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si souvent le cas, mais bien sur l’Orient. Encore
faut
-il s’entendre : les meilleurs documents sur l’Orient sont les œuvres
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vrai roman chrétien est d’abord réaliste. Car il
faut
bien connaître la nature et ses abîmes, si l’on veut être à même d’y
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t les critiques, à l’instar de l’affiche (dont il
faut
regretter qu’elle soit elle-même un affreux barbarisme importé d’outr
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il est une justice dans le domaine littéraire, il
faut
prédire à Sara Alelia non pas un succès de saison, mais la carrière p
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ste (et ce n’est pas chez nous qu’on la niera) il
faut
reconnaître qu’il est essentiellement négatif. Car à la vérité, et si
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cable mais néfaste : les livres ne payant pas, il
faudra
faire du journalisme et courir les rédactions, improviser… Or les néc
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s de mettre un ordre neuf dans tout cela. Mais il
faudrait
d’abord que cela se sache ! d. Rougemont Denis de, « Condition de
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stes se récrient en vain : l’éditeur répond qu’il
faut
vivre ! Règne de la publicité et de la littérature faite sur commande
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dis pas son âme, c’est l’affaire des Églises), il
faudrait
se soucier d’être utile, de servir la communauté, et non plus seuleme
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ture. C’est en effet au romantisme allemand qu’il
faut
remonter si l’on veut étudier la source véritable de préoccupations q
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gnées à la personne humaine dans sa réalité. Il y
fallait
toutes les ressources d’un esprit bien armé par nos classiques, allié
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que une place plus importante et plus visible. Il
faut
être un Européen pour s’en étonner, me dit-on. De fait, pour un Améri
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eu social, des amis, des appuis matériels s’il le
faut
. Dans ce pays énorme, qui manque de cadres traditionnels, et dont la
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pirituelle constamment maintenue dans la cité. Il
faut
connaître cet arrière-plan pour donner tout leur sens à certains inci
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Nous y touchons, Messieurs, vraiment — il ne s’en
faut
que d’un atome… » ⁂ Le hasard a voulu que, le soir même, je me visse
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nde croit l’avoir vue et s’en va répétant qu’il a
fallu
plus de cinq-cents ans pour sceller son union fédérale. Tout le monde
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son union fédérale. Tout le monde se trompe. Il a
fallu
neuf mois. En voici le récit exact. Au début de 1848, la Confédératio
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ue l’Europe est plus grande que la Suisse ; qu’il
fallut
une bonne guerre pour briser le tabou des souverainetés cantonales ab
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, ou même d’Ankara — en moins de temps qu’il n’en
fallait
, il y a cent ans, pour aller de Genève ou des Grisons à Berne. Pour l
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pe ceux-là, ont décidé une fois pour toutes qu’il
faut
aller lentement dans tous les cas. Mais nous ne voyons aucun motif de
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sur ce point, entretient des soupçons qu’il vous
faut
dissiper. Vous allez, paraît-il, réviser prudemment les statuts du Co
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après six mois que c’est prématuré, mais qu’il ne
faut
rien faire en attendant. Et l’opinion se demande si tout cela dissimu
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dirait que vous avez le trac. Vous répétez qu’il
faut
être prudents quand on s’engage dans une entreprise aussi vaste. Ah !
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ouvoirs législatifs, à l’Autorité politique, s’il
faut
qu’elle ait vraiment de l’autorité et ne souffre donc point de veto,
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étranger commande chez eux. C’est tout. Mais s’il
faut
éviter que l’étranger soit Staline, ils acceptent fort bien que leurs
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nt pour l’union, lorsqu’on les interroge. Il n’en
fallut
pas plus pour fédérer la Suisse. Mais l’opinion veut qu’on l’entraîne
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vaut rien en face des Russes qui les assènent. Il
faut
des actes, dit-on. La phrase est vague. Les actes sont parfois plus v
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lon l’issue des élections. En d’autres termes, il
faut
que le Parlement issu des élections ait quelque chose à faire. Qu’un
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élaborer. Cet été, en septembre, à Strasbourg. Il
faut
une Commission ? Vous pouvez la nommer. Le Comité ministériel va s’y
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Si vous me dites que c’est très joli, mais qu’il
faut
qu’on vous laisse du temps, je vous proposerai de l’obtenir de Stalin
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nez-nous la Constitution ! Messieurs les députés,
faut
-il vous dire encore que je ne suis rien qu’une voix presque désespéré
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ier américain ne peut aujourd’hui l’ignorer. S’il
fallait
résumer en deux phrases le rôle et l’importance d’un tel écrit, je di
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si les Russes sont sincères serait bien vain : il
faut
absolument les prendre au mot. Ils proposent en effet trois principes
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remlin subit ce qu’on nomme la détente, mot qu’il
faut
prendre ici dans son sens littéral : un ressort est détendu, la press
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e n’est pas un article qui pourrait y suffire, il
faut
agir. Je parlais d’une action vigilante, obstinée. Nous vivons en dém
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guère dans les revues d’avant-garde parisiennes :
faut
-il brûler Ernest Ansermet ? Nul doute que la Genève de Calvin l’eût a
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erté, vous acquitterez René Bugnot. Ou plutôt, il
faudrait
l’acquitter, et peut-être le voudriez-vous mais je sais bien que vous
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t des objecteurs suisses en particulier, il m’eût
fallu
beaucoup de temps, beaucoup de place, et un minimum de précautions. I
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de place, et un minimum de précautions. Il m’eût
fallu
peser le pour et le contre, et surtout dans le cas de la Suisse, pays
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ée : c’est ce problème qui importe seul, et qu’il
faut
prendre soin de poser dans ses termes les plus authentiques. Veuillez
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ts en leur conseillant de casser leurs jouets. Il
faudrait
plutôt leur dire de créer une nouvelle Université qui soit digne de c
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nouir ? Je n’en vois aucune. Et la Chine ? Encore
faudrait
-il que ce soit une civilisation vraiment différente, et qui ait de me
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oir personnel. La quatrième a abouti à de Gaulle.
Faudrait
-il saluer le régime personnel, parce qu’il conduit à un régime impers
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ôle de la bombe” est une absurdité. Ce qu’il nous
faut
, c’est un contrôle de l’homme. » Les gens disent : « Nous sommes enva
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oins aux esprits et aux sensibilités. Mais encore
faut
-il sentir l’époque si l’on veut essayer de l’influencer : et c’est à
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ar la Révolution française et par Napoléon. Il ne
faut
pas nous raconter d’histoires, c’est la religion qui aboutit, dans ce
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ue l’objection n’est pas de l’antimilitarisme, il
faut
bien voir que si l’on hésite à créer un statut de l’objecteur, c’est
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ce incompatibles ? Christian Schaller. — Il ne
faut
pas confondre objection et non-violence, comme il ne faut pas confond
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confondre objection et non-violence, comme il ne
faut
pas confondre soldat et militarisme. Mais si l’on discute l’efficacit
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l’on discute l’efficacité de la non-violence, il
faut
aussi discuter l’efficacité, dans notre monde actuel, de notre systèm
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et de mauvais chrétiens qui portent les armes. Il
faut
faire très attention quand on aborde ce problème, en dépit de tout ce
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té suisse doit s’accompagner de la solidarité, il
faut
savoir lequel des termes on va toujours préférer. Or l’on constate qu
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alité comme à une espèce de privilège, et s’il ne
faut
pas dire aussi : Neutralité oblige, allez plus loin. Tout ce que je v
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de l’autre. Certains vont jusqu’à penser qu’« il
faut
guérir l’Occident de sa maladie monogamique ». De l’unicité, l’amour
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te évidence, que l’on y soit favorable ou non, il
faut
reconnaître que la voiture a très largement débordé le cadre social,
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te aussi des inconvénients. Un autre aspect qu’il
faut
souligner c’est la voiture signe de la civilisation industrielle et s
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nduite sur nos routes ? François Peyrot : Mais il
faut
faire un bilan ! C’est clair que l’on peut mentionner des avantages c
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llages sans fin. Jean Kräyenbühl : Je pense qu’il
faudrait
davantage analyser le comportement de la population et des individus,
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Pourquoi ne retenir que le cas de la voiture ? Il
faut
prendre en considération l’individu et voir les conséquences de son c
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nt sur l’urbanisme. Au niveau du comportement, il
faut
reconnaître qu’il y a trop de gens qui font de la voiture un usage ab
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civilisation où la voiture et très importante. Il
faut
faire façon d’elle. Ce qui me choque c’est qu’on veut absolument la c
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lument la charger de tous les péchés du monde. Il
faut
revenir à une saine interprétation des choses. Nul doute que l’extrao
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e année, le nombre de voitures augmente ; donc il
faut
construire davantage de routes et d’autoroutes. Ce qui nous fait débo
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s fait déboucher sur un cercle vicieux qu’il nous
faut
briser. François Peyrot : Comprenez-moi bien, je ne suis pas contre l
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ions des milieux écologiques consiste à dire : il
faut
délester les zones d’habitation d’un trafic trop intense, en particul
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rsque votre voiture va sortir de son usine, il ne
faut
pas oublier qu’elle risque de tuer. Il y a par le monde plus de 200 0
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t : En ce qui concerne l’économie, je pense qu’il
faut
rester humain. Il y a des limites qui commencent à être atteintes : c
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ce qui concerne les accidents, je pense qu’il ne
faut
pas prendre uniquement en considération le choc ou la blessure mais l
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selon vous suffisant pour sauver les JO ? Non. Il
faut
repartir sur un autre pied, rédiger une charte olympique totalement n