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un point de vue fixe, d’où comparer et, parfois,
juger
; préférant obstinément à la légende le vrai, même amer, non par défa
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distinguant » volontairement des préoccupations,
jugées
vulgaires, de la nation ; tandis que les autres spéculaient commercia
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un « pas important vers l’union ». Et les Anglais
jugeront
qu’ils ne peuvent s’associer à ces engagements téméraires avant d’avo
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conscience. Le primat de l’éthique ensuite : « Ne
jugeons
point de la fonction de Dieu dans la vie humaine par la croyance ou l
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m d’une théologie que, d’autre part, nos docteurs
jugeront
hérétique, voilà de quoi faire à notre ami beaucoup d’ennemis dans to
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sme face à celui d’une collectivité, qui, elle, a
jugé
le christianisme compatible avec le service militaire du citoyen.
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itutionnel et défi à l’armée, lorsqu’il s’agit de
juger
ceux qui ne sont pas encore citoyens, pas encore soldats, et qu’on lu
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ient à ce que les objecteurs de conscience soient
jugés
par des tribunaux civils. À leur place, je préférerais être jugé par
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ibunaux civils. À leur place, je préférerais être
jugé
par un tribunal militaire, qui juge essentiellement des honnêtes gens
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nnêtes gens, que par des tribunaux ordinaires qui
jugent
en majorité des gens plus ou moins malhonnêtes. Colonel divisionnaire
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ns malhonnêtes. Colonel divisionnaire Dénéréaz. —
Jugez
-vous des mineurs dans les tribunaux militaires ? Colonel Vaucher. — S
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itaires ? Colonel Vaucher. — Si, nous pouvons les
juger
. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Mais le garçon de 18 ans peut obte
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éguin. — Nous éprouvons tout de même un malaise à
juger
des honnêtes gens et à les mettre dans une prison de droit commun. Co
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mmun. Colonel Vaucher. — Les tribunaux militaires
jugent
en majorité des honnêtes gens, c’est vrai ; et je ne pense pas seulem
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pas à ses romans mais bien à ses essais qu’on le
jugera
. Rendons leur place aux essayistes dans toute littérature digne du no