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uer ici dans le choix qu’est en train de faire le
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électoral américain. Qu’on ne s’y trompe pas : le parti proallemand e
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rois quarts. Pratiquement : le veto paralysant un
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consultatif aux compétences douteuses et jalousement restreintes ; le
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ure, dans mon village. Mais ce n’est pas ce petit
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maigre, et ce rire édenté de vieillard polisson qui le rendent présen
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us dites, M. Peyrot, que la démocratie dépend des
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constitués, vous parliez d’oligarchie. Mais la démocratie part d’en b
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Gothard. Il s’agissait de communes et non pas de
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constitués. Car ces derniers ne sont nullement de droit divin ! Franç
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arler de cette Europe qui lui « tient au cœur, au
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et à l’âme » et de réaffirmer avec force sa foi en un avenir qui sera