1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
1 sionnés que vient de soulever le fameux projet de loi Jean Zay démasquent un autre aspect de la question : celui du contrat
2 néfice de l’éditeur, cela va de soi. Le projet de loi Jean Zay entend mettre une fin à ces pratiques, en limitant à 10 anné
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
3 ompromise ne se rétablira point par quelque truc, loi nouvelle ou campagne de propagande. Il s’agit bien plutôt que les écr
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
4 ériel cessera d’être démocratique s’il accepte la loi de la majorité. Cette logique fait la nouveauté du daltonisme, encore
5 le monde voudrait leur unification. Et quant aux lois pénales et aux systèmes fiscaux, je ne vois pas que leur variété ait
4 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
6 essemblance de Dieu ». Pour eux, « la perte de la loi tonale équivaut à la mort de Dieu pour la conscience musicale ». L’at
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
7 e condamner par une application routinière de ses lois ceux qui commettent la faute de croire à ses fondements moraux et pol
6 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
8 en défini de mettre en évidence l’injustice d’une loi et de préconiser quelque chose de nouveau au moyen d’une opposition a
9 et d’être civique, et d’être citoyen ? Il y a les lois , mais il y a aussi l’esprit des lois. Je ne pense pas que le conformi
10 ? Il y a les lois, mais il y a aussi l’esprit des lois . Je ne pense pas que le conformisme soit une qualité première du bon
11 e du bon citoyen, et je pense que la critique des lois fait partie intégrante des qualités du civisme. Nous avons vu à quoi
12 une religion de l’État où le citoyen applique les lois et y obéit sans les mettre plus jamais en question. Bernard Béguin. —
13 épend si le citoyen est autorisé à les faire, ces lois , ou si elles lui sont dictées. Si elles ont été faites par la collect
14 e n’est que l’un des moyens d’amener à ce que les lois puissent s’amender. C’est une façon de mettre en évidence certains pr
15 le les dictateurs. Et quand le citoyen récuse les lois d’une collectivité démocratique il ne crée pas une superdémocratie, i
16  La justice militaire est compétente parce que la loi le dit. Nous, officiers de justice militaire, nous ne verrions aucun
17 Vaucher. — C’est le législateur qui a modifié la loi , à la suite de débats concernant l’objection de conscience, devant le
18 ’objecteur cherche sa condamnation. Il accepte la loi . (Il pourrait s’y soustraire en se faisant réformer.) Mais sans se so
19 e faisant réformer.) Mais sans se soustraire à la loi l’objecteur cherche à montrer les failles de la loi, et à modifier l’
20 i l’objecteur cherche à montrer les failles de la loi , et à modifier l’esprit du législateur. Ce qui malgré tout peut se fa
21 ur. Ce qui malgré tout peut se faire, puisque les lois changent. Colonel Vaucher. — Je voudrais répondre encore à M. de Roug
7 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
22 t nullement de droit divin ! François Peyrot : La loi qui a été votée à l’époque sur les autoroutes a été soumise à un déla
23 fiés. Car nos autorités agissent conformément aux lois voulues par la majorité de la population. Jean Kräyenbühl : On a évoq
8 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
24 de quartier, il écrase ses adversaires, dicte sa loi  », un peu comme si les grands sportifs imposaient leurs volontés les
9 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
25 vers. On m’opposera sans doute Racine. Mais toute loi souffre exception, comme toute préférence quelque injustice. Le style