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ur : car il n’est guère de comparaison valable qu’
entre
individus, et comme type d’individu européen Robert de Traz ne pouvai
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heure d’oubli », une distraction sans conséquence
entre
les heures de bureau ou d’usine. Après le travail et avant le sommeil
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mment profonde, par les relations qu’elle établit
entre
le rêve et la vie réelle. » Or notre époque, plus que toute autre sem
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s correspondances profondes, et toutes nouvelles,
entre
le romantisme allemand et les plus grands poètes modernes de la Franc
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’idées et d’hommes qui s’est établie dans ce pays
entre
le gouvernement et la population. L’opinion questionne, le gouverneme
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e les États-Unis sont une démocratie sans partis.
Entre
le citoyen et les autorités, pas d’autre intermédiaire que l’opinion
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er » marquant l’entrée du règne de l’Autre Grand.
Entre
l’Amérique et la Suisse — je simplifie à peine, et c’est déjà cruel —
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, la Confédération n’était qu’un Pacte d’alliance
entre
vingt-cinq États absolument souverains. Point de citoyenneté suisse,
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e liberté d’établissement ou d’échange commercial
entre
cantons, point d’unité monétaire, point de représentation des peuples
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ssance devant l’étranger et même devant la guerre
entre
les États membres. Niera-t-on que ce fût là, trait pour trait, un éta
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ut abîmer les meubles. Il y eut une guerre civile
entre
cantons, qui fit voir l’impuissance du Pacte. Il y eut un long branle
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bre, le premier Conseil fédéral, organe exécutif,
entre
en fonction. Le drapeau suisse est arboré à côté des drapeaux des can
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de Genève ou des Grisons à Berne. Pour la guerre
entre
vos pays, les deux dont vous sortez suffisent. Vos Nations vivent ens
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eux. Je me résume. L’opinion vous regarde. Elle n’
entre
pas dans les subtilités. Elle vous demande « Que voulez-vous faire ?
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un, vous êtes à l’autre députés. Me voici partagé
entre
l’envie de rire de vos craintes dérisoires, de vos alinéas, et le sen
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ait nuire à « l’avènement d’une union plus intime
entre
ses membres ». Les manchettes des journaux parleront d’un « pas impor
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grand couloir des vents européens et ces prairies
entre
deux bois de très vieux chênes, où persiste un tapis de brume. Aux bo
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es images entraînent, dans ce pays de « marches »
entre
Alpes et Jura, entre le xviiie et notre siècle, entre ces jardins de
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dans ce pays de « marches » entre Alpes et Jura,
entre
le xviiie et notre siècle, entre ces jardins de Candide et cette Bou
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Alpes et Jura, entre le xviiie et notre siècle,
entre
ces jardins de Candide et cette Bourse des valeurs de toute l’Europe
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e suffit à répondre : ils sont unis. Ils ont créé
entre
eux le « grand marché commun » qui est la condition nécessaire de tou
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leur permette de dicter les termes des relations
entre
l’Ancien et le Nouveau Monde. Je vous laisse le soin de commenter le
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n tel texte suggère, et même impose à l’évidence,
entre
la situation de départ de l’Amérique et celle de notre Europe en form
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l’instrument sans lequel il n’est point d’entente
entre
les hommes, je veux dire un langage commun. On a reconnu l’expression
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e image : quand un pilote passe le mur du son, il
entre
dans une zone de silence. Mais quand un homme d’État soviétique passe
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compétition pacifique. Une compétition pacifique
entre
hommes également convaincus : si cette offre est aussi valable pour d
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sous les balles des « réactionnaires », car c’est
entre
eux qu’ils se sont tous assassinés depuis trente ans, la misère colle
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fondamentale ». Et le péché, hiatus irréductible
entre
la situation existentielle et l’être. Et la prière, acte de recueille
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lié dans le Journal de Genève en octobre 1969 : «
Entre
Dieu et l’État », Journal de Genève, Genève, n° 231, 4-5 octobre 1969
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tale : le marxisme. Quelle différence faites-vous
entre
marxisme et maoïsme ? Le maoïsme prétend être le vrai marxisme. Mais
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Un débat sur l’objection de conscience :
entre
Dieu et l’État (4 octobre 1969)ai Le 27 juin dernier, le professe
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ur raison religieuse. Il n’y a donc aucun conflit
entre
l’armée et l’objecteur de conscience, dont l’attitude est anticonstit
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u’il s’agit uniquement d’une opposition d’intérêt
entre
l’armée et l’objecteur. Michel Barde. — L’opposition de l’objecteur e
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s qu’il y ait de différence dans les aboutissants
entre
une objection pour des motifs religieux et pour d’autres motifs de co
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Non. Je ne fais personnellement pas de différence
entre
les diverses catégories d’objecteurs. Je pense que ce qui est importa
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je ne pense pas que la séparation soit tellement
entre
militaires et objecteurs qu’entre « conservateurs » et « progressiste
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soit tellement entre militaires et objecteurs qu’
entre
« conservateurs » et « progressistes », si je puis dire. L’objection
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aragraphe 5, qui dit que dans le cas d’un conflit
entre
les devoirs civiques et ce que l’on considère comme ses devoirs relig
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Par conséquent il y a une très grande différence
entre
l’infraction à la discipline et l’infraction contre le Code pénal. Co
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is de, « Un débat sur l’objection de conscience :
entre
Dieu et l’État », Journal de Genève, Genève, 4 octobre 1969, p. 2-3.
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vos propres thèses sur l’Europe. Y a-t-il un lien
entre
ces deux pôles d’attraction que sont pour vous l’amour d’une part, l’
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ême temps vers la personne. » Y’a-t-il un rapport
entre
cette « révolution » et votre pamphlet de jeunesse, qu’on vient de ré
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nt supérieur, densité tout à fait exceptionnelle,
entre
lesquels des liens spéciaux pourraient s’instituer. Il ne s’agit pas
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e tient pas compte des intérêts régionaux. Alors,
entre
les deux libertés, laquelle choisir ? François Peyrot : La vérité n’e
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ni d’un côté ni de l’autre. L’État est l’arbitre
entre
des intérêts souvent divergents. Il doit veiller à ce qu’il y ait un
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oit veiller à ce qu’il y ait un certain équilibre
entre
les activités des individus. Vous avez fait allusion à la démocratisa
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ouvernement ou à un parlement. Et, finalement, on
entre
dans un état de confusion. Jacob Roffler : Je considère comme essenti
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on, je ne vois vraiment pas le rapport qui existe
entre
la performance de l’athlète et le pays d’où il vient. Certains tirent
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ays d’où il vient. Certains tirent des parallèles
entre
les JO de Berlin de 1936 et ceux qui vont se dérouler à Moscou. Je pe
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fait même peut-être un devoir. Tout s’est joué
entre
1930 et 1940 J’oserai donc aborder sans aucune précaution la quest
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Kœstler l’a fort bien dit : ce fut l’affrontement
entre
un mensonge total, celui des dictatures à l’Est, et une demi-vérité à
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celle des États-nations démocratiques. La guerre
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eux devenait inévitable. Nous aurions à la faire, vu notre âge, mais
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vu notre âge, mais ce ne serait pas notre guerre.
Entre
les trois régimes totalitaires et les régimes dits libéraux, adultéré