1
ffrir en premier lieu de l’inculture relative des
masses
. (On lit beaucoup moins en France qu’en Suisse et qu’en Allemagne.) E
2
rtifs ? D’où vient cette désaffection des grandes
masses
pour la lecture ? Est-ce la faute du public, ou bien des écrivains ?
3
qu’un Balzac, qu’un Zola atteignent rapidement la
masse
profonde du peuple, nous voyons aujourd’hui ce même peuple se content
4
qui rend cette dernière si « excitante » pour les
masses
, c’est précisément le nombre des inconnues qu’elle met en jeu et l’in
5
n’oublierai pas la rumeur qui monta lentement des
masses
, à mesure que la nouvelle faisait le tour du bâtiment, se transmettai
6
imprévisible. Cette division des citoyens en deux
masses
à peu près égales, — je serais tenté de dire : en deux teams — symbol
7
Elle laissera les sceptiques parler « au nom des
masses
» dans l’indifférence générale. Elle laissera le Conseil de l’Europe
8
t pas un grand espoir renaissant dans le cœur des
masses
, aucune armée du monde ne pourra la défendre. Personne ne veut mourir
9
ui se branche sur le sentiment spontané de larges
masses
, latines surtout —, les nations européennes seraient déjà réduites au
10
s contre la descente de tous les pouvoirs dans la
masse
, car c’est s’opposer à notre système démocratique. Prenez l’exemple t