1 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
1 la tête, mais ces manifestations somme toute peu dangereuses , de la passion politique, sont considérées comme des tricheries regre
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
2 e qui peut vous faire peur, ce qui peut être plus dangereux que l’inaction totale où vous glissez, plus utopique que le maintien
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
3 oivent être considérés comme les ennemis les plus dangereux de l’unité européenne », — d’où le refus de toute autorité politique
4 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
4 dire que j’allais l’oublier : la bombe n’est pas dangereuse du tout. C’est un objet. Si vous la laissez tranquille dans sa caisse
5 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
5 ont jamais responsables de nos crimes. Ce qui est dangereux c’est l’homme. La bombe atomique seule n’est pas dangereuse. Mais le
6 c’est l’homme. La bombe atomique seule n’est pas dangereuse . Mais le risque apparaît lorsque vous donnez aux hommes tels qu’ils s
7 ez aux hommes tels qu’ils sont — finalement assez dangereux et bêtes — des jouets comme la bombe ou d’une manière plus modeste l’