1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 es « païens », d’un Thomas Hardy, par exemple, se devaient en conséquence de finir carrément mal ? Non, car le christianisme se
2 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
2 , mais non pas entrer dans le terrain. Et l’on se doit d’applaudir également les points marqués par l’un et l’autre des adve
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
3 d’entre vous le rappelait récemment : le premier devoir de l’obstacle, c’est de se laisser vaincre. Votre Comité des ministre
4 tre Comité des ministres néglige donc son premier devoir . À qui la faute ? L’opinion, sur ce point, entretient des soupçons qu
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
5 pions d’un régime fédéral fondé sur la majorité «  doivent être considérés comme les ennemis les plus dangereux de l’unité europ
5 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
6 e décidèrent que leur simple alliance confédérale devait être remplacée par une fédération. Un projet de Constitution fut voté
7 ent. Il fut le dernier à se rallier au régime qui devait assurer son essor et sa longue primauté dans l’Union. C’est donc préc
6 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
8 ême de cette explication scandalisa : elle aurait , plutôt, donner à réfléchir. Le ministre russe s’exprimait en effet d
7 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
9 ées, et liquider d’autres élites sans armes. Nous devons à la passion de Budapest martyre une réparation sans merci, vigilante
10 t, comme il convient à la repentance active. Nous devons tout d’abord faire l’Europe, pour qu’il y ait à l’appel de tous nos f
11 os seules consciences, advienne que pourra. Nous devons mettre le communisme au ban de l’humanité civilisée. Et cela signifie
12 Je veux certes la mettre à l’aise, et tout homme doit le vouloir avant tout, mais ce n’est pas un article qui pourrait y su
8 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
13 , nous pensons simplement que cet heureux lauréat doit être un communiste plutôt qu’un grand poète, grand romancier ou grand
9 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
14 issant. Les uns et les autres auraient tort. Nous devons à Ansermet une tentative unique d’adéquation de l’affectif au spiritu
10 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)
15 teur est lâche, un mauvais citoyen qui trahit ses devoirs de solidarité. Quant à votre sous-titre « Tout ou rien », je ne le cr
11 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
16 de paix. C’est dans ce cadre-là, d’abord, qu’elle doit être envisagée et discutée. Car ce n’est que dans la paix que l’on s’
17 rétiennes. C’est donc par elles que la discussion doit commencer. Et là, deux religions se heurtent : la religion civique et
18 religion civique et la religion divine. Laquelle doit primer l’autre ? C’est la première question. Michel Barde. — Nous ex
19 eligieuse, s’affranchir de l’accomplissement d’un devoir civique ». Donc, le fondement juridique est clair : la Constitution n
20 onstitutionnelle et non pas antimilitariste. Cela doit être dit car la procédure qui conduit à la sanction peut faire croire
21 5, qui dit que dans le cas d’un conflit entre les devoirs civiques et ce que l’on considère comme ses devoirs religieux, ce son
22 voirs civiques et ce que l’on considère comme ses devoirs religieux, ce sont les devoirs civiques qui l’emportent. Que veut dir
23 onsidère comme ses devoirs religieux, ce sont les devoirs civiques qui l’emportent. Que veut dire alors « Au nom du Dieu Tout-P
24 s l’avons en fait. L’objecteur peut accomplir ses devoirs civiques sans s’opposer à sa propre conscience. Pour les autres, l’of
25 L’intention subjective de faire défaut au service doit être aussi réalisée. Denis de Rougemont. — Je ne suis pas du tout obj
26 D’ailleurs, vous savez qu’en France un objecteur doit se déclarer comme tel au recrutement, et qu’il ne peut assumer par la
27 pense, pour ma part, que si la neutralité suisse doit s’accompagner de la solidarité, il faut savoir lequel des termes on v
28 Je me demande si cette situation ne crée pas des devoirs particuliers aux Suisses dans la prise en considération et au sérieux
29 re, mais qui me paraissent tellement graves qu’on doit reconnaître une fonction civique irremplaçable aux objecteurs de cons
12 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
30 ment lorsque vous habitez la campagne et que vous devez vous rendre en ville pour travailler. Mais aussi sur le plan des lois
31 ndant. » Mais rien n’est plus faux. En auto, vous devez respecter des horaires au même titre que si vous preniez le train. Vo
32 réalité si je suis pour ou contre la voiture, je dois convenir que c’est de la rigolade. Cela n’a plus aucune importance. J
33 arbitre entre des intérêts souvent divergents. Il doit veiller à ce qu’il y ait un certain équilibre entre les activités des
34 beaucoup trop de choses en camion, alors que l’on devrait davantage utiliser le chemin de fer. Il n’y a aucune raison pour tout
35 si le fédéral s’obstine, un recours démocratique doit être possible. Hubert de Senarclens : Des récentes études ont montré
36 on. Tout le monde semble d’accord sur le rôle que doivent jouer les transports en commun, notamment dans les zones densément pe
37 ans les zones densément peuplées où la voiture ne devrait plus être qu’un appoint. Mais lorsque l’on passe aux actes, plus pers
38 Peyrot : C’est en effet une erreur, car une ville doit s’adapter, tout en gardant ce qu’elle a d’authentique et qui doit abs
39 tout en gardant ce qu’elle a d’authentique et qui doit absolument être préservé IV Hubert de Senarclens : Il existe u
40 s qui au lieu de durer cinq ans, si tout va bien, durent vingt ou trente ans ? Je trouve personnellement scandaleux — c’est un
41 t un pur gaspillage — de voir ces voitures qui ne durent pas et auxquelles l’on doit continuellement changer des pièces. Denis
42 ces voitures qui ne durent pas et auxquelles l’on doit continuellement changer des pièces. Denis de Rougemont : En ce qui co
43 ont bloquées. Hubert de Senarclens : La pollution due à la voiture serait responsable de graves méfaits sur notre santé : p
44 er par les hydrocarbures, trouble du comportement au plomb, danger de l’oxyde d’azote pour les poumons, hausse des mala
45 z nous, par des milieux médicaux marginaux. Alors doit -on parler de « conspiration du silence » de la part de la grande majo
13 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
46 nt dans ce rôle, c’était le moment de crise où je devais intervenir ; cet instant presque lyrique, d’une gravité extrême. Curi
47 iens de but. C’est tout de même étonnant. Si vous deviez définir le rôle du sport… Je crois que le sport doit être pour l’indi
48 z définir le rôle du sport… Je crois que le sport doit être pour l’individu une sorte de morale ; celle de la tolérance, du
14 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
49 ’expliquer là-dessus, m’en fait même peut-être un devoir . Tout s’est joué entre 1930 et 1940 J’oserai donc aborder sans
50 me coup, et le modèle de cité idéale que Rousseau devait reprendre en l’appliquant aux citoyens de Genève réunis dans la cathé