1 ne peuvent plus l’être. Ils ont eux aussi à « se défendre  ». Naguère encore, ils se faisaient un point d’honneur de découvrir e

2 vient cette paresse ? D’où vient que le public se défende aussi mal contre les sollicitations vulgaires des distractions commer

3 vues depuis quelques décennies ? Qui donc ose les défendre ouvertement, à part nos staliniens sur l’ordre du Kremlin ? Et commen

4 ur des masses, aucune armée du monde ne pourra la défendre . Personne ne veut mourir, que pour des raisons de vivre. Mozart n’en

5 tre Confédération s’est formée et qu’elle prétend défendre  : le respect du prochain et de sa différence, la liberté de jugement

6 ment en toute conscience, qu’aurons-nous encore à défendre en Suisse, à part les « beautés de la nature » et des entreprises don

7 de la Suisse, pays où il est le plus difficile de défendre l’armée, le plus difficile de se dire objecteur, donc le plus courage

8 st qu’on a le sentiment qu’il vise l’appareil qui défendra les institutions. Ce que l’objecteur nous explique mal quand il veut

9 ire que simplement assurer notre prospérité et la défendre par nos moyens traditionnels ? Est-ce que la Suisse, c’est uniquement

10 , à moi militaire ! Mais que voulons-nous faire ? défendre notre pays, c’est tout. Le général Guisan l’a magnifiquement exprimé,

11 Suisse ? Nous ne voulons de mal à personne, sinon défendre ce que nous avons reçu. » Colonel Vaucher. — Sur le plan de la justic

12 es coins du monde. Nous ne pouvons pas simplement défendre les frontières du passé sans tenir compte du fait que nos frontières

13 aux yeux de l’amour exigeant le mystère le mieux défendu , Éros et Agapè ne pourraient-ils pas nouer une alliance paradoxale, a