1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 un point de vue fixe, d’où comparer et, parfois, juger  ; préférant obstinément à la légende le vrai, même amer, non par défa
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
2  distinguant » volontairement des préoccupations, jugées vulgaires, de la nation ; tandis que les autres spéculaient commercia
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
3 un « pas important vers l’union ». Et les Anglais jugeront qu’ils ne peuvent s’associer à ces engagements téméraires avant d’avo
4 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
4 conscience. Le primat de l’éthique ensuite : « Ne jugeons point de la fonction de Dieu dans la vie humaine par la croyance ou l
5 m d’une théologie que, d’autre part, nos docteurs jugeront hérétique, voilà de quoi faire à notre ami beaucoup d’ennemis dans to
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
6 sme face à celui d’une collectivité, qui, elle, a jugé le christianisme compatible avec le service militaire du citoyen.
7 itutionnel et défi à l’armée, lorsqu’il s’agit de juger ceux qui ne sont pas encore citoyens, pas encore soldats, et qu’on lu
8 ient à ce que les objecteurs de conscience soient jugés par des tribunaux civils. À leur place, je préférerais être jugé par
9 ibunaux civils. À leur place, je préférerais être jugé par un tribunal militaire, qui juge essentiellement des honnêtes gens
10 nnêtes gens, que par des tribunaux ordinaires qui jugent en majorité des gens plus ou moins malhonnêtes. Colonel divisionnaire
11 ns malhonnêtes. Colonel divisionnaire Dénéréaz. —  Jugez -vous des mineurs dans les tribunaux militaires ? Colonel Vaucher. — S
12 itaires ? Colonel Vaucher. — Si, nous pouvons les juger . Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Mais le garçon de 18 ans peut obte
13 éguin. — Nous éprouvons tout de même un malaise à juger des honnêtes gens et à les mettre dans une prison de droit commun. Co
14 mmun. Colonel Vaucher. — Les tribunaux militaires jugent en majorité des honnêtes gens, c’est vrai ; et je ne pense pas seulem
6 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
15 pas à ses romans mais bien à ses essais qu’on le jugera . Rendons leur place aux essayistes dans toute littérature digne du no