1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 si souvent le cas, mais bien sur l’Orient. Encore faut -il s’entendre : les meilleurs documents sur l’Orient sont les œuvres
2 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
2 vrai roman chrétien est d’abord réaliste. Car il faut bien connaître la nature et ses abîmes, si l’on veut être à même d’y
3 t les critiques, à l’instar de l’affiche (dont il faut regretter qu’elle soit elle-même un affreux barbarisme importé d’outr
4 il est une justice dans le domaine littéraire, il faut prédire à Sara Alelia non pas un succès de saison, mais la carrière p
3 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
5 ste (et ce n’est pas chez nous qu’on la niera) il faut reconnaître qu’il est essentiellement négatif. Car à la vérité, et si
6 cable mais néfaste : les livres ne payant pas, il faudra faire du journalisme et courir les rédactions, improviser… Or les néc
7 s de mettre un ordre neuf dans tout cela. Mais il faudrait d’abord que cela se sache ! d. Rougemont Denis de, « Condition de
4 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
8 stes se récrient en vain : l’éditeur répond qu’il faut vivre ! Règne de la publicité et de la littérature faite sur commande
5 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
9 dis pas son âme, c’est l’affaire des Églises), il faudrait se soucier d’être utile, de servir la communauté, et non plus seuleme
6 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
10 ture. C’est en effet au romantisme allemand qu’il faut remonter si l’on veut étudier la source véritable de préoccupations q
11 gnées à la personne humaine dans sa réalité. Il y fallait toutes les ressources d’un esprit bien armé par nos classiques, allié
7 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
12 que une place plus importante et plus visible. Il faut être un Européen pour s’en étonner, me dit-on. De fait, pour un Améri
13 eu social, des amis, des appuis matériels s’il le faut . Dans ce pays énorme, qui manque de cadres traditionnels, et dont la
14 pirituelle constamment maintenue dans la cité. Il faut connaître cet arrière-plan pour donner tout leur sens à certains inci
8 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
15 Nous y touchons, Messieurs, vraiment — il ne s’en faut que d’un atome… » ⁂ Le hasard a voulu que, le soir même, je me visse
9 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
16 nde croit l’avoir vue et s’en va répétant qu’il a fallu plus de cinq-cents ans pour sceller son union fédérale. Tout le monde
17 son union fédérale. Tout le monde se trompe. Il a fallu neuf mois. En voici le récit exact. Au début de 1848, la Confédératio
18 ue l’Europe est plus grande que la Suisse ; qu’il fallut une bonne guerre pour briser le tabou des souverainetés cantonales ab
19 , ou même d’Ankara — en moins de temps qu’il n’en fallait , il y a cent ans, pour aller de Genève ou des Grisons à Berne. Pour l
10 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
20 pe ceux-là, ont décidé une fois pour toutes qu’il faut aller lentement dans tous les cas. Mais nous ne voyons aucun motif de
21 sur ce point, entretient des soupçons qu’il vous faut dissiper. Vous allez, paraît-il, réviser prudemment les statuts du Co
22 après six mois que c’est prématuré, mais qu’il ne faut rien faire en attendant. Et l’opinion se demande si tout cela dissimu
23 dirait que vous avez le trac. Vous répétez qu’il faut être prudents quand on s’engage dans une entreprise aussi vaste. Ah !
11 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
24 ouvoirs législatifs, à l’Autorité politique, s’il faut qu’elle ait vraiment de l’autorité et ne souffre donc point de veto,
25 étranger commande chez eux. C’est tout. Mais s’il faut éviter que l’étranger soit Staline, ils acceptent fort bien que leurs
12 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
26 nt pour l’union, lorsqu’on les interroge. Il n’en fallut pas plus pour fédérer la Suisse. Mais l’opinion veut qu’on l’entraîne
27 vaut rien en face des Russes qui les assènent. Il faut des actes, dit-on. La phrase est vague. Les actes sont parfois plus v
28 lon l’issue des élections. En d’autres termes, il faut que le Parlement issu des élections ait quelque chose à faire. Qu’un
29 élaborer. Cet été, en septembre, à Strasbourg. Il faut une Commission ? Vous pouvez la nommer. Le Comité ministériel va s’y
30 Si vous me dites que c’est très joli, mais qu’il faut qu’on vous laisse du temps, je vous proposerai de l’obtenir de Stalin
31 nez-nous la Constitution ! Messieurs les députés, faut -il vous dire encore que je ne suis rien qu’une voix presque désespéré
13 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
32 ier américain ne peut aujourd’hui l’ignorer. S’il fallait résumer en deux phrases le rôle et l’importance d’un tel écrit, je di
14 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
33 si les Russes sont sincères serait bien vain : il faut absolument les prendre au mot. Ils proposent en effet trois principes
34 remlin subit ce qu’on nomme la détente, mot qu’il faut prendre ici dans son sens littéral : un ressort est détendu, la press
15 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
35 e n’est pas un article qui pourrait y suffire, il faut agir. Je parlais d’une action vigilante, obstinée. Nous vivons en dém
16 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
36 guère dans les revues d’avant-garde parisiennes : faut -il brûler Ernest Ansermet ? Nul doute que la Genève de Calvin l’eût a
17 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
37 erté, vous acquitterez René Bugnot. Ou plutôt, il faudrait l’acquitter, et peut-être le voudriez-vous mais je sais bien que vous
18 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)
38 t des objecteurs suisses en particulier, il m’eût fallu beaucoup de temps, beaucoup de place, et un minimum de précautions. I
39 de place, et un minimum de précautions. Il m’eût fallu peser le pour et le contre, et surtout dans le cas de la Suisse, pays
40 ée : c’est ce problème qui importe seul, et qu’il faut prendre soin de poser dans ses termes les plus authentiques. Veuillez
19 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
41 ts en leur conseillant de casser leurs jouets. Il faudrait plutôt leur dire de créer une nouvelle Université qui soit digne de c
42 nouir ? Je n’en vois aucune. Et la Chine ? Encore faudrait -il que ce soit une civilisation vraiment différente, et qui ait de me
43 oir personnel. La quatrième a abouti à de Gaulle. Faudrait -il saluer le régime personnel, parce qu’il conduit à un régime impers
44 ôle de la bombe” est une absurdité. Ce qu’il nous faut , c’est un contrôle de l’homme. » Les gens disent : « Nous sommes enva
45 oins aux esprits et aux sensibilités. Mais encore faut -il sentir l’époque si l’on veut essayer de l’influencer : et c’est à
20 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
46 ar la Révolution française et par Napoléon. Il ne faut pas nous raconter d’histoires, c’est la religion qui aboutit, dans ce
47 ue l’objection n’est pas de l’antimilitarisme, il faut bien voir que si l’on hésite à créer un statut de l’objecteur, c’est
48 ce incompatibles ? Christian Schaller. — Il ne faut pas confondre objection et non-violence, comme il ne faut pas confond
49 confondre objection et non-violence, comme il ne faut pas confondre soldat et militarisme. Mais si l’on discute l’efficacit
50 l’on discute l’efficacité de la non-violence, il faut aussi discuter l’efficacité, dans notre monde actuel, de notre systèm
51 et de mauvais chrétiens qui portent les armes. Il faut faire très attention quand on aborde ce problème, en dépit de tout ce
52 té suisse doit s’accompagner de la solidarité, il faut savoir lequel des termes on va toujours préférer. Or l’on constate qu
53 alité comme à une espèce de privilège, et s’il ne faut pas dire aussi : Neutralité oblige, allez plus loin. Tout ce que je v
21 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
54 de l’autre. Certains vont jusqu’à penser qu’« il faut guérir l’Occident de sa maladie monogamique ». De l’unicité, l’amour
22 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
55 te évidence, que l’on y soit favorable ou non, il faut reconnaître que la voiture a très largement débordé le cadre social,
56 te aussi des inconvénients. Un autre aspect qu’il faut souligner c’est la voiture signe de la civilisation industrielle et s
57 nduite sur nos routes ? François Peyrot : Mais il faut faire un bilan ! C’est clair que l’on peut mentionner des avantages c
58 llages sans fin. Jean Kräyenbühl : Je pense qu’il faudrait davantage analyser le comportement de la population et des individus,
59 Pourquoi ne retenir que le cas de la voiture ? Il faut prendre en considération l’individu et voir les conséquences de son c
60 nt sur l’urbanisme. Au niveau du comportement, il faut reconnaître qu’il y a trop de gens qui font de la voiture un usage ab
61 civilisation où la voiture et très importante. Il faut faire façon d’elle. Ce qui me choque c’est qu’on veut absolument la c
62 lument la charger de tous les péchés du monde. Il faut revenir à une saine interprétation des choses. Nul doute que l’extrao
63 e année, le nombre de voitures augmente ; donc il faut construire davantage de routes et d’autoroutes. Ce qui nous fait débo
64 s fait déboucher sur un cercle vicieux qu’il nous faut briser. François Peyrot : Comprenez-moi bien, je ne suis pas contre l
65 ions des milieux écologiques consiste à dire : il faut délester les zones d’habitation d’un trafic trop intense, en particul
66 rsque votre voiture va sortir de son usine, il ne faut pas oublier qu’elle risque de tuer. Il y a par le monde plus de 200 0
67 t : En ce qui concerne l’économie, je pense qu’il faut rester humain. Il y a des limites qui commencent à être atteintes : c
68 ce qui concerne les accidents, je pense qu’il ne faut pas prendre uniquement en considération le choc ou la blessure mais l
23 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
69 selon vous suffisant pour sauver les JO ? Non. Il faut repartir sur un autre pied, rédiger une charte olympique totalement n