pensant au temps qu’il fait, tout simplement
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nt. Nous ne pourrons plus faire signe aux cygnes,
comme
dit l’intact Pierre Girard, mais l’idée d’une Ligue des Nations a sur
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s à de nombreux voyages. La SDN ressemble à l’ONU
comme
le négatif d’un cliché au positif de la photo que l’on va proposer à
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s ! Mais qu’importe. Notre idée se « développe »,
comme
on le dit en photographie. Nous partons pour une Ligue meilleure. Et,
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e milliers de militants fédéralistes, qui pensent
comme
des millions que le temps presse, et que les lenteurs de l’Assemblée,
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vite par doctrine, par manie ou par tempérament,
comme
nous le reprochent certains qui, par principe ceux-là, ont décidé une
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trouve cela « prématuré » (je m’excuse de parler
comme
un ministre). Car vous ne vous êtes, jusqu’ici, engagés dans rien que
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fice inachevé. Mais si quelques-uns d’entre vous,
comme
je le crois, sont fédéralistes, qu’ils le disent, qu’ils proclament l
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aucune de nos terres, dans aucun de nos peuples,
comme
à rien de ce qui forme l’héritage deux fois millénaire de nos fils. V
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être appelé une création européenne. Pour le bien
comme
pour le mal, d’ailleurs, il imite à la fois nos mœurs et nos objets,
51
ous les adversaires de l’Europe méritent d’écrire
comme
M. Hugh Dalton. Je vois bien qu’il se dit partisan d’un peu d’union t
52
l fondé sur la majorité « doivent être considérés
comme
les ennemis les plus dangereux de l’unité européenne », — d’où le ref
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tion-vente. « Il commande des maisons à son maçon
comme
d’autres commandent une paire de souliers à un cordonnier », disent l
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individu, dans ces temps que l’on nous a décrits
comme
adversaires des libertés réelles ! Enfin, Voltaire libère ses vassaux
55
t coutume de se référer aux maximes du Federalist
comme
à une sorte de jurisprudence des problèmes institutionnels. Or, voici
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tance : Le monde peut être divisé politiquement,
comme
géographiquement, en quatre parties dont chacune a des intérêts disti
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si longtemps conservée l’a disposée à se regarder
comme
la maîtresse de l’Univers, et à croire le reste du genre humain créé
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humain créé pour son utilité. Des hommes, admirés
comme
de grands philosophes, ont positivement attribué à ses habitants une
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sité de notre union, dénoncée par les communistes
comme
une idée américaine. En affirmant le principe de la non-ingérence dan
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i d’une théorie, donc d’un fait de culture ; mais
comme
il n’était pas question d’en discuter, ce fut la force qui trancha. L
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que s’en vont ceux qui parlent pour les Russes —
comme
aujourd’hui Joukov va vers Eisenhower. Et ils viendront demain vers u
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tion sans merci, vigilante, obstinée, sans éclat,
comme
il convient à la repentance active. Nous devons tout d’abord faire l’
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transcende. Et la foi, qui « se porte sur Dieu »
comme
sur le fondement de notre lien au monde. Et la Grâce, « réponse du mo
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encore que le sens de quelques-uns d’entre eux —
comme
l’Arbre de Vie de la Genèse — se voient interprétés dans la logique d
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la mort et la résurrection du Christ interprétées
comme
promesses d’une vie future, et par là même, dit Ansermet, abandonnant
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ce Dieu que l’on écrit sans sourciller Ps-Pr-F —
comme
l’énergie s’écrit mc2 dans la célèbre équation d’Einstein — voici qu’
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d’Europe, essentiellement, parce qu’elle est née,
comme
tous nos arts, sciences et techniques, de « la foi active, fondée sur
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te que la Genève de Calvin l’eût accusé de parler
comme
un athée, puisqu’il nie le Dieu personnel. Et toute une école d’aujou
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fondements moraux et politiques. Des jeunes gens
comme
René Bugnot, moralement exigeants, civiquement alertés, préoccupés de
70
otre civisme, ne font leur service que pour faire
comme
les autres ? Où sont en vérité les meilleurs Suisses ? Quelles sont l
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à éloigner de la solidarité nationale des hommes
comme
Denis de Rougemont, qui ne sont pas eux-mêmes objecteurs, qui ne sont
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el il nuançait les termes de ce qu’il considérait
comme
une alternative de la part de Denis de Rougemont. Celui-ci répond auj
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nationalisme au xixe siècle. En peinture, voyez
comme
l’École de Paris est peu française en vérité : Picasso, Chagall, Modi
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se aux tâches nouvelles qui seraient à accomplir.
Comme
disent les Américains : « It doesn’t work », ça ne fonctionne pas, ça
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ent, je ne crois pas que les civilisations soient
comme
les plantes, qui poussent, donnent des fruits, fanent et meurent. Heg
76
taines de ses tendances qui prennent les machines
comme
paravent. L’homme n’est pas esclave de sa voiture, il est esclave de
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elles, des modèles efficaces pour la sensibilité.
Comme
l’ont fait la statuaire grecque avec ses dieux à formes humaines, l’a
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u qu’on y réfléchisse : « Tu aimeras ton prochain
comme
toi-même. » ag. Rougemont Denis de, « [Entretien] Non, notre civil
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tre les devoirs civiques et ce que l’on considère
comme
ses devoirs religieux, ce sont les devoirs civiques qui l’emportent.
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grave préjudice financier. Je les considère tous
comme
des honnêtes gens. Ils viennent devant nous pour des fautes de discip
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nous pour des fautes de discipline. Condamnés
comme
des hérétiques ? Christian Schaller. — À la limite, on pourrait ét
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ui définit l’honnêteté. Vous pouvez le considérer
comme
arbitraire, mais il existe. Et d’autre part nous avons une Constituti
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0, le Code militaire n’autorise plus de prononcer
comme
peine accessoire la privation des droits civiques, à l’encontre des o
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cas de l’objecteur de conscience, on le condamne
comme
un hérétique, uniquement parce qu’on a enregistré le fait qu’il était
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tances atténuantes ou exculpantes, il sera — tout
comme
un meurtrier devant un tribunal pénal — très peu condamné ou acquitté
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cherchent la condamnation. Denis de Rougemont. —
Comme
les hérétiques. Les civils plus intolérants que l’armée Colonel
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ne faut pas confondre objection et non-violence,
comme
il ne faut pas confondre soldat et militarisme. Mais si l’on discute
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peut plus raisonner au temps de la bombe atomique
comme
au temps de Morgarten. On peut dire — je l’ai entendu dire par des of
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savez qu’en France un objecteur doit se déclarer
comme
tel au recrutement, et qu’il ne peut assumer par la suite aucune char
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en serions ravis. Mais si je me pose la question
comme
citoyen — et je suis reconnaissant aux objecteurs de la faire poser —
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ées, idéologiquement, pendant la dernière guerre,
comme
le bombardement de Dresde… Christian Schaller. — On peut précisément
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si on peut toujours se référer à notre neutralité
comme
à une espèce de privilège, et s’il ne faut pas dire aussi : Neutralit
93
es justes proportions : L’Amour et l’Occident ,
Comme
toi-même (ou Les Mythes de l’amour en livre de poche), un chapitre d
94
’exemple privilégié reste le couple. Votre livre
Comme
toi-même (ou Les Mythes de l’amour) s’inscrit dans le prolongement d
95
t l’Occident je soulignais les contrastes, dans
Comme
toi-même , je cherche les complémentarités. Il n’y a pas mutation, ma
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sorte de dépréciation de l’amour-passion compris
comme
amour-possession de l’autre. Certains vont jusqu’à penser qu’« il fau
97
mes yeux et les statistiques. Le fait qu’un livre
comme
Love Story ait été tiré à plusieurs millions montre une persistance t
98
te que l’amour-passion est une maladie de l’amour
comme
la drogue et l’alcoolisme sont des maladies de l’imagination ou plutô
99
William Reich. Quant à l’érotisme, que je définis
comme
« l’usage non procréateur du sexe » — j’y vois un mécanisme de défens
100
tique. Et nul besoin de philosopher à son propos,
comme
l’a fait avec tant de talent Georges Bataille. Fasciné par la problém
101
n Asie-amour. Je laisse de grands auteurs d’Asie,
comme
Suzuki, le « pape du zen » japonais, ou Raja Rao, le romancier hindou
102
c’est que je la considère — son titre l’indique —
comme
une histoire de fous, susceptible de nous conduire à de véritables dé
103
’est clair que l’on peut mentionner des avantages
comme
des inconvénients. L’important est de savoir si le bilan est positif
104
-uns des côtés négatifs. Il ne s’agit nullement —
comme
on voudrait nous le faire croire dans certains milieux — d’être pour
105
ujourd’hui ont appris à se servir de leur voiture
comme
d’un instrument de travail. Ils ont été s’installer à la campagne et
106
t que celui de la voiture. Car de cette dernière,
comme
de n’importe quel objet, vous pouvez en faire une bonne ou une mauvai
107
n état de confusion. Jacob Roffler : Je considère
comme
essentielle cette prise de conscience de la menace qui pèse sur la dé
108
t amener la population à une prise de conscience.
Comme
vous le savez, chaque année, le nombre de voitures augmente ; donc il
109
finalement assez dangereux et bêtes — des jouets
comme
la bombe ou d’une manière plus modeste l’automobile. Car même en les
110
80)ao ap Dans ma jeunesse, j’ai longtemps joué
comme
gardien de but dans les équipes de football du gymnase puis de l’Univ
111
squ’à m’envoyer une photo où on le voyait habillé
comme
un gardien de but, en train de bloquer un ballon. Au dos de celle-ci,
112
recevoir des lettres de celui que je considérais
comme
un merveilleux écrivain. Mes débuts littéraires ont donc coïncidé ave
113
clairement que le fait que Moscou ait été choisi
comme
siège des JO est un témoignage d’admiration du monde entier à l’égard
114
il écrase ses adversaires, dicte sa loi », un peu
comme
si les grands sportifs imposaient leurs volontés les plus arbitraires
115
ives ont donc l’air de glorifier d’affreux tyrans
comme
on en a plus vu depuis Gengis Khan. Et tout cela fait bien entendu ré
116
une vraie morale du sport telle que je l’admirais
comme
adolescent dans les premiers livres de Montherlant ? ao. Rougemont
117
Mes amis et Nerval (9 octobre 1982)aq ar
Comme
chaque année, je suis parti en vacances avec une pleine valise de man
118
is des mois, et livres qui m’aident à travailler,
comme
la série des petits volumes d’Après l’exil de Hugo et de Tel quel de
119
tre Grand Prix vous tranchez en faveur de l’essai
comme
genre légitime de la littérature. Mais il y a plus grave encore dans
120
de ce temps, face auxquels il prend position, ou
comme
on le dit, dès ce temps-là, « s’engage ». Rendons leur place aux es
121
s doute Racine. Mais toute loi souffre exception,
comme
toute préférence quelque injustice. Le style d’un écrivain, sa maîtri
122
l’Italie fasciste. Ils allaient lancer des revues
comme
Esprit , L’Ordre nouveau et Hic et Nunc à Paris, à la fondation
123
e. Au pain et à l’eau Car la guerre arriva,
comme
prévu, nous dispersant dans nos pays et leurs armées parfois ennemies
124
t de mettre en danger la sécurité de la Suisse »,
comme
on me le précisa. En suite de quoi, je me vis gentiment poussé à part