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on des grandes masses pour la lecture ? Est-ce la
faute
du public, ou bien des écrivains ? Et avant d’y porter remède, ne con
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e de l’importance réelle de cette crise, à qui la
faute
, disions-nous ? Au public ou aux écrivains ? On objectera sans doute
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nistres néglige donc son premier devoir. À qui la
faute
? L’opinion, sur ce point, entretient des soupçons qu’il vous faut di
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moins astucieusement combiné pour s’enrayer sans
faute
avant le départ —, vous en ferez l’usage qu’elle attend. Elle n’a pas
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honnêtes gens. Ils viennent devant nous pour des
fautes
de discipline. Condamnés comme des hérétiques ? Christian Schal
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t les tribunaux, ou à peu près, viennent pour des
fautes
de discipline. J’ai peine à entrer dans une classification de tribuna