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Denis de Rougemont et l’
objection
de conscience (30 juin 1969)ab ac Monsieur le président, Un étudia
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asmer autant que de s’indigner. Les motifs de son
objection
sont les mêmes que ceux de sa vocation pastorale. Ils relèvent de sa
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nce de toute espèce de reconnaissance légale de l’
objection
de conscience en Suisse et d’un statut correspondant ? La véritable u
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b. Rougemont Denis de, « Denis de Rougemont et l’
objection
de conscience », Journal de Genève, Genève, 30 juin 1969, p. 9. ac.
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’est plus tenu compte de la récidive en matière d’
objection
de conscience, il ne peut cependant guère envisager, à la seconde con
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Objection
de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)ae af Mo
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rise de position de principe sur le problème de l’
objection
, voire une sorte de manifeste. Or, il s’agit d’un simple témoignage r
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ident. Si j’avais voulu traiter publiquement de l’
objection
de conscience en général, et des objecteurs suisses en particulier, i
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sentiments dévoués. ae. Rougemont Denis de, «
Objection
de conscience : Denis de Rougemont répond », Journal de Genève, Genèv
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nt. Celui-ci répond aujourd’hui. » Un débat sur l’
objection
de conscience, auquel Denis de Rougemont prendra part, sera organisé
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Un débat sur l’
objection
de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)ai Le 27 jui
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s’éclaircir les idées. Examiner le problème de l’
objection
de conscience, c’est admettre en préalable que ce problème existe. No
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r l’importance du nombre de ceux qui professent l’
objection
et en portent témoignage, mais par la valeur des principes qu’elle ré
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ous pose. Confrontée au phénomène de la guerre, l’
objection
de conscience, paradoxalement, est un problème de temps de paix. C’es
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t plus nombreux en Suisse romande. Si la notion d’
objection
de conscience a été récemment étendue à des motifs d’ordre philosophi
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ichel Barde. — Nous examinerons au premier chef l’
objection
de conscience religieuse. N’y a-t-il pas une contradiction dans le fa
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dique est clair : la Constitution ne permet pas l’
objection
de conscience pour raison religieuse. Il n’y a donc aucun conflit ent
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ait de différence dans les aboutissants entre une
objection
pour des motifs religieux et pour d’autres motifs de conscience. Les
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ateurs » et « progressistes », si je puis dire. L’
objection
est l’un des moyens de proposer des solutions nouvelles, et de faire
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en tout temps. Christian Schaller. — Eh bien ! L’
objection
de conscience n’est que l’un des moyens d’amener à ce que les lois pu
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iron 300, pour l’ensemble de la Suisse, parlent d’
objection
de conscience. De ces 300, 200 ont une attitude positive à l’égard de
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re, en fait, qu’un garçon de 20 ans condamné pour
objection
de conscience — vous avez dit que c’est un honnête homme — va loger t
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modifié la loi, à la suite de débats concernant l’
objection
de conscience, devant les Chambres. Denis de Rougemont. — La condamna
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e de déterminer si les conditions objectives de l’
objection
de conscience étaient réunies. C’est ainsi que cela se passait au Moy
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raindre au service militaire des hommes qui ont l’
objection
chevillée à l’âme ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Le Tribunal mil
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on sens. Bernard Béguin. — Quand vous dites que l’
objection
n’est pas de l’antimilitarisme, il faut bien voir que si l’on hésite
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Christian Schaller. — Il ne faut pas confondre
objection
et non-violence, comme il ne faut pas confondre soldat et militarisme
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uin. ai. Rougemont Denis de, « Un débat sur l’
objection
de conscience : entre Dieu et l’État », Journal de Genève, Genève, 4