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emier article, a notablement empiré du fait de la
crise
générale. Et cela pour des raisons d’ordre technique dont le lecteur
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question : celui du contrat d’édition. Depuis la
crise
, plusieurs éditeurs ont eu recours à l’expédient suivant. Lorsqu’un j
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r. Pourquoi lit-on si peu ? Pourquoi, en temps de
crise
, a-t-on comme premier réflexe d’économiser sur les livres, plutôt que
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e rend pas compte de l’importance réelle de cette
crise
, à qui la faute, disions-nous ? Au public ou aux écrivains ? On objec
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lus délicats que les sens de l’homme. Cette belle
crise
radio-poétique s’étant heureusement dénouée dans les hauteurs du ciel
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itié. Je les décourage d’aller chercher ailleurs.
Crise
des logements. — Est-ce que Paris a été bombardé ? me demandent-ils n
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mbre à louer pour plus d’une nuit. Paradoxe de la
crise
des logements ! Mais qu’importe. Notre idée se « développe », comme o
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guerre aujourd’hui. Bernard Béguin. — Les grandes
crises
de conscience sur la guerre que nous avons vécues et que notre jeunes
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rticulièrement dans ce rôle, c’était le moment de
crise
où je devais intervenir ; cet instant presque lyrique, d’une gravité