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e sur les rapports de l’Orient et de l’Europe, me
paraît
destiné à lever plusieurs des plus tenaces de ces confusions. M. de T
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ns : « Le mensonge, autant qu’une politesse, leur
paraît
une beauté », c’est pour affirmer par contraste une « préférence irré
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tière si complexe — sont plutôt optimistes. Il ne
paraît
pas croire à un péril oriental très pressant, ni surtout que nous ayo
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e ce roman ! La mode passe, le public se fatigue,
paraît
-il. « Achetez français », disent les critiques, à l’instar de l’affic
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d’une maladie qui n’est pas le fascisme. Elle me
paraît
souffrir en premier lieu de l’inculture relative des masses. (On lit
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France qu’en Suisse et qu’en Allemagne.) Elle me
paraît
souffrir ensuite, et peut-être plus gravement encore, de la condition
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art. Tout cela, que je résume à grands traits, me
paraît
tendre vers la même limite, et à bon train si l’on n’y veille ; dégra
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rait de ce Zarathoustra dont on vendit, lorsqu’il
parut
, 15 exemplaires ? Nul ne peut plus se payer de telles fantaisies. Ain
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n soit autrement, quand Proust, Gide ou Valéry ne
paraissent
rechercher l’audience que de très petits cercles d’élus ? Le peuple l
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étudier la source véritable de préoccupations qui
parurent
fort nouvelles lorsque se vulgarisa l’œuvre de Freud. M. Béguin, d’ai
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te fort. En sera-t-il de même lorsque cet article
paraîtra
? Il y a huit jours, les experts presque unanimes donnaient Roosevelt
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nt par 2 à 1. Aujourd’hui, les chances de Willkie
paraissent
augmenter rapidement : les journaux parlent de 48 % des voix à Willki
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llkie (ou Roosevelt) comme président. » Tout cela
paraît
, dans l’ensemble, gentil, un peu puéril, mi-publicitaire mi-sportif,
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aire qui se dégage de ces paradoxes politiques me
paraît
être la suivante : Quoi qu’il arrive le 5 novembre, l’unanimité des A
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une couche de nuages. Trois-mille mètres plus bas
paraît
une surface bleue, comme un papier grenu ponctué de défauts blancs. U
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s libres, faites-moi signe. (Comme les Américains
paraissent
bizarres, ici ! Comme ils se mettent immédiatement à ressembler à ce
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ure Que la Suisse soit restée aussi suisse m’a
paru
proprement incroyable. Je ne trouve ici d’autre sujet de m’étonner qu
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u temps qu’il fait, tout simplement. Les délégués
paraissaient
regretter « l’atmosphère de Genève » plus que leur job manqué, d’aill
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es soupçons qu’il vous faut dissiper. Vous allez,
paraît
-il, réviser prudemment les statuts du Conseil de l’Europe, ainsi que
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ux qui ont décidé d’agir. Avouez que rien ne vous
paraît
possible, on comprendra que vous n’êtes plus nécessaires. Mais cessez
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y aurait à dire là-dessus. Bref, une seule chose
paraît
claire, dans tout cela : les habitants de la Grande-Bretagne et leurs
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ait superflue pour les lecteurs de mon livre, m’a
paru
nécessaire pour ceux qui n’auraient lu que l’article du Samedi littér
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us de l’État et des intérêts de l’État. Ce qui me
paraît
absolument hypocrite, c’est de mettre « Au nom du Dieu Tout-Puissant
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en Suisse et que le service militaire obligatoire
paraît
la forme la plus démocratique de réaliser cette armée. J’ignore total
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traînerait la bombe atomique sur un pays. Cela me
paraît
changer radicalement la valeur de la guerre aujourd’hui. Bernard Bégu
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xquelles je ne prétends pas répondre, mais qui me
paraissent
tellement graves qu’on doit reconnaître une fonction civique irrempla
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et des poèmes, qui peut-être, un jour ou l’autre,
paraîtront
… Mais enfin, le centre de ma méditation écrite reste le mystère relig
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e du jour ? La jeunesse, dans son ensemble, ne me
paraît
vivre rien qui ressemble à un « l’éclatement de l’Éros », si j’en cro
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iens, augmentés de préfaces inédites et il a fait
paraître
plusieurs inédits. Ces ouvrages, et d’autres, ont été traduits en nor
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illustration parfaite de la démocratie. Ce qui me
paraît
en revanche démocratique, c’est de laisser le droit aux populations d
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tre temps. Mais, aussi surprenant que cela puisse
paraître
, sa vocation littéraire a commencé avec le football… »
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itions revues et augmentées en livres de poche, à
paraître
à l’automne, ces tâches bloquant tout, écriture et lectures. À la seu
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he que dans ses écrits politiques. Paul Valéry me
paraît
en revanche plus créateur dans sa prose que dans ses vers. On m’oppos
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nne un article sur l’entrée d’Hitler à Paris, qui
parut
le 17 juin, lendemain de l’arrivée au pouvoir de Pétain et veille de