1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 orientale de l’islam, que nous l’avons lu avec un intérêt si soutenu et parfois — je pense à certaines pages sur Jérusalem qui
2 nts sur l’Orient sont les œuvres des Orientaux. L’ intérêt d’un livre comme celui-ci est plus dans l’opposition des deux mondes
3 sque constamment critique de M. de Traz diminue l’ intérêt vivant de son livre : cette impartialité même, cette façon de se plac
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
4 articulier la littérature, a voulu se séparer des intérêts fondamentaux de la nation. Ce phénomène est apparu dès le romantisme,
3 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
5 e ce débat académique — recouvrant d’ailleurs des intérêts matériels et non des idées — vous trouverez des articles d’un ton bea
4 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
6 és. Elle cherche réellement à les résoudre dans l’ intérêt commun, — et non pas à répéter à tout propos le credo trop connu d’un
5 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
7 péen). Certes, il convient de saluer bien bas les intérêts et les Pouvoirs, de s’agenouiller devant les Constitutions, de ramper
6 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
8 emmes, mais par-delà tous les accents locaux, les intérêts et les passions, par-delà les croyances et les révoltes qui rassemble
7 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
9 institutions, notre point de vue politique et nos intérêts économiques »… Je ne sais ce que les Hindous, les Boers, les Canadien
10 s n’est travailliste… Les habitudes sociales, les intérêts … On devine ce qu’il y aurait à dire là-dessus. Bref, une seule chose
11 saurait être envisagé que s’il n’affecte pas les intérêts anglais, et que si toute l’Europe se convertit à l’étatisme illimité.
8 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
12 ifices d’amour-propre, sans replis stratégiques d’ intérêts légitimes, sans compromis elle ne sera pas. C’est clair. Seuls, ceux
13 s mouvements fédéralistes aussi. Et les groupes d’ intérêts professionnels, syndicats patronaux et ouvriers. Il en résultera dans
14 peut nous l’imposer ? Qui peut faire reculer les intérêts puissants, et parfois légitimes, qui se révèlent contraires au salut
9 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
15 aphiquement, en quatre parties dont chacune a des intérêts distincts. L’Europe, pour le malheur des trois autres, les a toutes,
10 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
16 de convaincre — sinon le dialogue n’aurait pas d’ intérêt ni de raison d’être. Mais il suppose aussi le respect de l’autre et l
11 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
17 nnant notre bas monde à ses fins matérielles, à l’ intérêt . C’est la croyance à la survie de l’âme personnelle, à quoi l’auteur
12 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
18 croire qu’il s’agit uniquement d’une opposition d’ intérêt entre l’armée et l’objecteur. Michel Barde. — L’opposition de l’objec
19 quelque chose qui soit au-dessus de l’État et des intérêts de l’État. Ce qui me paraît absolument hypocrite, c’est de mettre « A
13 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
20 e plus en plus brutale et ne tient pas compte des intérêts régionaux. Alors, entre les deux libertés, laquelle choisir ? Françoi
21 ôté ni de l’autre. L’État est l’arbitre entre des intérêts souvent divergents. Il doit veiller à ce qu’il y ait un certain équil