1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
1 emier article, a notablement empiré du fait de la crise générale. Et cela pour des raisons d’ordre technique dont le lecteur
2 question : celui du contrat d’édition. Depuis la crise , plusieurs éditeurs ont eu recours à l’expédient suivant. Lorsqu’un j
3 r. Pourquoi lit-on si peu ? Pourquoi, en temps de crise , a-t-on comme premier réflexe d’économiser sur les livres, plutôt que
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
4 e rend pas compte de l’importance réelle de cette crise , à qui la faute, disions-nous ? Au public ou aux écrivains ? On objec
3 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
5 lus délicats que les sens de l’homme. Cette belle crise radio-poétique s’étant heureusement dénouée dans les hauteurs du ciel
6 itié. Je les décourage d’aller chercher ailleurs. Crise des logements. — Est-ce que Paris a été bombardé ? me demandent-ils n
4 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
7 mbre à louer pour plus d’une nuit. Paradoxe de la crise des logements ! Mais qu’importe. Notre idée se « développe », comme o
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
8 guerre aujourd’hui. Bernard Béguin. — Les grandes crises de conscience sur la guerre que nous avons vécues et que notre jeunes
6 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
9 rticulièrement dans ce rôle, c’était le moment de crise où je devais intervenir ; cet instant presque lyrique, d’une gravité