1 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
1 Denis de Rougemont et l’ objection de conscience (30 juin 1969)ab ac Monsieur le président, Un étudia
2 asmer autant que de s’indigner. Les motifs de son objection sont les mêmes que ceux de sa vocation pastorale. Ils relèvent de sa
3 nce de toute espèce de reconnaissance légale de l’ objection de conscience en Suisse et d’un statut correspondant ? La véritable u
4 b. Rougemont Denis de, « Denis de Rougemont et l’ objection de conscience », Journal de Genève, Genève, 30 juin 1969, p. 9. ac.
5 ’est plus tenu compte de la récidive en matière d’ objection de conscience, il ne peut cependant guère envisager, à la seconde con
2 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)
6 Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)ae af Mo
7 rise de position de principe sur le problème de l’ objection , voire une sorte de manifeste. Or, il s’agit d’un simple témoignage r
8 ident. Si j’avais voulu traiter publiquement de l’ objection de conscience en général, et des objecteurs suisses en particulier, i
9 sentiments dévoués. ae. Rougemont Denis de, «  Objection de conscience : Denis de Rougemont répond », Journal de Genève, Genèv
10 nt. Celui-ci répond aujourd’hui. » Un débat sur l’ objection de conscience, auquel Denis de Rougemont prendra part, sera organisé
3 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
11 Un débat sur l’ objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)ai Le 27 jui
12 s’éclaircir les idées. Examiner le problème de l’ objection de conscience, c’est admettre en préalable que ce problème existe. No
13 r l’importance du nombre de ceux qui professent l’ objection et en portent témoignage, mais par la valeur des principes qu’elle ré
14 ous pose. Confrontée au phénomène de la guerre, l’ objection de conscience, paradoxalement, est un problème de temps de paix. C’es
15 t plus nombreux en Suisse romande. Si la notion d’ objection de conscience a été récemment étendue à des motifs d’ordre philosophi
16 ichel Barde. — Nous examinerons au premier chef l’ objection de conscience religieuse. N’y a-t-il pas une contradiction dans le fa
17 dique est clair : la Constitution ne permet pas l’ objection de conscience pour raison religieuse. Il n’y a donc aucun conflit ent
18 ait de différence dans les aboutissants entre une objection pour des motifs religieux et pour d’autres motifs de conscience. Les
19 ateurs » et « progressistes », si je puis dire. L’ objection est l’un des moyens de proposer des solutions nouvelles, et de faire
20 en tout temps. Christian Schaller. — Eh bien ! L’ objection de conscience n’est que l’un des moyens d’amener à ce que les lois pu
21 iron 300, pour l’ensemble de la Suisse, parlent d’ objection de conscience. De ces 300, 200 ont une attitude positive à l’égard de
22 re, en fait, qu’un garçon de 20 ans condamné pour objection de conscience — vous avez dit que c’est un honnête homme — va loger t
23 modifié la loi, à la suite de débats concernant l’ objection de conscience, devant les Chambres. Denis de Rougemont. — La condamna
24 e de déterminer si les conditions objectives de l’ objection de conscience étaient réunies. C’est ainsi que cela se passait au Moy
25 raindre au service militaire des hommes qui ont l’ objection chevillée à l’âme ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Le Tribunal mil
26 on sens. Bernard Béguin. — Quand vous dites que l’ objection n’est pas de l’antimilitarisme, il faut bien voir que si l’on hésite
27 Christian Schaller. — Il ne faut pas confondre objection et non-violence, comme il ne faut pas confondre soldat et militarisme
28 uin. ai. Rougemont Denis de, « Un débat sur l’ objection de conscience : entre Dieu et l’État », Journal de Genève, Genève, 4