1 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
1 u moins masochiste de notre Europe. Mais surtout, condamner radicalement presque toute la musique contemporaine au nom d’une théo
2 1968, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont nous écrit (6-7 juillet 1968)
2 e jours de forteresse auxquels le Général m’avait condamné en juin pour un article sur l’entrée d’Hitler à Paris. Soyons précis 
3 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
3 n fait M. Bugnot. Mais il y a loin de contester à condamner et à flétrir publiquement. Si nous nous moquons de ces idéaux, ou si
4 t. Si nous nous moquons de ces idéaux, ou si nous condamnons à la prison ceux qui se réclament en toute conscience, qu’aurons-nous
5 ée de son idéal, j’entends une société capable de condamner par une application routinière de ses lois ceux qui commettent la fau
6 roit formel. Dans ces conditions, pourquoi ne pas condamner « pour la forme », en saisissant l’occasion de dénoncer — parce qu’el
7 rnier, le tribunal militaire de la 1re Division a condamné le jeune René Bugnot, pour avoir refusé, pour la seconde fois, de se
4 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
8 ortie de la bourgeoisie. Le communisme a toujours condamné l’avant-garde et ne cesse encore de le faire. C’est uniquement l’avan
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
9 — Cela veut dire, en fait, qu’un garçon de 20 ans condamné pour objection de conscience — vous avez dit que c’est un honnête hom
10 tion suffisante. Alors, l’objecteur est forcément condamné , puisque les conditions objectives d’une infraction (art. 81 du Code
11 i j’avais de l’estime, parce qu’il avait déjà été condamné une fois, et que les choses semblaient se présenter de telle manière
12 senter de telle manière qu’il serait certainement condamné une seconde fois à la même peine ou à une peine plus forte, puisqu’il
13 , dans le cas de l’objecteur de conscience, on le condamne comme un hérétique, uniquement parce qu’on a enregistré le fait qu’il
14 un meurtrier devant un tribunal pénal — très peu condamné ou acquitté. Christian Schaller. — Acquitté ? Colonel Vaucher. — Mais
15 it en rapport avec leurs principes. Enfin nous ne condamnons pas perpétuellement. Autrefois, il arrivait que l’on prononce trois c