1
ls rallument le mirage d’un Orient paradisiaque d’
où
nous viendraient une fois de plus la sagesse et la lumière. De récent
2
courageux mêlé, parfois, d’une certaine amertume,
où
de Traz quitte le ton mesuré qu’il s’impose d’ordinaire. Mais j’avoue
3
la mort qu’il fait sentir partout aux lieux mêmes
où
naquit la religion du « Prince de la vie »… Qu’on ne croie pas, d’ail
4
der dans ses dépaysements un point de vue fixe, d’
où
comparer et, parfois, juger ; préférant obstinément à la légende le v
5
u’est-ce donc qu’un roman chrétien ? Une histoire
où
tout le monde « se conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Une h
6
revit dans ces peintures d’une Laponie lointaine,
où
des gens simples mènent des existences bien plus proches de la nôtre
7
es, l’autre est enchaîné au bureau de son journal
où
il écrit au moins deux articles par jour, un troisième « fait les thé
8
utre distraction, cinéma ou meetings sportifs ? D’
où
vient cette désaffection des grandes masses pour la lecture ? Est-ce
9
ties se laisseraient-elles battre sur ce terrain,
où
elles disposent des meilleures armes ? Je persiste à croire, malgré t
10
nie pas que cela explique bien des choses. Mais d’
où
vient cette paresse ? D’où vient que le public se défende aussi mal c
11
ien des choses. Mais d’où vient cette paresse ? D’
où
vient que le public se défende aussi mal contre les sollicitations vu
12
su marquer avec tant de justesse le point précis
où
l’entreprise titanesque du romantisme déborde les limites assignées à
13
tats-Unis : c’est qu’il n’est pas de pays moderne
où
la religion tienne dans la vie publique une place plus importante et
14
ité » entièrement conforme à leurs convictions. D’
où
le caractère social de leur religion, dès le début, mais aussi le car
15
de la vie publique (dans un pays, remarquons-le,
où
les Églises ont toujours été séparées de l’État). Je me bornerai pour
16
liées, cavernes d’ombre et gonflements majestueux
où
la lumière fait ses grands jeux, de tous les rouges au bleu de plomb.
17
uit. Ils la vengent, croit-elle, d’une Amérique «
où
tout est laid », mais d’où ils viennent. ⁂ Les oiseaux de Paris
18
elle, d’une Amérique « où tout est laid », mais d’
où
ils viennent. ⁂ Les oiseaux de Paris Nous roulons dans un petit
19
, le boulevard Saint-Michel ? Mais sur les Quais,
où
le car nous dépose, j’ai retrouvé les grandes mesures de Paris. Dans
20
eus, des toits roux et des murs couleur du temps,
où
quelques taches de rosé clair ou de noir achèvent de composer une har
21
il semble qu’il n’y ait plus qu’un no man’s land
où
s’affrontent sournoisement les seules Puissances qui comptent. Fin
22
lais vide, pour nous ruer vers la grande Amérique
où
l’on ne trouve pas une chambre à louer pour plus d’une nuit. Paradoxe
23
e, le soir même, je me visse entraîné à Cointrin,
où
se posait dans une gloire de lumière le premier appareil arrivant de
24
ui peut être plus dangereux que l’inaction totale
où
vous glissez, plus utopique que le maintien du statu quo, plus follem
25
lacer, et qui a su remplacer toutes les autres. D’
où
vient, Messieurs, que ce cap de l’Asie ait dominé le monde pendant de
26
’Asie ait dominé le monde pendant des siècles ? D’
où
, sinon d’un pouvoir d’invention et de dépassement du destin dont nous
27
iste ne saurait être tolérable que dans la mesure
où
elle reste impuissante — d’où le refus d’un Parlement européen ; secu
28
que dans la mesure où elle reste impuissante — d’
où
le refus d’un Parlement européen ; secundo : que les champions d’un r
29
s les plus dangereux de l’unité européenne », — d’
où
le refus de toute autorité politique super-nationale. Cet ami de l’un
30
sans démasquer sa vraie nature. Car dans le fait,
où
sont nos souverainetés ? Qui les a vues depuis quelques décennies ? Q
31
e que Londres avait dévalué. Je cherche en vain :
Où
sont encore les souverainetés de nos États, quand l’armée et l’économ
32
er ? Vous pouvez passer outre, et jurer de rester
où
vos parlements vous envoient. (Les ministres dépendent aussi de vos p
33
mée rouge. D’une part, on peut penser qu’au point
où
nous en sommes, il n’y a presque plus rien à perdre. Que risquez-vous
34
es prairies entre deux bois de très vieux chênes,
où
persiste un tapis de brume. Aux bords de ce ruisseau qui longe mon ja
35
leur fierté légitime, leur indépendance réelle. D’
où
vient, après tout, la puissance, non moins redoutée que sollicitée, d
36
re de chiens qui n’aboient plus !) Dans la mesure
où
les mêmes causes sont susceptibles de reproduire les mêmes effets, ce
37
réunis de se déclarer neutres, à partir du moment
où
ils disposeraient de l’armée commune sans laquelle toute neutralité r
38
e passe le Rideau, c’est pour entrer dans la zone
où
l’on parle. Toute l’attitude des Russes à Genève peut se résumer en u
39
nève peut se résumer en un seul mot : causons ! D’
où
l’accent mis sur le langage commun. Il existe en fait deux moyens d’i
40
) Parlons et dialoguons, non pas dans des congrès
où
s’affrontent les démagogies, mais par groupes de professionnels ; par
41
mots sont d’Ernest Ansermet, dans le grand livre
où
il démontre, en somme, qu’un athée ne peut pas faire de musique. Pas
42
nt leur service que pour faire comme les autres ?
Où
sont en vérité les meilleurs Suisses ? Quelles sont les raisons d’êtr
43
t, aujourd’hui, me semble-t-il, de hâter le temps
où
de tels exercices rejoindront dans l’Histoire les procès de sorcières
44
contre, et surtout dans le cas de la Suisse, pays
où
il est le plus difficile de défendre l’armée, le plus difficile de se
45
raison de refuser de me suivre dans une direction
où
jamais je n’ai songé à entraîner personne. Non, je ne pense pas et je
46
tif, de tenter d’agir sur l’époque dans la mesure
où
elle est guidée par des idées, des concepts, des angles de vision qu’
47
vu à quoi pouvait aboutir une religion de l’État
où
le citoyen applique les lois et y obéit sans les mettre plus jamais e
48
cience avec plus ou moins de soin. Il y a des cas
où
des tribunaux valaisans ou fribourgeois ont refusé à l’accusé le droi
49
s, est de savoir : que faisons-nous dans le monde
où
nous vivons ? Est-ce que nous nous contentons d’appliquer les recette
50
e, et tous mes ouvrages politiques et polémiques,
où
il n’est, hélas, nullement question d’amour… Je sais bien — mais je s
51
l est dit : « L’auto peut vous conduire n’importe
où
il vous plaira d’aller, pour vous reposer le cerveau par de longues p
52
porte quel industriel vous le confirmera — que là
où
il n’y a pas de besoin, il n’y a pas de fabrication possible. C’est u
53
s. Denis de Rougemont : Vous dites, M. Peyrot, là
où
il n’y pas de besoin, il n’y a pas de production possible. Mais c’est
54
elle les a réduits en partie. La « belle époque »
où
seules les familles aisées roulaient en voiture est dépassée. L’éléva
55
réez la voiture, vous appelez la liberté. Le jour
où
50 % des Soviétiques pourront aussi se déplacer en voiture, ils n’acc
56
auvaise utilisation. On vit dans une civilisation
où
la voiture et très importante. Il faut faire façon d’elle. Ce qui me
57
art en faveur d’un système politique démocratique
où
chaque organe a ses pouvoirs et sa représentativité. Je suis contre l
58
mmun, notamment dans les zones densément peuplées
où
la voiture ne devrait plus être qu’un appoint. Mais lorsque l’on pass
59
plus en plus aujourd’hui des centres commerciaux
où
l’on peut garer en sous-sol ? J’émets donc un doute sur cette politiq
60
sistez à un afflux des populations vers la ville,
où
se déroulent les activités mais également l’animation. On ne peut pas
61
ter les effets catastrophiques des cités-dortoirs
où
les gens se connaissent à peine, ce qui débouche tôt ou tard sur des
62
la démocratie, c’est-à-dire les lieux de la ville
où
les gens se rencontrent librement, même sans se connaître, où se form
63
se rencontrent librement, même sans se connaître,
où
se formait l’opinion et cela depuis la cité grecque. De l’agora jusqu
64
veux bien qu’il mentionne Paris et non pas Genève
où
les choses se déroulent autrement. Mais tout de même, ce jugement est
65
limites qui commencent à être atteintes : celles
où
l’on subordonne l’économie et en particulier l’industrie automobile à
66
ièrement dans ce rôle, c’était le moment de crise
où
je devais intervenir ; cet instant presque lyrique, d’une gravité ext
67
Ce dernier alla même jusqu’à m’envoyer une photo
où
on le voyait habillé comme un gardien de but, en train de bloquer un
68
te entre la performance de l’athlète et le pays d’
où
il vient. Certains tirent des parallèles entre les JO de Berlin de 19
69
ndu régner autour du sport un climat de violence,
où
les pires instincts, l’agressivité peuvent se déchaîner. Ne serait-il
70
trente ans, plusieurs centaines, je le crains. D’
où
le propos d’André Malraux, à moi transmis par l’un de ses amis espagn
71
mme n’est responsable qu’au sein d’une communauté
où
sa voix puisse porter et où n’importe qui puisse lui répondre sans av
72
sein d’une communauté où sa voix puisse porter et
où
n’importe qui puisse lui répondre sans avoir l’organe de Stentor. Nou
73
unis dans la cathédrale. Le modèle suisse D’
où
l’idée, dérivée de Proudhon, cette fois-ci, d’une société fondée sur