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incipe ; des appels à la réflexion et non pas des
phrases
pathétiques. Et ce souci constant de l’humanité du citoyen, qu’il s’a
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l’heure le bouton de ma radio, j’ai entendu cette
phrase
prononcée d’une voix forte : « Ici Radio municipale de New York, cité
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de « confession générale », dont il répétait les
phrases
à haute voix avec tous les membres du Congrès, dans une église de la
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s qui les assènent. Il faut des actes, dit-on. La
phrase
est vague. Les actes sont parfois plus vains que les paroles. Lancer
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jourd’hui l’ignorer. S’il fallait résumer en deux
phrases
le rôle et l’importance d’un tel écrit, je dirais que d’une part il a
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anent qui s’annonce en leur cœur ». Sur une telle
phrase
, on imagine d’admirables disputations ! On voit bien ce qu’en diraien
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libre et responsable, traduction simple de cette
phrase
mystérieuse pour peu qu’on y réfléchisse : « Tu aimeras ton prochain
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i hésité à maintenir dans ma dernière édition une
phrase
qui se termine ainsi : « … la moitié du malheur humain se résume dans
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vie, qui fut un immense best-seller, je lis cette
phrase
absolument stupéfiante : « Au début du siècle, tout le monde me metta
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coup de journalistes vont même jusqu’à écrire des
phrases
telles que « Tartampion ne fait pas de quartier, il écrase ses advers
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d’une surprise ou d’une trouvaille de langage par
phrase
, ou presque ; un écrivain digne du nom, c’est devenu tellement rare a
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une page de manifeste au milieu de laquelle cette
phrase
me frappa, tapée en majuscules : « Ni individualistes, ni collectivis