1
auquel nous ont habitués les voyageurs en Orient,
mais
une suite de coups d’œil aigus sur l’âme orientale de l’islam, que no
2
ntale de lui-même, comme c’est si souvent le cas,
mais
bien sur l’Orient. Encore faut-il s’entendre : les meilleurs document
3
rties du volume, d’une importance moins actuelle,
mais
d’une qualité d’art peut-être supérieure. Les méditations sur les rui
4
bon sens qui est le plus éloigné du sens commun —
mais
qui reste trop méfiant de tout romantisme pour édifier aucun système.
5
quitte le ton mesuré qu’il s’impose d’ordinaire.
Mais
j’avoue que m’a parfois un peu gêné cette présence de la mort qu’il f
6
façon de se placer en face des choses, tout près,
mais
sans jamais s’y perdre ou se confondre en elles, révèle sa personnali
7
usieurs de ses morceaux attestent la délicatesse,
mais
parce qu’il sait y trouver les seuls motifs réels d’exaltation. 1.
8
révolution, le transfert de la SDN à la Hofburg…
Mais
les nouvelles de l’Opéra aussi sont en grosses lettres, et tout cela
9
correspondre à son état d’esprit le plus naturel.
Mais
de quoi vivent ces bourgeois aimables et insipides, qui passent des a
10
en hautes falaises dans le Danube, froide et nue,
mais
dans son flanc une grotte s’illumine, et la Vierge y sourit. Le châte
11
On vous mène au Théâtre, vous n’y comprenez rien,
mais
le charme des voix hongroises féminines suffit à votre bonheur et vou
12
rent lyrisme que chez l’auteur de Gösta Berling :
mais
une sobriété qui vous saisit le cœur, à chaque page. Toute une vie de
13
me un affreux barbarisme importé d’outre-Manche).
Mais
s’il est une justice dans le domaine littéraire, il faut prédire à Sa
14
rédire à Sara Alelia non pas un succès de saison,
mais
la carrière plus discrète, plus populaire et plus durable, réservée a
15
x écrivains par un état de choses libéral certes,
mais
anarchique, et dominé par les seules nécessités de l’argent. En dehor
16
ouche, — ou de surproduction maladive. Praticable
mais
néfaste : les livres ne payant pas, il faudra faire du journalisme et
17
sans doute du fait qu’il s’agit encore d’écrire,
mais
dans un style qui ne saurait être celui du poète ou du philosophe, pa
18
and temps de mettre un ordre neuf dans tout cela.
Mais
il faudrait d’abord que cela se sache ! d. Rougemont Denis de, « C
19
premiers ouvrages seront sans doute déficitaires,
mais
qui plus tard, si la célébrité se dessine, se verra prisonnier d’un c
20
rats d’édition. Tous les écrivains applaudissent.
Mais
les éditeurs se récrient, et on les comprend assez bien : on les priv
21
Je ne nie pas que cela explique bien des choses.
Mais
d’où vient cette paresse ? D’où vient que le public se défende aussi
22
l, il se forme à l’image de ses auteurs préférés.
Mais
aujourd’hui, le rapport est inversé, quand il existe. Et le plus souv
23
autorité. Ils sont donc mal venus à se plaindre.
Mais
la société en pâtit, plus gravement qu’elle ne le croit, sans doute.
24
e retrouver ce qu’on appelle l’oreille du peuple.
Mais
cela suppose une véritable révolution dans les valeurs qu’ils ont cul
25
e la nation, sa vie réelle et sa nature profonde.
Mais
un tel redressement de la culture n’aurait pas de chance d’aboutir si
26
est pas pour prêcher les écrivains qui le lisent,
mais
dans l’espoir d’attirer l’attention de ceux qui sont du côté du publi
27
ave chez nous qu’ailleurs. C’est vrai sans doute.
Mais
si l’on se borne à le répéter, cela cessera bientôt d’être vrai : nou
28
public est à peu près ce que les auteurs le font.
Mais
il est juste de dire aussi qu’il a souvent les auteurs qu’il mérite.
29
s démocraties n’est pas dans le domaine matériel,
mais
dans le principe communautaire qui anime la fédération. Or, la force
30
’est pas seulement « faire marcher le commerce »,
mais
c’est aussi faire acte civique, dans une cité dont l’idéal est encore
31
hilosophes ! », proclamait récemment M. Goebbels.
Mais
, tandis que s’élevait l’immense rumeur des heil ! et la vocifération
32
Street, c’est-à-dire le capitalisme traditionnel.
Mais
Willkie promet aux foules de conserver et même de développer presque
33
ouer — sans le vouloir — le jeu des totalitaires.
Mais
Willkie réplique que c’est Roosevelt qui, en prétendant demeurer au p
34
probable qu’avec Willkie ? Ce n’est pas certain.
Mais
peut-être cette nuance hypothétique joue-t-elle un rôle plus importan
35
roallemand est extrêmement faible aux États-Unis,
mais
le parti antiguerre reste fort. En sera-t-il de même lorsque cet arti
36
e Mrs Willkie ont reçu quelques œufs sur la tête,
mais
ces manifestations somme toute peu dangereuses, de la passion politiq
37
fait lors d’un match. On peut applaudir ou huer,
mais
non pas entrer dans le terrain. Et l’on se doit d’applaudir également
38
lleurs fureur. L’Américain n’aime guère discuter,
mais
il aime faire connaître son opinion. Il délègue donc ce soin à un bou
39
’est pas un terme usé comme il l’était en France,
mais
un synonyme de santé civique, de volonté humaine et de liberté chréti
40
et de liberté chrétienne. Non seulement d’espoir,
mais
de force. h. Rougemont Denis de, « Veille d’élection présidentiell
41
mme toutes ses pareilles, à réunir des conserves,
mais
pour l’Angleterre, à présider des comités pour l’Angleterre, à donner
42
rtains flottements dans la politique du New Deal,
mais
ces défauts techniques sont compensés par un avantage moral considéra
43
le droit de référendum, ni le droit d’initiative,
mais
il les exerce en fait, d’une manière permanente, par le moyen d’une o
44
bord des fanatiques d’une foi, des missionnaires.
Mais
s’ils trouvaient sur le sol américain la liberté de célébrer leur cul
45
caractère social de leur religion, dès le début,
mais
aussi le caractère religieux de leur civisme. La structure politique
46
d’autres professeurs et des étudiants, bien sûr,
mais
aussi des journalistes, des personnalités politiques, des écrivains d
47
les diverses dénominations dans un même village.
Mais
ces traits extérieurs s’expliquent lorsqu’on découvre la réalité de l
48
iale que religieuse, dira-t-on ? C’est un risque.
Mais
c’est aussi une possibilité d’action spirituelle constamment maintenu
49
ants, créateur d’un sentiment unanime et profond,
mais
aussi différent que possible de ces passions de haine et d’orgueil co
50
on point que sa beauté nous eût cloués sur place,
mais
parce qu’elle provoquait des tempêtes magnétiques qui ont pour effet
51
bond. Nous volons à tire-d’aile vers l’Irlande. »
Mais
ce cliché et ces jolies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car
52
endre son tour dans la queue devant les guichets,
mais
encore, une fois installé dans le fauteuil profond de l’avion, attend
53
a mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse.
Mais
tout d’un coup elle se déchire : ce n’était qu’une couche de nuages.
54
nt la nuit. Derrière nous, tout est flamme et or.
Mais
un toit d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la mer, ferme le
55
vraies ! Ah mon cher, ici, tout est beau !… » — «
Mais
tout ici a été fait par les Américains pendant la guerre… » — « Taise
56
croit-elle, d’une Amérique « où tout est laid »,
mais
d’où ils viennent. ⁂ Les oiseaux de Paris Nous roulons dans un
57
nciale. C’était cela, le boulevard Saint-Michel ?
Mais
sur les Quais, où le car nous dépose, j’ai retrouvé les grandes mesur
58
Il y a des chambres, et même des salles de bain.
Mais
comment dormirais-je cette nuit ? J’arrive au rendez-vous après sept
59
é d’un siècle, en direction d’une beauté oubliée.
Mais
que dire de la foule que j’ai vue le lendemain aux trottoirs des Cham
60
i l’impression qu’on exagère un peu, à cet égard.
Mais
le reste du monde se charge de rétablir un équilibre « humain », sur
61
en tiens là dans mes jugements, j’arrive à peine.
Mais
si j’essaie de situer ce pays dans le cadre de mon voyage, voici comm
62
Un tiers de salle, un ton d’obsèques officielles
mais
sans tristesse. Ce fut une glorieuse journée, comme disent les Anglo-
63
gne aux cygnes, comme dit l’intact Pierre Girard,
mais
l’idée d’une Ligue des Nations a survécu au déchaînement nationaliste
64
assises dans le pays qui lui offrait son modèle,
mais
qui est le seul, ou presque, d’entre nous, à ne point faire partie de
65
d’une nuit. Paradoxe de la crise des logements !
Mais
qu’importe. Notre idée se « développe », comme on le dit en photograp
66
une Autorité fédérale, dotée de pouvoirs limités,
mais
réels. Rien d’autre, en vérité, ne pouvait assurer l’indépendance du
67
érité, ne pouvait assurer l’indépendance du pays.
Mais
la Diète, les États et leurs experts voyaient dans le mot souverainet
68
lies sublimes des grandes Nations contemporaines.
Mais
il n’est pas exact que l’Europe d’aujourd’hui soit plus grande que la
69
: il n’en est pas une seule qui se soit vérifiée,
mais
pas une seule non plus qui ne reparaisse dans la bouche même de ceux
70
ifférentes… Certes, comparaison n’est pas raison,
mais
quand les raisons de ne rien faire restent les mêmes quoi qu’il arriv
71
liste n’est pas seulement praticable en principe,
mais
pratique. C’est assez pour que j’ose vous supplier d’y réfléchir quel
72
le prend. C’est le temps de méditer avant d’agir.
Mais
celui que vous risquez de perdre, cet été, soyez bien sûr qu’il le re
73
est le temps de modifier non pas des paragraphes,
mais
l’ordre de bataille de l’armée rouge. p. Rougemont Denis de, « Let
74
ions. Et je n’ai point de conseils à vous donner.
Mais
je vous écris au nom d’une centaine de milliers de militants fédérali
75
rudence du siècle. Nous ne sommes pas impatients,
mais
angoissés. Nous ne voulons pas qu’on aille vite par doctrine, par man
76
tes qu’il faut aller lentement dans tous les cas.
Mais
nous ne voyons aucun motif de croire qu’on leur laissera tout le temp
77
! — répondent après six mois que c’est prématuré,
mais
qu’il ne faut rien faire en attendant. Et l’opinion se demande si tou
78
et de confesser son pur néant devant les experts.
Mais
rien ne pourra jamais me persuader qu’ils aient tous raison à la fois
79
sais pourquoi, ni ce qu’il veut dire exactement,
mais
cave ou toit, chacun peut voir que M. Bevin n’a jamais voulu rien com
80
weiter. Les vieillards ont l’humeur proverbiale,
mais
votre assemblée est trop jeune. Je lui propose quelques slogans nouve
81
peuples. Petit à petit, Paris ne s’est pas fait.
Mais
par deux ou trois décisions, dont celle d’Haussmann, corrigée d’un co
82
, on comprendra que vous n’êtes plus nécessaires.
Mais
cessez de faire semblant d’être là. Constater le néant représente un
83
d’une illusion coûteuse dans un édifice inachevé.
Mais
si quelques-uns d’entre vous, comme je le crois, sont fédéralistes, q
84
point hélas ! pour vos succès jusqu’à cette date,
mais
pour le rôle qui vous est dévolu, et pour le nom qu’il vous convient
85
lus de deux-cents-millions d’hommes et de femmes,
mais
par-delà tous les accents locaux, les intérêts et les passions, par-d
86
ne dépassant guère 4 % de la superficie du globe,
mais
bien de cela qui a fait au cours des âges, d’un cap médiocre en dimen
87
algré tant de crimes, l’honneur de l’être humain.
Mais
cette beauté, ce bonheur, cet honneur, et cette conscience inquiète a
88
es, un trésor de diversités souvent irréductibles
mais
sans prix, de libertés, de foi, et de formes de vie, cette idée par e
89
bon travail, pourvu qu’elle n’ait aucun pouvoir.
Mais
le Comité ministériel cessera d’être démocratique s’il accepte la loi
90
otifs profonds ne sont point ceux qu’ils donnent,
mais
bien ceux qu’ils subissent plus que d’autres en leur île : j’entends
91
s. Suárez et les jésuites pensaient différemment,
mais
c’était il y a trois-cents ans. Personne ne sait très bien, en somme.
92
pas que l’étranger commande chez eux. C’est tout.
Mais
s’il faut éviter que l’étranger soit Staline, ils acceptent fort bien
93
— comment faire abandon de ce qu’on n’a plus ? —
mais
de renoncer, une fois pour toutes, à invoquer ce mauvais motif qui en
94
s vingt-cinq États sont souverains sur le papier,
mais
fédérés en fait. Chacun d’eux a gardé sa personnalité, parce qu’un gr
95
er que par l’union, et que l’unification tuerait.
Mais
sans sacrifices d’amour-propre, sans replis stratégiques d’intérêts l
96
s disent : « Je veux bien, je ne suis pas contre,
mais
voyez ces difficultés ! L’Opinion, par exemple, n’est pas mûre, et ch
97
. Il n’en fallut pas plus pour fédérer la Suisse.
Mais
l’opinion veut qu’on l’entraîne. « On suit ceux qui marchent », dit P
98
c’est Truman. Elle l’était avant cela, bien sûr,
mais
elle n’a pu parler que dans le secret des urnes. L’opinion d’aujourd’
99
pinion d’aujourd’hui, je la sens, c’est l’Europe.
Mais
elle ne bougera pas, si vous ne faites presque rien. Elle laissera le
100
ttre en pratique, cela ne fait de mal à personne.
Mais
cela en fait aux principes. Or une Europe qui se moque des principes
101
e de sous-estimer la puissance des philatélistes.
Mais
si Strasbourg accouche d’un timbre-poste, nous serons un peu déçus, e
102
prématuré. Si vous me dites que c’est très joli,
mais
qu’il faut qu’on vous laisse du temps, je vous proposerai de l’obteni
103
us adjurer de la part des millions qui se taisent
mais
qui ont peur ? Pardonnez mes violences et mes impertinences : compren
104
r : si vous ne voulez rien faire, allez-vous-en !
Mais
beaucoup d’entre vous veulent agir, et je les supplie maintenant, au
105
s libres, ni des peuples muets de l’Est européen.
Mais
vous pouvez le devenir et sonner le ralliement, cet été, en septembre
106
u une autre, qui résoudra le problème du chômage,
mais
l’union de nos sacrifices. Qui peut nous l’imposer ? Qui peut faire r
107
proche assez de Genève pour lui vendre ses bœufs,
mais
s’arrête avant de toucher les rives du lac ; les paysans ne sont pas
108
ien sa statue, grandeur nature, dans mon village.
Mais
ce n’est pas ce petit corps maigre, et ce rire édenté de vieillard po
109
oilà, l’écrivain « engagé » ! Il ignorait le mot,
mais
faisait un pays. Et certes personne ne l’aidait, mais il était fort r
110
faisait un pays. Et certes personne ne l’aidait,
mais
il était fort riche et souvent généreux, pourvu d’une plume qui valai
111
se, envoyés par la grande Catherine, périclitent.
Mais
les arbres bordant la route de Gex à Genève me parlent chaque matin d
112
ns, d’horlogers, de céramistes, tous protestants,
mais
qui vécurent en paix avec ceux qu’ils enrichissaient. En même temps,
113
ds pendant la nuit ? » Non pas son mince fantôme,
mais
certes son exemple vient chatouiller mon imagination, que bien d’autr
114
qui souhaite nous réduire à l’état de satellites.
Mais
nos faiblesses, nées de notre manque d’union, appellent dangereusemen
115
lon les inspirateurs de cette campagne insensée —
mais
qui se branche sur le sentiment spontané de larges masses, latines su
116
imples « instruments de la grandeur américaine ».
Mais
quel remède nous offre-t-on à cette situation humiliante ? Le statu q
117
! Nous y reconnaîtrons nos anxiétés, nos erreurs,
mais
aussi nos espoirs. (Et même les articles de Life, dans cette histoire
118
res et des idées. Et voilà qui n’a l’air de rien,
mais
qui équivaut en fait à lever le rideau de fer. Je pars de là. Je ne s
119
le mur du son, il entre dans une zone de silence.
Mais
quand un homme d’État soviétique passe le Rideau, c’est pour entrer d
120
ainsi d’une théorie, donc d’un fait de culture ;
mais
comme il n’était pas question d’en discuter, ce fut la force qui tran
121
logue n’aurait pas d’intérêt ni de raison d’être.
Mais
il suppose aussi le respect de l’autre et le désir de le comprendre,
122
dans des congrès où s’affrontent les démagogies,
mais
par groupes de professionnels ; parlons d’histoire, d’arts et de scie
123
du voisin soit au contraire son cheval de Troie.
Mais
il s’agit d’échanges réels dans les deux sens, ou je n’ai rien dit. S
124
avant tout non point la liberté, qu’elle redoute,
mais
la sécurité. À l’intérieur, elle ne trouve que problèmes. À l’extérie
125
s chars dans la foule serrée chantant la liberté.
Mais
avant que l’Histoire et la colère des peuples l’ait balayé de la plan
126
us des élections locales d’un peuple d’outre-mer,
mais
de nos seules consciences, advienne que pourra. Nous devons mettre l
127
l’aise, et tout homme doit le vouloir avant tout,
mais
ce n’est pas un article qui pourrait y suffire, il faut agir. Je parl
128
s pour si peu : elles ne dépendent pas de l’État.
Mais
qu’un écrivain russe reçoive le prix Nobel, tout le monde sait aussit
129
ournalistes étrangers : « C’est une immense joie,
mais
un peu solitaire ! » sachons qu’il s’agit moins de lâcheté, dans son
130
ucoup de physiciens après lui se sont dit athées,
mais
cela ne change rien au fait que le mouvement créateur de la science p
131
se d’ailleurs, pour réfuter l’athéisme de Sartre)
mais
aussi à son expérience de musicien. Ce chapitre sur Dieu, qui occupe
132
nonienne. Dieu n’étant pas l’objet d’un problème,
mais
« le fondement commun du monde et de notre existence dans le monde »,
133
ée vidée de sens. « Dieu n’est pas ce qui est vu,
mais
ce qui voit », écrit très justement J.-C. Piguet, commentateur et ass
134
maine par la croyance ou l’incroyance des hommes,
mais
par les signes de sa présence dans l’existence de l’homme en tant qu’
135
béralisme protestant de l’époque post-hégélienne.
Mais
qu’en dirait Karl Barth lui-même, qui n’a pas fini de nous surprendre
136
gentsia plus ou moins masochiste de notre Europe.
Mais
surtout, condamner radicalement presque toute la musique contemporain
137
de « La Voix de l’Amérique parle aux Français ».
Mais
la caricature veut ces déformations, si la critique honnête les répro
138
ur M. Bugnot. Équilibré, maître de soi, convaincu
mais
sans fanatisme, il n’est ni subversif, ni anarchiste, ni cryptocommun
139
n homme sérieux et ouvert, doué d’esprit critique
mais
capable de s’enthousiasmer autant que de s’indigner. Les motifs de so
140
ons théoriques ou concrètes qu’en fait M. Bugnot.
Mais
il y a loin de contester à condamner et à flétrir publiquement. Si no
141
udrait l’acquitter, et peut-être le voudriez-vous
mais
je sais bien que vous n’avez pas le droit formel. Dans ces conditions
142
r service non dans l’indifférence ou l’ignorance,
mais
dans la connaissance lucide des choix que poserait un conflit armé. L
143
e du pays ». Je n’ai pas demandé qu’on le décore,
mais
simplement qu’on ne le mette pas au ban de notre société et que l’on
144
e les gouvernements n’est pas toujours bourgeois,
mais
il est toujours gouvernemental, dans tous les pays. La bourgeoisie es
145
i est encore au pouvoir dans la plupart des pays,
mais
ce n’est pas elle qui donne ce ton-là, puisque vous le retrouverez da
146
e et très peu probable) d’un monde rendu meilleur
mais
dans l’augmentation des possibilités de choix. Pensez-vous que nous a
147
oïsme ? Le maoïsme prétend être le vrai marxisme.
Mais
c’est un mélange de marxisme-léninisme et de certaines traditions chi
148
« Le pouvoir personnel finit toujours mal. » Bon.
Mais
qu’en est-il du pouvoir impersonnel ? Le cas des quatre Républiques f
149
r et Toynbee ont développé cette idée, séduisante
mais
fausse. Aujourd’hui, la civilisation née en Europe recouvre la terre
150
ordinaire. Je ne suis pas pessimiste à son sujet,
mais
je le suis en ce qui concerne les effets de ce que l’Homme, indépenda
151
ne VW vienne m’envahir dans la cour de ma maison.
Mais
cela ne s’est jamais vu. » Quelle est la responsabilité de l’artiste
152
dèles de l’aventure spirituelle et de la passion.
Mais
aujourd’hui, les artistes ne fondent plus rien : ils réagissent aux m
153
ctif, ils en traduisent et révèlent les courants,
mais
n’agissent plus sur eux. C’est à l’essayiste, au philosophe lyrique,
154
nt plus ou moins aux esprits et aux sensibilités.
Mais
encore faut-il sentir l’époque si l’on veut essayer de l’influencer :
155
et la croyance aux toujours plus grands nombres.
Mais
je n’ai pas envie d’étudier après coup l’histoire de mon temps, ce n’
156
téresse, ce n’est pas le passé de notre désordre,
mais
de trouver les moyens d’en sortir. C’est-à-dire de créer un ordre plu
157
e sommes pas là pour essayer de prévoir l’avenir,
mais
pour le faire, disons d’une manière réaliste, pour essayer de le chan
158
but de la société n’est pas la société elle-même,
mais
la personne, c’est-à-dire l’homme, à la fois libre et responsable, tr
159
professent l’objection et en portent témoignage,
mais
par la valeur des principes qu’elle révèle et des questions qu’elle p
160
garantit la liberté religieuse et de conscience.
Mais
le paragraphe 5 de cet article dit qu’« on ne peut, pour cause d’opin
161
osition de l’objecteur est anticonstitutionnelle,
mais
elle peut s’appuyer sur le fait que la Constitution se réfère « Au Di
162
it le moyen de la refuser d’une certaine manière,
mais
il s’y soumet par une autre puisqu’il accepte le jugement des tribuna
163
de faire en sorte que les problèmes soient posés,
mais
ce n’est qu’un moyen parmi d’autres. Et personnellement je me sens tr
164
cher. — Pas chez nous. Denis de Rougemont. — Non.
Mais
j’ai dit dans certains régimes, et très logiquement. Car là il n’y a
165
ous la protection divine ». Christian Schaller. —
Mais
quel est le sens de cette protection divine que l’on utilise pour la
166
tre civique, et d’être citoyen ? Il y a les lois,
mais
il y a aussi l’esprit des lois. Je ne pense pas que le conformisme so
167
Schaller. — Vous êtes conscient de ce danger-là,
mais
êtes-vous conscient aussi du danger inverse, qui est le danger de l’o
168
t, ce conformisme-là ne conduit pas à l’anarchie,
mais
conduit à la dictature. C’est la démission des citoyens qui fait la f
169
vons les juger. Colonel divisionnaire Dénéréaz. —
Mais
le garçon de 18 ans peut obtenir un sursis… Michel Barde. — Il y en a
170
isonnement peut être plus long. Bernard Béguin. —
Mais
est-ce que les arrêts répressifs se purgent avec des prisonniers de d
171
cience sont subis dans des prisons, certainement,
mais
les objecteurs de conscience sont autorisés à travailler pendant la j
172
es établissements hospitaliers. Bernard Béguin. —
Mais
sont-ils logés dans des prisons militaires ? Colonel Vaucher. — Non.
173
vident que l’on ne peut éviter toute promiscuité,
mais
les objecteurs de conscience disposent de cellules tout à fait séparé
174
ribunaux pour malhonnêtes gens. Bernard Béguin. —
Mais
si. Il y a un délit constitutionnel qui n’est pas un délit pénal. Il
175
teté. Vous pouvez le considérer comme arbitraire,
mais
il existe. Et d’autre part nous avons une Constitution qui définit de
176
ssayé de dire qu’ils n’avaient pas la conviction,
mais
l’espoir que le jeune homme réfléchirait et qu’il se présenterait au
177
être accordé que si le juge a plus qu’un espoir,
mais
une conviction suffisante. Alors, l’objecteur est forcément condamné,
178
énal militaire : refus de servir) sont réalisées.
Mais
avec les atténuations dont nous avons parlé. Bernard Béguin. — Ces at
179
i-même. J’ai fait pas mal de service dans ma vie.
Mais
je suis intervenu à propos d’un de mes étudiants pour qui j’avais de
180
ristian Schaller. — Acquitté ? Colonel Vaucher. —
Mais
oui, bien sûr, mais en fait le cas ne se présente pas. Quand acquitte
181
Acquitté ? Colonel Vaucher. — Mais oui, bien sûr,
mais
en fait le cas ne se présente pas. Quand acquitte-t-on le meurtrier ?
182
irresponsable sera acquitté aussi. C’est évident.
Mais
je n’en ai jamais vu. Tous les objecteurs que j’ai connus étaient des
183
pourrait s’y soustraire en se faisant réformer.)
Mais
sans se soustraire à la loi l’objecteur cherche à montrer les failles
184
e il ne faut pas confondre soldat et militarisme.
Mais
si l’on discute l’efficacité de la non-violence, il faut aussi discut
185
ivil. Numériquement, cela ne jouerait aucun rôle.
Mais
pour d’aucuns, il y aurait de bons chrétiens qui ne portent pas les a
186
al. C’est ma conviction intime, à moi militaire !
Mais
que voulons-nous faire ? défendre notre pays, c’est tout. Le général
187
uand il a dit : « Objecteurs de conscience ? oui,
mais
pas en Suisse. Pour quelle raison en Suisse ? Nous ne voulons de mal
188
rtain nombre d’objecteurs. Nous en serions ravis.
Mais
si je me pose la question comme citoyen — et je suis reconnaissant au
189
des volontaires pourraient assurer cette défense.
Mais
même si elle le pouvait elle présenterait l’immense inconvénient d’êt
190
ait sans doute plus attrayant. Nous protégeons
mais
que construisons-nous ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Nous pou
191
s le parapluie américain. Ce serait une solution.
Mais
nous abandonnerions le service militaire sans doute obligatoire, nous
192
s passerions pour une part à une armée de métier.
Mais
à ce moment-là, nous serions obligés de faire des concessions à tout,
193
non en toute indépendance. Christian Schaller. —
Mais
la question est bien là. Nous conservons, mais que construisons-nous
194
— Mais la question est bien là. Nous conservons,
mais
que construisons-nous ? C’est peut-être ça la question que nous pouvo
195
lérisés. Il n’y a pas le moindre doute là-dessus.
Mais
maintenant j’ai changé d’avis à cause de la bombe atomique. Il n’y a
196
des questions de cet ordre. Christian Schaller. —
Mais
je suis tout à fait d’accord. Bernard Béguin. — Nous ne pouvons pas i
197
us ne pourrions peut-être pas le faire en Russie.
Mais
je pense, pour ma part, que si la neutralité suisse doit s’accompagne
198
éantissement. Christian Schaller. — Parfaitement.
Mais
les frontières de la survie ne passent plus par nos frontières. Elles
199
questions auxquelles je ne prétends pas répondre,
mais
qui me paraissent tellement graves qu’on doit reconnaître une fonctio
200
hélas, nullement question d’amour… Je sais bien —
mais
je suis presque le seul à le savoir — que j’ai aussi écrit un roman,
201
s, qui peut-être, un jour ou l’autre, paraîtront…
Mais
enfin, le centre de ma méditation écrite reste le mystère religieux,
202
rche les complémentarités. Il n’y a pas mutation,
mais
maturation. J’ai voulu faireal, par des exemples tirés de romans cont
203
romans contemporains (Nabokov, Musil, Pasternak),
mais
aussi de la vie et des œuvres de Kierkegaard et de Nietzsche, que la
204
craignais que cette observation fût « dépassée ».
Mais
le Nouvel Observateur, qui la cite, ajoute : « Trente-cinq ans plus t
205
ltère s’est largement accrue. » Me voici dépassé,
mais
dans mon sens ! Il reste que l’amour-passion est une maladie de l’amo
206
enu une théorie à la mode. Je n’en ai plus parlé,
mais
pratiquement je me suis engagé au service de l’Europe, d’une société
207
itique, non seulement de la nation vers l’Europe,
mais
encore vers l’humanité dans son ensemble et en même temps vers la per
208
on publique ? Il y a sans doute une convergence,
mais
la situation actuelle est plus sérieuse que mon petit pamphlet, avouo
209
cet avenir ? Nous n’avons pas à prédire l’avenir
mais
à le faire. aj. Rougemont Denis de, « [Entretien] Denis de Rougemo
210
mise au point d’une partie de son œuvre ancienne,
mais
aussi d’ouverture sur l’avenir de notre société”. » al. Un verbe sem
211
cordon douanier qui ne sert à rien ni à personne,
mais
qui symbolise la « souveraineté » (d’ailleurs de plus en plus fictive
212
s redevient la capitale mondiale de l’automobile.
Mais
la voiture en 1978, loin d’être un simple objet de consommation, figu
213
voiture-ras-le-bol, elle est tout cela à la fois.
Mais
n’être qu’utilitaire et discrète, elle n’y parvient plus. « C’est dev
214
ée non pas d’une nécessité économique quelconque,
mais
de l’imagination d’un Henry Ford, mécanicien têtu et sans culture, di
215
out en s’aidant de slogans publicitaires habiles.
Mais
si la voiture avait été, dès le départ, un besoin inventé de toute pi
216
ait dit que le besoin de voiture n’existait pas,
mais
qu’il l’avait créé, n’est pas une démonstration suffisante. Les finan
217
mé qu’il n’y avait pas de besoin pour la voiture,
mais
tous ses amis. C’était la vox populi. Jacob Roffler : Rien n’est plus
218
vous devez vous rendre en ville pour travailler.
Mais
aussi sur le plan des loisirs. Regardez l’affiche du Salon 78 : « La
219
Salon 78 : « La voiture vous rend indépendant. »
Mais
rien n’est plus faux. En auto, vous devez respecter des horaires au m
220
. Vous partez en vacance non pas le samedi matin,
mais
le vendredi soir pour éviter les embouteillages. Denis de Rougemont :
221
s de besoin, il n’y a pas de production possible.
Mais
c’est un dogme ! Dans le cas de la voiture, Ford lui-même a assené la
222
ration des autos n’en a pas réduit les avantages.
Mais
c’est certain qu’elle les a réduits en partie. La « belle époque » où
223
ois ou quatre en Suisse, ce qui est considérable.
Mais
bien entendu cela comporte aussi des inconvénients. Un autre aspect q
224
ages de la voiture qui soi-disant rendrait libre.
Mais
vous savez très bien que lorsque vous prenez votre véhicule le matin
225
ns de conduite sur nos routes ? François Peyrot :
Mais
il faut faire un bilan ! C’est clair que l’on peut mentionner des ava
226
er au préalable à quoi cela peut bien nous mener.
Mais
voilà, Henry Ford ne s’est pas posé la question. Il ne s’est jamais d
227
st réglé et n’offre aucune possibilité de détour.
Mais
à partir de ce fantasme, qu’est-ce que cela a donné ? Quand il disait
228
lle les zones agricoles. C’est un aspect négatif.
Mais
le problème c’est que les gens aujourd’hui ont appris à se servir de
229
avoriser la liberté du trafic, tout est possible.
Mais
on ne peut seulement préconiser de rayer la voiture de la surface du
230
e… Denis de Rougemont : Cela personne ne l’a dit.
Mais
je voudrais reprendre mon propos initial. En moins de cinquante ans l
231
14 heures n’ont trouvé que cela à me répondre : «
Mais
Monsieur de Rougemont, avez-vous une voiture ? ». C’est grotesque, c’
232
es partisans, c’est porter atteinte aux libertés.
Mais
les opposants prétendent, de leur côté, que l’intervention de l’État
233
as contre l’initiative qui est constitutionnelle.
Mais
je suis contre le but qu’elle vise. Denis de Rougemont : Je suis bien
234
des corps constitués, vous parliez d’oligarchie.
Mais
la démocratie part d’en bas, des communes. Notre fédéralisme suisse e
235
autoroutes a été soumise à un délai référendaire.
Mais
il n’y a pas eu de référendum. Si le peuple suisse donne raison le 26
236
utier qui n’est pas conçu pour ce genre de trafic
mais
, lorsque l’on veut construire des routes de contournement, qui sont d
237
où la voiture ne devrait plus être qu’un appoint.
Mais
lorsque l’on passe aux actes, plus personne n’est prêt à abandonner s
238
re sur l’auto : « Les accidents sont impopulaires
mais
les mesures prises pour les empêcher sont encore plus impopulaires ».
239
ions vers la ville, où se déroulent les activités
mais
également l’animation. On ne peut pas couper les lieux d’activité des
240
pas Genève où les choses se déroulent autrement.
Mais
tout de même, ce jugement est assez impressionnant lorsque l’on sait
241
est non seulement professeur au Collège de France
mais
qu’il s’occupe chaque année du budget de la nation. François Peyrot :
242
aucoup sur l’objet — en l’occurrence la voiture —
mais
vous insistez beaucoup moins sur le sujet. Jacob Roffler : Quatre mil
243
n seulement pour soigner des maladies chroniques,
mais
aussi des accidentés. Lorsque votre voiture va sortir de son usine, i
244
difficile de s’arrêter de produire des voitures.
Mais
ne pourrait-on pas, au moins, envisager de mettre au point des véhicu
245
l’industrie automobile à cette affaire d’emploi.
Mais
n’y a-t-il vraiment pas d’autres moyens de créer des emplois ? Est-on
246
autoroutes pour rendre la circulation plus fluide
mais
on s’aperçoit qu’au moindre départ en vacances les voitures y sont bl
247
niquement en considération le choc ou la blessure
mais
l’ensemble des suites telles que la diminution de l’espérance de vie,
248
me. La bombe atomique seule n’est pas dangereuse.
Mais
le risque apparaît lorsque vous donnez aux hommes tels qu’ils sont —
249
aient 6 milliards pour une usine de retraitement,
mais
ils ne vont jamais l’utiliser… François Peyrot : Personne ne discute
250
ue les gaz de voiture sont toxiques à forte dose.
Mais
quels sont les méfaits et leur importance dans la vie courante ? C’es
251
je vous l’assure, plutôt obscur. Jacob Roffler :
Mais
alors pourquoi le Conseil fédéral prend-il des mesures pour réduire l
252
a tolérance, du fair-play, du respect de l’autre.
Mais
force est de constater qu’à l’heure actuelle cette morale est en trai
253
daleux, la guerre n’aurait pas été évitée certes,
mais
se serait sans doute engagée dans des conditions bien différentes. Le
254
élimine expressément toute forme de nationalisme.
Mais
certains ne seraient sans doute pas du tout d’accord avec ce changeme
255
e là, je crois qu’il n’est plus question de sport
mais
de délire nationaliste. Et la presse sportive dans tout cela… Je pens
256
médité sur les thèmes essentiels de notre temps.
Mais
, aussi surprenant que cela puisse paraître, sa vocation littéraire a
257
du nom, c’est devenu tellement rare aujourd’hui !
Mais
pour le reste, hélas, je n’ai pu que relire, et de très près, sept ou
258
e négative : c’est quelqu’un qui publie bien sûr,
mais
n’a pas publié un seul roman, un seul recueil de poèmes, ni même une
259
e l’essai comme genre légitime de la littérature.
Mais
il y a plus grave encore dans mon cas, puisque c’est le cas d’un essa
260
chose littéraire, ou à la rigueur philosophique,
mais
sur les problèmes de ce temps, face auxquels il prend position, ou co
261
français, à part Baudelaire et Saint-John Perse.
Mais
dans Calvin, l’initiateur de la langue des idées en France, et dans M
262
e dans ses vers. On m’opposera sans doute Racine.
Mais
toute loi souffre exception, comme toute préférence quelque injustice
263
rise de la langue, non, ce n’est pas à ses romans
mais
bien à ses essais qu’on le jugera. Rendons leur place aux essayistes
264
spagnols : « C’est un de nos meilleurs écrivains,
mais
il se perd dans les comités »… Combien d’autres ont dit ou écrit que
265
nez aujourd’hui, non seulement réfute ces propos,
mais
me donne l’occasion de m’expliquer là-dessus, m’en fait même peut-êtr
266
eux : ils ne seront pas complets, faute de temps,
mais
candides. Deux séries de motifs pourraient être évoquées ici : d’une
267
névitable. Nous aurions à la faire, vu notre âge,
mais
ce ne serait pas notre guerre. Entre les trois régimes totalitaires e
268
s groupes anglais, belges, hollandais et suisses,
mais
aussi d’une manière clandestine, on s’en doute, dans l’Allemagne nazi
269
ur le diable, et sur la bombe atomique notamment.
Mais
surtout, par la force en mon cas créatrice d’une constante et poignan
270
at ou de la race substitué à celui de la classe ;
mais
qu’en revanche une société vraiment démocratique et libertaire, suppo
271
un « troisième Grand » dans le cas de l’Europe —
mais
seulement le minimum de pouvoir capable d’assurer l’autonomie de chac
272
engagé ; distingué de tout autre par sa vocation,
mais
responsable de l’exercer dans la cité, par là même relié à la communa