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re, l’autre contre Willkie, par un de ses amis de
jeunesse
. Les deux auteurs insistaient longuement sur la sympathie personnelle
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de se passionner pour ou contre cette œuvre d’une
jeunesse
étonnante, dont l’avenir seul découvrira les véritables proportions.
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n sens. Une des formules que j’ai lancées dans ma
jeunesse
(outre celle de l’engagement de l’écrivain), c’était la politique du
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sur la guerre que nous avons vécues et que notre
jeunesse
vit actuellement sont venues de deux guerres très conventionnelles :
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demeure à jamais fascinante, « passionnante ». La
jeunesse
dans son ensemble vit actuellement ce que nous pourrions appeler l’éc
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nomène qui met votre œuvre à l’ordre du jour ? La
jeunesse
, dans son ensemble, ne me paraît vivre rien qui ressemble à un « l’éc
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t entre cette « révolution » et votre pamphlet de
jeunesse
, qu’on vient de rééditer, Les Méfaits de l’instruction publique ? I
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i a fabriqué nos nationalismes. C’est un écrit de
jeunesse
que je renie d’autant moins qu’il a gardé la vertu réjouissante d’exa
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les tyrans (31 mai-1er juin 1980)ao ap Dans ma
jeunesse
, j’ai longtemps joué comme gardien de but dans les équipes de footbal