1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 n beau roman : c’est un roman chrétien. Qu’est-ce donc qu’un roman chrétien ? Une histoire où tout le monde « se conduit bie
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
2 écouvrir et d’imposer certains auteurs originaux, donc peu vendables au début. Aujourd’hui, ils se voient obligés de se soum
3 erait pas un éditeur pour Guerre et Paix : pensez donc , un roman en 10 volumes ! Et l’Adolphe de Constant, ce serait bien co
4 au statut de la culture dans leur pays. Pourquoi donc nos démocraties se laisseraient-elles battre sur ce terrain, où elles
3 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
5 des des esprits, et ruiné leur autorité. Ils sont donc mal venus à se plaindre. Mais la société en pâtit, plus gravement qu’
4 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
6 s il aime faire connaître son opinion. Il délègue donc ce soin à un bouton tricolore qui proclame sur sa poitrine, avec une
5 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
7 demandent-ils non sans inquiétude. — Et New York donc  ? Si vous y connaissez des chambres libres, faites-moi signe. (Comme
6 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
8 isser vaincre. Votre Comité des ministres néglige donc son premier devoir. À qui la faute ? L’opinion, sur ce point, entreti
7 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
9 qu’elle ait vraiment de l’autorité et ne souffre donc point de veto, les Tories disent non d’un seul cœur, dans la même lan
10 ela, conservateurs et travaillistes nous obligent donc à constater objectivement que leurs motifs profonds ne sont point ceu
11  ? Qui les a vues depuis quelques décennies ? Qui donc ose les défendre ouvertement, à part nos staliniens sur l’ordre du Kr
12 fédérer. La souveraineté nationale absolue n’est donc plus qu’un prétexte au droit de veto, qui revient à donner le seul po
8 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
13 n essor et sa longue primauté dans l’Union. C’est donc précisément dans la presse de New York que trois des rédacteurs de la
9 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
14 d’un autre pays — provenait ainsi d’une théorie, donc d’un fait de culture ; mais comme il n’était pas question d’en discut
10 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
15 ieure de Dieu, tenant l’homme dans sa dépendance, donc dans une relation passive, tandis que le Christ des évangiles a été «
16 ématiques, est inconcevable sans Dieu. Elle cesse donc d’être vraie musique chez ceux de nos contemporains qui ont sciemment
11 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
17 -communistes, ni contestataires farfelus”. Il y a donc bien un problème, et Rougemont a raison de demander, au nom des valeu
12 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)
18 l’armée, le plus difficile de se dire objecteur, donc le plus courageux de l’être — si l’on est sérieux, toutefois, ce qui
19 traîner personne. Non, je ne pense pas et je n’ai donc pas dit « qu’à défaut d’un statut des objecteurs, la Suisse ne serait
13 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
20 s racines dans des motivations chrétiennes. C’est donc par elles que la discussion doit commencer. Et là, deux religions se
21 nchir de l’accomplissement d’un devoir civique ». Donc , le fondement juridique est clair : la Constitution ne permet pas l’o
22 on de conscience pour raison religieuse. Il n’y a donc aucun conflit entre l’armée et l’objecteur de conscience, dont l’atti
23 le cadre strictement religieux. Bernard Béguin. —  Donc vous n’invoquez pas le préambule de la Constitution pour vous autoris
24 jecteurs que j’ai connus étaient des gens sensés. Donc pas de maladie mentale, pas de circonstance atténuante ou exculpante
14 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
25 es injustes sévérités et ceux-là seuls. Vous avez donc confiance dans cet avenir ? Nous n’avons pas à prédire l’avenir mais
15 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
26 l’on pense à la pollution de nos villes… On voit donc très bien que la création de l’auto équivaut à l’imposition d’un beso
27 danger que pouvait apporter l’automobile. Il aura donc fait cette déclaration dans un moment d’angoisse tel que d’autres che
28 es villes des États-Unis était de 4 km à l’heure. Donc à partir de buts qui étaient au départ parfaitement acceptables, même
29 z, chaque année, le nombre de voitures augmente ; donc il faut construire davantage de routes et d’autoroutes. Ce qui nous f
30 merciaux où l’on peut garer en sous-sol ? J’émets donc un doute sur cette politique des parkings autour de la petite ceintur
31 e, la perte de la joie de vivre, la douleur, etc. Donc on voit que si la voiture donne une certaine liberté, on paie celle-c
16 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
32 t du football que pour son style. Mon article fut donc publié dans La semaine littéraire, seule revue paraissant alors en Su
33 merveilleux écrivain. Mes débuts littéraires ont donc coïncidé avec ma passion pour le football. Par la suite, j’ai eu l’oc
34 te de gardien de but dans une équipe. Nous étions donc trois écrivains de la même génération, passionnés de football et joua
35 ires à leurs adversaires. Les pages sportives ont donc l’air de glorifier d’affreux tyrans comme on en a plus vu depuis Geng
36 l’agressivité peuvent se déchaîner. Ne serait-il donc pas temps de revenir à une vraie morale du sport telle que je l’admir
17 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
37 Tout s’est joué entre 1930 et 1940 J’oserai donc aborder sans aucune précaution la question que beaucoup se posent à m
38 ou même, horribile dictu, de pacifisme ? Je passe donc aux aveux : ils ne seront pas complets, faute de temps, mais candides