1 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
1 cherche réellement à les résoudre dans l’intérêt commun , — et non pas à répéter à tout propos le credo trop connu d’un parti.
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
2 int de représentation des peuples. Un seul organe commun , la Diète, sorte de Comité des ministres, composé de plénipotentiaire
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
3 gna Charta et du Pacte du Grütli, de l’esprit des communes , des états généraux, et du Serment du Jeu de Paume… Ce grand passé, M
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
4 is et même les Irlandais, pensent de ces origines communes … Le point de vue politique des Dominions n’est pas celui de l’auteur
5 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
5 leurer à l’envi. Paul Claudel, informé par un ami commun de ce que j’habite à Ferney : « Est-ce que Voltaire ne vient pas lui
6 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
6 partir du moment où ils disposeraient de l’armée commune sans laquelle toute neutralité reste illusoire. L’Amérique n’aurait r
7 entente entre les hommes, je veux dire un langage commun . On a reconnu l’expression qui revient par deux fois, fortement souli
8 mot : causons ! D’où l’accent mis sur le langage commun . Il existe en fait deux moyens d’instaurer un langage commun. Le prem
9 existe en fait deux moyens d’instaurer un langage commun . Le premier est la force brutale : c’est le vainqueur qui impose à to
10 i trancha. Le second moyen d’instaurer un langage commun , c’est le dialogue. Or un dialogue réel suppose deux conditions. Il s
11 res préjugés et attitudes, en vue d’une recherche commune — autrement l’on n’aurait qu’une suite de monologues. Or ces deux con
7 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
12 du monde, et suppose une foi dans leur fondement commun , « fondement de l’être dans le monde, à savoir Dieu ». Ces derniers m
13 nt pas l’objet d’un problème, mais « le fondement commun du monde et de notre existence dans le monde », la question de savoir
8 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
14 al et ne le comprend pas toujours ? Nous avons en commun le souci du bien public et cherchons à le servir chacun à sa manière.
9 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
15 particulières de la littérature par exemple, sont communes à tous les Européens. Vous trouvez dans toute l’Europe des romans, de
16 ors de l’Europe. Les grandes écoles d’art ont été communes à tous nos pays, l’art roman, le gothique, le baroque, le classique,
10 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
17 s motifs de conscience. Les questions posées sont communes à beaucoup d’objecteurs et dépassent le cadre strictement religieux.
18 Dénéréaz. — Dans les conseils de nos plus petites communes , chaque séance débute en plaçant cette réunion d’une cinquantaine de
19 pressifs se purgent avec des prisonniers de droit commun  ? Colonel Vaucher. — Absolument pas. Les arrêts répressifs des object
20 mois à Saint-Antoine, qui est une prison de droit commun . Colonel Vaucher. — Nous ne sommes pas chargés de l’exécution. Ce son
21 tes gens et à les mettre dans une prison de droit commun . Colonel Vaucher. — Les tribunaux militaires jugent en majorité des h
11 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
22 par rapport à l’Union soviétique, il n’y a aucune commune mesure : 0,5 % de la population en URSS, 50 % aux USA. Dès que vous c
23 ont pour accroître l’importance des transports en commun , d’autres au contraire pour favoriser la liberté du trafic, tout est
24 oligarchie. Mais la démocratie part d’en bas, des communes . Notre fédéralisme suisse et fondé sur les communes. Les trois commun
25 mmunes. Notre fédéralisme suisse et fondé sur les communes . Les trois communes autour du Gothard. Il s’agissait de communes et n
26 lisme suisse et fondé sur les communes. Les trois communes autour du Gothard. Il s’agissait de communes et non pas de corps cons
27 rois communes autour du Gothard. Il s’agissait de communes et non pas de corps constitués. Car ces derniers ne sont nullement de
28 espace en faveur des piétons et des transports en commun . Hubert de Senarclens : Pourtant en ce qui concerne les transports en
29 s : Pourtant en ce qui concerne les transports en commun , l’État n’a pas été particulièrement rapide ! Jean Kräyenbühl : Il se
30 d sur le rôle que doivent jouer les transports en commun , notamment dans les zones densément peuplées où la voiture ne devrait
31 éhicule individuel pour prendre les transports en commun . Denis de Rougemont : Vous me rappelez ce que disait Alfred Sauvy dan
32 e l’agora jusqu’au forum romain et aux places des communes au Moyen Âge qui ont joué un rôle si important. Voilà encore un certa
12 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
33 dhon, cette fois-ci, d’une société fondée sur les communes , s’associant en régions pour les tâches qui dépassent leur compétence