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1937 ne trouverait pas un éditeur pour Guerre et
Paix
: pensez donc, un roman en 10 volumes ! Et l’Adolphe de Constant, ce
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allée d’ombre jusqu’aux éternelles collines de la
paix
. » Plusieurs dizaines de millions d’hommes entendaient cette prière,
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putés. On attend de vous l’invention qui sauve la
paix
du monde, et qui maintienne l’Europe dans une fonction qu’aucun Empir
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éramistes, tous protestants, mais qui vécurent en
paix
avec ceux qu’ils enrichissaient. En même temps, il faisait bâtir une
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se verrait rassurée, l’Europe serait faite et la
paix
avec elle. Prendre au sérieux le principe de la non-ingérence, c’est
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cifique ». Il est temps de courir le risque de la
paix
! Soyons francs : tout cela repose sur l’hypothèse d’un changement d’
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ces délégations policières, ces « gardiens de la
paix
» aux mains rouges : Budapest nous le crie de tout son sang versé. Et
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ence, paradoxalement, est un problème de temps de
paix
. C’est dans ce cadre-là, d’abord, qu’elle doit être envisagée et disc
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e envisagée et discutée. Car ce n’est que dans la
paix
que l’on s’interroge sur la guerre. Si l’on met à part les Témoins de
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Victor Hugo des discours sur l’Europe et pour la
paix
, le Rimbaud d’Une saison en enfer, et tout près de nous, le Valéry de