1 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
1 nt aussi de vos parlements, qui restent les seuls juges d’un conflit éventuel.) Si vous acceptez cela, vous aurez avec vous l
2 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
2 ainqueur qui impose à tous le sens des mots qu’il juge convenable. On se rappelle qu’au moment où l’armée rouge tentait d’en
3 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
3 ête, dans le cas de Boris Pasternak. Son refus le juge moins qu’il ne juge un régime qui ôte à l’homme le courage d’être lui
4 Boris Pasternak. Son refus le juge moins qu’il ne juge un régime qui ôte à l’homme le courage d’être lui-même, et le rabat a
4 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
5 is. Et il ne pouvait en être autrement. Car si le juge n’est plus obligé d’aggraver la peine du fait qu’il n’est plus tenu c
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
6 u moment du recrutement, et c’est l’armée qui les juge . Le colonel divisionnaire Dénéréaz a commandé la section du recruteme
7 férerais être jugé par un tribunal militaire, qui juge essentiellement des honnêtes gens, que par des tribunaux ordinaires q
8 suisses, le sursis ne peut être accordé que si le juge a plus qu’un espoir, mais une conviction suffisante. Alors, l’objecte
9 fficiers de carrière qui, en règle générale, sont juges militaires, ce sont des miliciens. Denis de Rougemont. — Je n’ai abso
10 ivisionnaire Dénéréaz. — Le Tribunal militaire ne juge pas l’objecteur de conscience. Il juge le citoyen qui ne veut pas ser
11 litaire ne juge pas l’objecteur de conscience. Il juge le citoyen qui ne veut pas servir — parce qu’il est objecteur. Ce n’e
6 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
12 ière fois en public. On s’étonne souvent, ou l’on juge regrettable, que je donne le plus clair de mes journées, depuis plus