1 s, d’ailleurs, que l’attitude presque constamment critique de M. de Traz diminue l’intérêt vivant de son livre : cette impartial

2 igue, paraît-il. « Achetez français », disent les critiques , à l’instar de l’affiche (dont il faut regretter qu’elle soit elle-mê

3 ns — l’information reste impartiale et le ton des critiques objectif. Un grand magazine publiait l’autre semaine deux articles en

4 . Mais la caricature veut ces déformations, si la critique honnête les réprouve. Tout autre chose est d’affirmer que j’ai « jeté

5 c’est-à-dire déserté, peu de jours auparavant. Un critique qui l’en accuserait, à ce moment-là, serait requis de s’en expliquer

6 . C’est un homme sérieux et ouvert, doué d’esprit critique mais capable de s’enthousiasmer autant que de s’indigner. Les motifs

7 alité première du bon citoyen, et je pense que la critique des lois fait partie intégrante des qualités du civisme. Nous avons v

8 le. Car on pourrait adresser exactement les mêmes critiques à d’autres produits, dans d’autres secteurs. Pourquoi ne retenir que

9 s. Moi ce qui me frappe, M. de Rougemont, dans la critique que vous faites du système en général c’est que vous insistez beaucou

10 — j’avais alors un peu plus de 17 ans — était une critique d’un livre de Montherlant intitulé Le Paradis à l’ombre des épées et

11 cle romantique, le grand public et la plupart des critiques semblent penser que la littérature c’est poésie, roman, théâtre, et c