1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 ces vies douloureuses, banales ou touchantes, mal engagées ou menacées, harmonieuses ou durement rabrouées par le sort, « la nei
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
2 on manuscrit, on lui fait signer un contrat qui l’ engage pour cinq ou dix volumes à venir. La propriété de ces ouvrages se tro
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
3 Vous répétez qu’il faut être prudents quand on s’ engage dans une entreprise aussi vaste. Ah ! pour le coup, je trouve cela « 
4 e un ministre). Car vous ne vous êtes, jusqu’ici, engagés dans rien que l’on sache. Quand vous y serez, il sera temps de voir s
4 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
5 ophique, Tancrède, Irène. Le voilà, l’écrivain «  engagé  » ! Il ignorait le mot, mais faisait un pays. Et certes personne ne l
5 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
6 ait bien vu. Vous avez été, vous êtes un écrivain engagé . Comment continuez-vous à « fédérer les peuples » depuis le Centre eu
7 ’Amérique en Europe en 1946 ? Je suis un écrivain engagé au sens actif du mot que j’ai défini dans mon premier livre, publié à
8 second : « Ridicule et impuissance du clerc qui s’ engage  ». Le tout était un appel à l’engagement de l’écrivain en tant que te
9 n’en ai plus parlé, mais pratiquement je me suis engagé au service de l’Europe, d’une société nouvelle à créer pour l’Europe.
6 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
10 pas été évitée certes, mais se serait sans doute engagée dans des conditions bien différentes. Le peuple allemand aurait en ef
11 Denis de Rougemont est l’écrivain suisse le plus engagé dans les divers mouvements pour l’unité politique et culturelle de l’
7 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
12 t l’éloge, l’un de l’écrivain, l’autre du citoyen engagé . Dans son remerciement, avant de parler de cette Europe qui lui « tie
13 osition, ou comme on le dit, dès ce temps-là, « s’ engage  ». Rendons leur place aux essayistes ! C’est sur ces thèmes de l
14 sse, je me suis trouvé, sans trop savoir comment, engagé dans la lutte militante pour la fédération de nos peuples. À mes amis
15 onne, c’est-à-dire un individu à la fois libre et engagé  ; distingué de tout autre par sa vocation, mais responsable de l’exer