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tre les sollicitations vulgaires des distractions
commerciales
? Les écrivains ne portent-ils pas une part de responsabilité ? Car,
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s le champ devient libre pour une « littérature »
commerciale
qui, elle, ne sera soucieuse que de plaire à bon compte, c’est-à-dire
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ximité. » J’achète un guide de quartier, d’aspect
commercial
. Une page y est réservée aux lieux de culte. En tête : « Préservez vo
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se, point de liberté d’établissement ou d’échange
commercial
entre cantons, point d’unité monétaire, point de représentation des p
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on définie par les échanges de biens industriels,
commerciaux
, et de services, dont l’aire ne recouvre ni celle de la région de mai
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’un trafic trop intense, en particulier du trafic
commercial
des poids lourds et du trafic nocturne de transit. Alors d’un côté on
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vous avez de plus en plus aujourd’hui des centres
commerciaux
où l’on peut garer en sous-sol ? J’émets donc un doute sur cette poli
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qui risque de créer une dévitalisation du centre
commercial
de la ville. Jacob Roffler : Si beaucoup de personnes désirent aller