1
mier lieu de l’inculture relative des masses. (On
lit
beaucoup moins en France qu’en Suisse et qu’en Allemagne.) Elle me pa
2
e enfin dans son urgence et son ampleur. Pourquoi
lit
-on si peu ? Pourquoi, en temps de crise, a-t-on comme premier réflexe
3
nce que de très petits cercles d’élus ? Le peuple
lit
ce qu’on écrit pour lui, et si les grands esprits se désintéressent d
4
ue il ne crée pas une superdémocratie, il fait le
lit
de la dictature. C’est cela qui nous fait peur dans un militantisme q