1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
1 crivains. L’on s’en fait une idée romantique : le poète pauvre et méconnu, dans sa soupente, vit de son orgueil et de l’amour
2 , mais dans un style qui ne saurait être celui du poète ou du philosophe, par exemple. Ce qui ne va pas sans risques graves,
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
3 , entre le romantisme allemand et les plus grands poètes modernes de la France : Nerval, Hugo, Baudelaire et Mallarmé, pour ne
3 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
4 itants pendant la disette de 1771 Face sud : Au poète philosophe Calas, Sirven, Montbailli, La Barre, Lally-Tollendal É
4 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
5 auréat doit être un communiste plutôt qu’un grand poète , grand romancier ou grand styliste, et nous passons. La radio cite et
5 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
6 les romanciers, à part Stendhal, ni même chez les poètes français, à part Baudelaire et Saint-John Perse. Mais dans Calvin, l’