1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
1 ir que la création artistique requiert toutes les forces d’un homme, et s’accommode très mal de la dispersion de ses efforts.
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
2 ir des écrivains représentatifs de ce qui fait sa force véritable. La raison d’être des petites démocraties n’est pas dans le
3 ipe communautaire qui anime la fédération. Or, la force d’un tel principe se mesure au niveau de la culture. (Et non pas seul
3 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
4 berté chrétienne. Non seulement d’espoir, mais de force . h. Rougemont Denis de, « Veille d’élection présidentielle », Jour
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
5 s, qui sont très purs : qu’elle distingue mal les forces colossales qui paralysent jusqu’à votre éloquence et vous empêchent d
5 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
6 celle de fédérer nos faiblesses pour en faire la force du siècle. Messieurs les députés européens, saurez-vous mériter votre
6 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
7 leur a donné presque sans qu’ils s’en doutent la force et les moyens de l’indépendance : une Autorité fédérale. Nous n’atten
7 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
8 empire par ses armes et ses négociations, par la force et par la fraude. L’Afrique, l’Asie, l’Amérique sont successivement t
9 américain qui soit au-dessus du contrôle de toute force ou de toute influence européenne, et qui leur permette de dicter les
8 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
10 ci serait ruineuse pour le principe qui a fait la force principale du stalinisme dans l’intelligentsia européenne : l’autorit
11 d’instaurer un langage commun. Le premier est la force brutale : c’est le vainqueur qui impose à tous le sens des mots qu’il
12 il n’était pas question d’en discuter, ce fut la force qui trancha. Le second moyen d’instaurer un langage commun, c’est le
13 aire. Cette discussion ne peut être réglée par la force . Que chacun prouve la justesse de sa cause dans une compétition pacif
9 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
14 tôt, cette Europe qui pouvait, en rassemblant ses forces à l’appel angoissé de la liberté, éviter la honte éternelle qui accab
10 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
15 la terre entière ; elle n’est pas à la merci des forces extérieures qui pourraient la détruire. Elle s’alimente par elle-même
16 le s’alimente par elle-même. Elle est devenue une force de production et d’autocritique extraordinaire. Je ne suis pas pessim
11 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
17 ture. C’est la démission des citoyens qui fait la force des dictateurs. Bernard Béguin. — C’est le désordre dans la démocrati
18 ment encore, à l’extérieur de nos frontières, des forces peuvent menacer notre liberté d’exprimer cette solidarité. Christian
12 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
19 érance, du fair-play, du respect de l’autre. Mais force est de constater qu’à l’heure actuelle cette morale est en train de f
13 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
20 cœur, au corps et à l’âme » et de réaffirmer avec force sa foi en un avenir qui sera ce que nous en ferons, Denis de Rougemon
21 la bombe atomique notamment. Mais surtout, par la force en mon cas créatrice d’une constante et poignante nostalgie, en Améri