1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 face des choses, tout près, mais sans jamais s’y perdre ou se confondre en elles, révèle sa personnalité peut-être mieux que
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
2 s au morne train-train de la vie. Ainsi le public perd l’habitude de demander aux écrivains autre chose qu’« une heure d’oub
3 uccès. C’est le sens même de la lecture qui s’est perdu . Et s’il s’est perdu, je le répète, c’est que les plus grands de nos
4 même de la lecture qui s’est perdu. Et s’il s’est perdu , je le répète, c’est que les plus grands de nos écrivains ont beaucou
5 de nos écrivains ont beaucoup fait pour qu’il se perde en se « distinguant » volontairement des préoccupations, jugées vulga
3 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
6 ifération triomphale des philistins enfin vengés, perdu dans la foule exaltée je me disais : Qu’est-ce que tout cela, ce disc
4 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
7 e la démocratie au xxe siècle. La première a été perdue par la France. La seconde a été gagnée par l’Amérique. En attendant l
5 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
8 iter avant d’agir. Mais celui que vous risquez de perdre , cet été, soyez bien sûr qu’il le retrouvera : c’est le temps de modi
6 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
9 est de longue haleine, il n’y a pas une minute à perdre . Tout est prématuré, pour celui qui ne veut rien. Chi va piano perd
10 aturé, pour celui qui ne veut rien. Chi va piano perd la Corée. La prudence est le vice des timides et la vertu des audacie
7 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
11 ère, voilà qui signifie, Messieurs, que vous avez perdu le droit d’être étrangers sur aucune de nos terres, dans aucun de nos
8 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
12 end même qu’ils auraient accepté que leur monnaie perde un tiers de sa valeur, parce que Londres avait dévalué. Je cherche en
9 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
13 t où nous en sommes, il n’y a presque plus rien à perdre . Que risquez-vous à tenter l’impossible ? D’autre part, il est sûr qu
14  ? D’autre part, il est sûr qu’il y aurait tout à perdre , même l’espoir, à ne point risquer la dernière chance européenne. Voi
10 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
15 gt arbres, c’est toujours un bien qui ne sera pas perdu . » Les cèdres du Caucase, envoyés par la grande Catherine, péricliten
11 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
16 e, dégénéraient en Amérique ; que les chiens même perdaient la faculté d’aboyer, après avoir respiré quelque temps dans notre atm
12 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
17 ité reste illusoire. L’Amérique n’aurait rien à y perdre , la Russie se verrait rassurée, l’Europe serait faite et la paix avec
13 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
18  ? Dans une société qui s’agrandit follement, qui perd ses mesures, la fonction de l’art pourrait être d’illustrer des mesur
14 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
19 Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)as Mardi dernier, au Conse
20 « C’est un de nos meilleurs écrivains, mais il se perd dans les comités »… Combien d’autres ont dit ou écrit que mes engagem
21 au détriment de mon œuvre littéraire ». Je serais perdu pour la littérature… Le prix que vous me donnez aujourd’hui, non seul
22 s qu’elle a entraînées dans ma vie. M’ont-elles «  perdu pour la littérature » ? J’ose dire que non. De mon action européenne,
23 jusqu’ici. as. Rougemont Denis de, « Suis-je perdu pour la littérature ? », Journal de Genève, Genève, 30 octobre 1982,