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s les portes le fameux : « Non ! non ! jamais ! »
Officiers
élégants, tout de noir vêtus, belles femmes aux voix agréablement rau
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sur l’entrée d’Hitler à Paris. Soyons précis : un
officier
qui quitte la Suisse à la fin d’août de 1940 en mission et muni d’un
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pposer à sa propre conscience. Pour les autres, l’
officier
de recrutement cherche encore une fois à les convaincre puis il les i
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ire est compétente parce que la loi le dit. Nous,
officiers
de justice militaire, nous ne verrions aucun inconvénient à ce que le
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es dans les deux juridictions. Ce ne sont pas des
officiers
de carrière qui, en règle générale, sont juges militaires, ce sont de
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eaucoup plus répandu chez les civils que chez les
officiers
. Les civils sont souvent absolument intolérants. Ils n’ont absolument
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ndez maintenant une division mécanisée. Vous êtes
officier
de carrière. Est-ce qu’il ne serait pas plus simple, pour vous, d’adm
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rten. On peut dire — je l’ai entendu dire par des
officiers
supérieurs — qu’on se prépare très consciencieusement à la dernière g
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crois pas que tout cela soit dépassé. Je suis un
officier
de métier, un technicien, si vous voulez, qui fait des additions et d