1
qu’une politesse, leur paraît une beauté », c’est
pour
affirmer par contraste une « préférence irréductible pour le vrai ».
2
irmer par contraste une « préférence irréductible
pour
le vrai ». Ce qui lui permet de voir profond dans cet islam qu’il qua
3
gne comment éviter la nôtre. » La place me manque
pour
parler comme j’aurais voulu le faire des deux autres parties du volum
4
— mais qui reste trop méfiant de tout romantisme
pour
édifier aucun système. Le livre se termine par un voyage à Jérusalem
5
geur intelligent, qui n’accepte d’être séduit que
pour
« mieux comprendre », assez « fidèle » à ses origines pour garder dan
6
eux comprendre », assez « fidèle » à ses origines
pour
garder dans ses dépaysements un point de vue fixe, d’où comparer et,
7
les roulades d’un cymbalum. Aux parois, la prière
pour
la résurrection de la Hongrie, des portraits de lord Rothermere, et s
8
lles femmes aux voix agréablement rauques… Sortez
pour
en suivre une, arrêtez-vous à ses côtés devant cet étalage pour admir
9
une, arrêtez-vous à ses côtés devant cet étalage
pour
admirer un coussin aux curieux dessins noirs et blancs : il représent
10
s scandales du temps vous laissent quelque loisir
pour
vous occuper de vous-mêmes et de l’enjeu de l’existence, vous lirez S
11
une école littéraire, à la fin du siècle dernier,
pour
soutenir que la réalité c’est le terne train-train des journées. Ils
12
rnées. Ils avaient en somme raison, tout au moins
pour
leur compte, ajouterons-nous. À chacun sa réalité : elle dépend du re
13
tes de la France : défense de la culture signifie
pour
les gauches antifascisme, l’Italie et l’Allemagne ayant, comme chacun
14
comme on peut le voir au cinéma. C’est agréable,
pour
un écrivain, qu’on croie tout cela… Je doute que ce soit bien utile.
15
retraite, l’un se voit obligé de courir le monde
pour
faire des reportages, l’autre est enchaîné au bureau de son journal o
16
placer de la copie dans les journaux de province
pour
pouvoir payer son loyer ! Et ainsi de suite. Voilà la réalité. Là-des
17
ble : l’écrivain ne touche sur les livres que dix
pour
cent du produit de la vente. Supposez une vente normale de trois à si
18
ne vente normale de trois à six-mille exemplaires
pour
son volume annuel, cela fait un revenu de 1000 à 2000 fr. suisses. De
19
ar exemple. Ce qui ne va pas sans risques graves,
pour
la plupart. Tout cela, que je résume à grands traits, me paraît tendr
20
ment empiré du fait de la crise générale. Et cela
pour
des raisons d’ordre technique dont le lecteur ignore le plus souvent
21
ile. Tolstoï en 1937 ne trouverait pas un éditeur
pour
Guerre et Paix : pensez donc, un roman en 10 volumes ! Et l’Adolphe d
22
ser les meilleurs livres qu’on lui offre, et cela
pour
les meilleures raisons ! Ou s’il tente la chance avec un débutant, il
23
st forcé de se rattraper ailleurs, et de publier,
pour
compenser sa perte, de bonnes petites histoires coquines. (Il est cer
24
scrit, on lui fait signer un contrat qui l’engage
pour
cinq ou dix volumes à venir. La propriété de ces ouvrages se trouve p
25
de la récompense, obtenue après bien des années,
pour
leurs sacrifices du début… Cette polémique fait apparaître assez clai
26
D’où vient cette désaffection des grandes masses
pour
la lecture ? Est-ce la faute du public, ou bien des écrivains ? Et av
27
pparu dès le romantisme, avec la théorie de l’art
pour
l’art. Pour mille raisons diverses, il n’a fait qu’empirer depuis. Le
28
romantisme, avec la théorie de l’art pour l’art.
Pour
mille raisons diverses, il n’a fait qu’empirer depuis. Les grands aut
29
its cercles d’élus ? Le peuple lit ce qu’on écrit
pour
lui, et si les grands esprits se désintéressent de son sort, il ne pe
30
rendre la pareille. Alors le champ devient libre
pour
une « littérature » commerciale qui, elle, ne sera soucieuse que de p
31
est plus du tout ce qu’elle était au siècle passé
pour
des millions de personnes de toutes conditions : une nourriture, un e
32
ouables que tentent les éditeurs, ou même l’État,
pour
remettre le livre en honneur, sont voués à de faibles succès. C’est l
33
nvite avec une insistance déplaisante. Il s’agit,
pour
eux, de retrouver ce qu’on appelle l’oreille du peuple. Mais cela sup
34
les valeurs qu’ils ont cultivées jusqu’ici ! Car
pour
guider un peuple, et pour influencer sa morale ou son intellect (je n
35
ltivées jusqu’ici ! Car pour guider un peuple, et
pour
influencer sa morale ou son intellect (je ne dis pas son âme, c’est l
36
à l’intention d’un de nos journaux, ce n’est pas
pour
prêcher les écrivains qui le lisent, mais dans l’espoir d’attirer l’a
37
on !) C’est pourquoi les problèmes culturels sont
pour
nous, Suisses, plus vitaux encore que pour les grandes nations qui no
38
s sont pour nous, Suisses, plus vitaux encore que
pour
les grandes nations qui nous entourent. Et c’est pourquoi enfin, j’y
39
théories romantiques du rêve. Ce sera sans doute
pour
la plupart des lecteurs non spécialisés une découverte pleine d’attra
40
la France : Nerval, Hugo, Baudelaire et Mallarmé,
pour
ne rien dire des contemporains. Il serait passionnant, à cet égard, d
41
nos classiques, alliées à une profonde sympathie
pour
les hardiesses de la pensée allemande. Il me plaît de souligner ici l
42
Roosevelt qui, en prétendant demeurer au pouvoir
pour
un « third term » — une troisième période de quatre ans —, sape les b
43
ée le véritable danger dictatorial. Peut-on dire,
pour
simplifier, qu’avec Roosevelt l’entrée en guerre des États-Unis serai
44
agne. Ce qui rend cette dernière si « excitante »
pour
les masses, c’est précisément le nombre des inconnues qu’elle met en
45
ur. Cet acte de favoritisme a été exploité à fond
pour
persuader l’Américain moyen des intentions « dictatoriales » du prési
46
outes ses pareilles, à réunir des conserves, mais
pour
l’Angleterre, à présider des comités pour l’Angleterre, à donner des
47
s, mais pour l’Angleterre, à présider des comités
pour
l’Angleterre, à donner des bals pour l’Angleterre, à payer des ambula
48
des comités pour l’Angleterre, à donner des bals
pour
l’Angleterre, à payer des ambulances pour l’Angleterre. Le lendemain
49
es bals pour l’Angleterre, à payer des ambulances
pour
l’Angleterre. Le lendemain même de l’élection, toute la presse qui ve
50
sevelt a mis de la sorte au service de la nation,
pour
une période et pour une tâche déterminées. Il en est résulté parfois
51
orte au service de la nation, pour une période et
pour
une tâche déterminées. Il en est résulté parfois certains flottements
52
ne possèdent une doctrine politique totale, fixée
pour
tous les cas et automatiquement par une longue tradition. Leur opposi
53
ortante et plus visible. Il faut être un Européen
pour
s’en étonner, me dit-on. De fait, pour un Américain qui connaît tant
54
n Européen pour s’en étonner, me dit-on. De fait,
pour
un Américain qui connaît tant soit peu son histoire, rien n’apparaît
55
s groupes successifs de colons, la plupart exilés
pour
cause de religion. Seceders (séparatistes) de l’Église anglicane ou d
56
toujours été séparées de l’État). Je me bornerai
pour
aujourd’hui à la décrire comme un fait, un grand fait qui mérite d’êt
57
uvent, à un chœur luthérien, à un prêche baptiste
pour
les nègres… Je vais à une soirée chez un professeur du Séminaire de t
58
dans la cité. Il faut connaître cet arrière-plan
pour
donner tout leur sens à certains incidents de la vie politique améric
59
on installation qu’il va se retirer à la campagne
pour
une semaine de recueillement. Le choix de lord Halifax comme ambassad
60
ans un cadre chrétien, immédiatement significatif
pour
la grande majorité des participants, créateur d’un sentiment unanime
61
’elle provoquait des tempêtes magnétiques qui ont
pour
effet d’aveugler les avions aux appareils plus délicats que les sens
62
5000 mètres. J’allais écrire : « L’avion s’élance
pour
franchir l’Océan d’un seul bond. Nous volons à tire-d’aile vers l’Irl
63
dessous de nous ait tourné jusqu’au point désiré,
pour
y descendre et s’y poser. Rien ne donne une idée de l’immobilité comm
64
e heures du matin. Nous donnera-t-on des chambres
pour
le reste de la nuit ? Deux jeunes Américains du convoi m’interrogent.
65
, en un clin d’œil, avec les règlements « pareils
pour
tous », non point avec votre situation d’usager perplexe ou anxieux.
66
est mal venu, tout simplement. On le tient encore
pour
anormal. J’ai l’impression qu’on exagère un peu, à cet égard. Mais le
67
uait à prononcer : « Messieurs, nous voici réunis
pour
célébrer une défaite victorieuse. On a parlé de funérailles. Il ne s’
68
à la Suisse minuscule un gigantesque palais vide,
pour
nous ruer vers la grande Amérique où l’on ne trouve pas une chambre à
69
mérique où l’on ne trouve pas une chambre à louer
pour
plus d’une nuit. Paradoxe de la crise des logements ! Mais qu’importe
70
», comme on le dit en photographie. Nous partons
pour
une Ligue meilleure. Et, plus heureux que Moïse, nous nous sentons ce
71
Messieurs les députés européens, Vous êtes ici
pour
faire l’Europe, et non pour faire semblant de la faire. Faire l’Europ
72
opéens, Vous êtes ici pour faire l’Europe, et non
pour
faire semblant de la faire. Faire l’Europe signifie la fédérer, ou bi
73
va répétant qu’il a fallu plus de cinq-cents ans
pour
sceller son union fédérale. Tout le monde se trompe. Il a fallu neuf
74
es États membres. Niera-t-on que ce fût là, trait
pour
trait, un état comparable à celui de notre Europe, sauf pour le péril
75
un état comparable à celui de notre Europe, sauf
pour
le péril extérieur, qui n’était rien au regard de celui que nous cour
76
r la Diète dans son sein et au-dehors — se réunit
pour
la première fois. Elle décide de siéger à huis clos cinq fois par sem
77
e. Messieurs les députés, neuf mois avaient suffi
pour
fédérer vingt-cinq États souverains… Pensez-vous que l’Histoire vous
78
vous que l’Histoire vous en laisse beaucoup plus,
pour
unir vos États dans un plus grand péril ? Vous me direz que l’Europe
79
nde que la Suisse ; qu’il fallut une bonne guerre
pour
briser le tabou des souverainetés cantonales absolues ; que les canto
80
ins de temps qu’il n’en fallait, il y a cent ans,
pour
aller de Genève ou des Grisons à Berne. Pour la guerre entre vos pays
81
ans, pour aller de Genève ou des Grisons à Berne.
Pour
la guerre entre vos pays, les deux dont vous sortez suffisent. Vos Na
82
is. Il vaut la peine de s’arrêter devant ce fait,
pour
mieux se persuader qu’on peut aller très vite. Car le temps fait beau
83
nt un peu meilleur — moins astucieusement combiné
pour
s’enrayer sans faute avant le départ —, vous en ferez l’usage qu’elle
84
e d’un mot, à gouverner. Elle vous voit réticents
pour
la plupart, inquiets de ne pas vous avancer au-delà de ce qu’on vous
85
on s’engage dans une entreprise aussi vaste. Ah !
pour
le coup, je trouve cela « prématuré » (je m’excuse de parler comme un
86
’y a pas une minute à perdre. Tout est prématuré,
pour
celui qui ne veut rien. Chi va piano perd la Corée. La prudence est
87
on et le respect que j’éprouve, non point hélas !
pour
vos succès jusqu’à cette date, mais pour le rôle qui vous est dévolu,
88
hélas ! pour vos succès jusqu’à cette date, mais
pour
le rôle qui vous est dévolu, et pour le nom qu’il vous convient de re
89
e date, mais pour le rôle qui vous est dévolu, et
pour
le nom qu’il vous convient de revendiquer, celui dont, par avance, je
90
entier peut être appelé une création européenne.
Pour
le bien comme pour le mal, d’ailleurs, il imite à la fois nos mœurs e
91
ppelé une création européenne. Pour le bien comme
pour
le mal, d’ailleurs, il imite à la fois nos mœurs et nos objets, nos p
92
hommes, et pas seulement ceux de notre continent,
pour
qui le nom d’Europe a représenté la beauté dans la vie, l’intelligenc
93
mission précise, celle de fédérer nos faiblesses
pour
en faire la force du siècle. Messieurs les députés européens, saurez-
94
es chances de l’homme. Personne n’est assez grand
pour
répondre au défi d’un tel destin. Groupez-vous. Dites au moins votre
95
ette idée par exemple ne l’effleure pas. Il n’y a
pour
lui qu’un seul problème : la politique du plein emploi ; une seule mé
96
ême langue. Si c’est celle du pamphlet, tremblons
pour
la famille ! Tous les adversaires de l’Europe méritent d’écrire comme
97
il se dit partisan d’un peu d’union tout de même,
pour
faire face aux Soviets et au déficit en dollars. Si peu que rien, en
98
ces deux conditions de l’union — les mieux faites
pour
la rendre impossible, l’une en esprit et l’autre en probabilité —, M.
99
leur apparaissent contradictoires. Et cependant,
pour
l’étonnement des cartésiens, cette logique différente les conduit aux
100
un alibi. Cette passion ne recourt à ce mythe que
pour
garder quelque moyen d’agir sans démasquer sa vraie nature. Car dans
101
and l’armée et l’économie n’en dépendent plus que
pour
la forme et le détail ? Restent les tarifs douaniers, les monnaies ma
102
invoquer ce mauvais motif qui en cache de pires,
pour
arrêter l’élan vers notre union. N’attaquez pas les souverainetés, dé
103
là l’ennemi, et non point Vichinsky. Et cela vaut
pour
tous ceux qui pourraient déclarer que l’Europe sera toute catholique,
104
rien faire sans elle. » C’est qu’ils se prennent
pour
l’opinion, qu’ils ont négligé d’écouter. Tous les sondages précis réf
105
icisme. Les deux tiers des Européens se déclarent
pour
l’union, lorsqu’on les interroge. Il n’en fallut pas plus pour fédére
106
lorsqu’on les interroge. Il n’en fallut pas plus
pour
fédérer la Suisse. Mais l’opinion veut qu’on l’entraîne. « On suit ce
107
draient que Dewey soit élu : on dit alors qu’il a
pour
lui toute l’opinion. Truman élu, l’opinion c’est Truman. Elle l’était
108
vrais sont élus, et vous êtes simplement délégués
pour
consultation. Décidez de vous faire élire. Un raisonnement très simpl
109
ire, de ne point se séparer avant d’avoir dressé,
pour
notre espoir, un signe ! Vous n’êtes pas encore l’espoir des peuples
110
pourra la défendre. Personne ne veut mourir, que
pour
des raisons de vivre. Mozart n’en est plus une pour les chômeurs. Et
111
ur des raisons de vivre. Mozart n’en est plus une
pour
les chômeurs. Et ce n’est pas une secte politique, une doctrine parti
112
ires au salut de l’ensemble ? Je veux avoir parlé
pour
ne rien dire, si quelqu’un nous propose une autre solution que l’Auto
113
ocale, adossé au Jura, s’approche assez de Genève
pour
lui vendre ses bœufs, mais s’arrête avant de toucher les rives du lac
114
nos pays, nationalistes et communistes s’unissent
pour
dénoncer « l’emprise économique des USA », représentée à leurs yeux p
115
dont chacune a des intérêts distincts. L’Europe,
pour
le malheur des trois autres, les a toutes, à des degrés divers, soumi
116
nivers, et à croire le reste du genre humain créé
pour
son utilité. Des hommes, admirés comme de grands philosophes, ont pos
117
Pour
un désarmement moral (19 juillet 1955)w Comment ne pas voir que le
118
une libre discussion. Or celle-ci serait ruineuse
pour
le principe qui a fait la force principale du stalinisme dans l’intel
119
oscou la semaine dernière, au moment de s’envoler
pour
franchir le Rideau — ce mur du son de la politique contemporaine. Pré
120
un homme d’État soviétique passe le Rideau, c’est
pour
entrer dans la zone où l’on parle. Toute l’attitude des Russes à Genè
121
s’exprimait en effet dans un langage tout naturel
pour
quiconque est imbu de la croyance marxiste au mouvement fatal de l’Hi
122
éserve par la déclaration de Boulganine — et cela
pour
la première fois depuis la naissance du conflit qui oppose le bolchév
123
ent convaincus : si cette offre est aussi valable
pour
d’autres sujets de débats, plus actuels et moins rebattus que celui q
124
op variées d’Occidentaux chrétiens ou humanistes,
pour
affronter la « redoutable dialectique » du partenaire : ce n’est pas
125
er. C’est vers eux que s’en vont ceux qui parlent
pour
les Russes — comme aujourd’hui Joukov va vers Eisenhower. Et ils vien
126
forte et rassurante. w. Rougemont Denis de, «
Pour
un désarmement moral », Journal de Genève, Genève, 19 juillet 1955, p
127
ore nous présenter devant Dieu et demander pardon
pour
n’avoir pas bougé, pour avoir laissé faire sous nos yeux hébétés, san
128
t Dieu et demander pardon pour n’avoir pas bougé,
pour
avoir laissé faire sous nos yeux hébétés, sans un cri, sans un geste
129
chefs et sans armée, et sans même un porte-parole
pour
nous dire : allons-y ! pour leur dire : nous voici ! — Ces voix rauqu
130
même un porte-parole pour nous dire : allons-y !
pour
leur dire : nous voici ! — Ces voix rauques, étranglées maintenant, n
131
n’aurai pas fait tout ce que peut un homme libre
pour
hâter le jour de la vengeance du peuple hongrois et du châtiment de s
132
dès qu’ils le peuvent, utilisent les négociations
pour
arrêter et tuer ceux qui viennent négocier. Le communiste actuel, plu
133
ombent sous les balles des Russes. Je n’écris pas
pour
mettre ma conscience à l’aise. Je veux certes la mettre à l’aise, et
134
et nos sociétés d’écrivains ne se réveillent pas
pour
si peu : elles ne dépendent pas de l’État. Mais qu’un écrivain russe
135
e font bien voir… Hommage au prix Nobel. Et pitié
pour
les Russes. Et respect à Boris Pasternak. S’il s’est vu contraint, ap
136
ion, ni sur quelque apologétique confessionnelle.
Pour
développer en moins de cent pages de ses Fondements de la musique ce
137
travers Sartre (et dont il s’autorise d’ailleurs,
pour
réfuter l’athéisme de Sartre) mais aussi à son expérience de musicien
138
en termes de structures et de relations musicales
pour
la conscience. Le primat de l’éthique ensuite : « Ne jugeons point de
139
èbre équation d’Einstein — voici qu’il est aussi,
pour
Ansermet, précisément le « Dieu sensible au cœur », saisi dans la con
140
é « le projet d’être à la ressemblance de Dieu ».
Pour
eux, « la perte de la loi tonale équivaut à la mort de Dieu pour la c
141
perte de la loi tonale équivaut à la mort de Dieu
pour
la conscience musicale ». L’atonalité serait-elle la définition du pé
142
sation occidentale » (p. 209). Je suis bien placé
pour
savoir les résistances que ce point de vue provoque dans l’intelligen
143
Dieu personnel. Et toute une école d’aujourd’hui,
pour
des raisons d’ailleurs inverses, saluerait sa condamnation d’un bruit
144
éforme. Voilà de grandes raisons de se passionner
pour
ou contre cette œuvre d’une jeunesse étonnante, dont l’avenir seul dé
145
esse auxquels le Général m’avait condamné en juin
pour
un article sur l’entrée d’Hitler à Paris. Soyons précis : un officier
146
mettrait pas l’excuse d’une « manière de parler »
pour
faire drôle. Cette mise au point, tout à fait superflue pour les lect
147
drôle. Cette mise au point, tout à fait superflue
pour
les lecteurs de mon livre, m’a paru nécessaire pour ceux qui n’auraie
148
ur les lecteurs de mon livre, m’a paru nécessaire
pour
ceux qui n’auraient lu que l’article du Samedi littéraire. aa. Rou
149
litaire que vous présidez. J’ai beaucoup d’estime
pour
M. Bugnot. Équilibré, maître de soi, convaincu mais sans fanatisme, i
150
tout cas, il n’y aurait pas lieu de se faire tuer
pour
si peu que de savoir qui administrerait une société préalablement amp
151
mêmes de notre civisme, ne font leur service que
pour
faire comme les autres ? Où sont en vérité les meilleurs Suisses ? Qu
152
Dans ces conditions, pourquoi ne pas condamner «
pour
la forme », en saisissant l’occasion de dénoncer — parce qu’elle est
153
oncer — parce qu’elle est scandaleuse et honteuse
pour
notre pays — l’absence de toute espèce de reconnaissance légale de l’
154
fforts que j’ai faits — et ne cesserai de faire —
pour
expliquer notre pays, par la parole et par l’écrit, à un monde qui le
155
ière. C’est de cette conviction que je m’autorise
pour
vous communiquer mes réflexions sur ce cas de conscience difficile. V
156
la 1re Division a condamné le jeune René Bugnot,
pour
avoir refusé, pour la seconde fois, de se présenter au recrutement, à
157
condamné le jeune René Bugnot, pour avoir refusé,
pour
la seconde fois, de se présenter au recrutement, à une peine de quatr
158
sation qui permet désormais également l’exclusion
pour
les objecteurs de conscience non recrutés. Cette peine est identique
159
Denis de Rougemont les titres dont il se réclame
pour
parler de mission ou démission de la Suisse. Nul non plus n’a le droi
160
rrectif ou préventif, est une peine trop sommaire
pour
répondre équitablement à l’aliénation sociale des objecteurs de consc
161
’un simple témoignage rédigé à des fins précises,
pour
servir une cause personnelle, et pas du tout pour haranguer la foule
162
pour servir une cause personnelle, et pas du tout
pour
haranguer la foule par-dessus la tête du président. Si j’avais voulu
163
n minimum de précautions. Il m’eût fallu peser le
pour
et le contre, et surtout dans le cas de la Suisse, pays où il est le
164
out contestataire de nos institutions. J’ai parlé
pour
René Bugnot. Si je me relis bien, je n’ai pas proposé qu’on fasse de
165
Et vous ne croyez pas qu’il y aurait des indices
pour
une autre culture, une autre civilisation qui pourrait s’épanouir ? J
166
nôtres. Or nous constatons un gigantesque effort
pour
imposer aux Chinois une partie de la civilisation occidentale : le ma
167
a pas en sortir toute seule. On nomme des comités
pour
contrôler la bombe ! C’est aussi absurde que si l’on se jetait sur un
168
ussi absurde que si l’on se jetait sur une chaise
pour
l’empêcher d’aller casser un vase de Chine. Le “contrôle de la bombe”
169
trer des mesures nouvelles, des modèles efficaces
pour
la sensibilité. Comme l’ont fait la statuaire grecque avec ses dieux
170
ois que cela réussira : car nous ne sommes pas là
pour
essayer de prévoir l’avenir, mais pour le faire, disons d’une manière
171
mes pas là pour essayer de prévoir l’avenir, mais
pour
le faire, disons d’une manière réaliste, pour essayer de le changer d
172
ais pour le faire, disons d’une manière réaliste,
pour
essayer de le changer dans le bon sens. Une des formules que j’ai lan
173
le, traduction simple de cette phrase mystérieuse
pour
peu qu’on y réfléchisse : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »
174
paragraphe 5 de cet article dit qu’« on ne peut,
pour
cause d’opinion religieuse, s’affranchir de l’accomplissement d’un de
175
stitution ne permet pas l’objection de conscience
pour
raison religieuse. Il n’y a donc aucun conflit entre l’armée et l’obj
176
Puissant ». Christian Schaller, vous avez objecté
pour
des motifs religieux… La religion n’est pas le motif exclusif Ch
177
férence dans les aboutissants entre une objection
pour
des motifs religieux et pour d’autres motifs de conscience. Les quest
178
entre une objection pour des motifs religieux et
pour
d’autres motifs de conscience. Les questions posées sont communes à b
179
us n’invoquez pas le préambule de la Constitution
pour
vous autoriser à objecter autrement que les autres ? Christian Schall
180
e veut absolument rien dire. C’est une couverture
pour
quelque chose dont le contenu est une autre religion que le christian
181
sens de cette protection divine que l’on utilise
pour
la religion du civisme ? Est-ce que c’est vraiment la même chose d’êt
182
oyen. L’objecteur prend une position particulière
pour
mettre en évidence un état de fait. Ce n’est pas un anarchiste. Berna
183
s colonels recruteurs qui font face à l’objecteur
pour
la première fois, quand il n’a même pas 20 ans, qu’il n’est même pas
184
utement chaque année. Sur ce nombre, environ 300,
pour
l’ensemble de la Suisse, parlent d’objection de conscience. De ces 30
185
montre que si nous n’avons pas en droit un statut
pour
les objecteurs nous l’avons en fait. L’objecteur peut accomplir ses d
186
s civiques sans s’opposer à sa propre conscience.
Pour
les autres, l’officier de recrutement cherche encore une fois à les c
187
citoyens, pas encore soldats, et qu’on lui envoie
pour
leur premier refus de servir ? Colonel Vaucher. — La justice militair
188
naire Dénéréaz. — Alors, il y a quelque chose qui
pour
moi n’est pas très clair. Colonel Vaucher. — Nous n’y pouvons rien du
189
ucher. — La punition de l’objecteur de conscience
pour
motifs religieux, ou pour motifs moraux, philosophiques, peut être at
190
objecteur de conscience pour motifs religieux, ou
pour
motifs moraux, philosophiques, peut être atténuée par le tribunal. Au
191
ut dire, en fait, qu’un garçon de 20 ans condamné
pour
objection de conscience — vous avez dit que c’est un honnête homme —
192
comme des honnêtes gens. Ils viennent devant nous
pour
des fautes de discipline. Condamnés comme des hérétiques ? Chri
193
ont devant les tribunaux, ou à peu près, viennent
pour
des fautes de discipline. J’ai peine à entrer dans une classification
194
ine à entrer dans une classification de tribunaux
pour
honnêtes gens et de tribunaux pour malhonnêtes gens. Bernard Béguin.
195
n de tribunaux pour honnêtes gens et de tribunaux
pour
malhonnêtes gens. Bernard Béguin. — Mais si. Il y a un délit constitu
196
je suis intervenu à propos d’un de mes étudiants
pour
qui j’avais de l’estime, parce qu’il avait déjà été condamné une fois
197
carrière. Est-ce qu’il ne serait pas plus simple,
pour
vous, d’admettre un service civil ? Est-ce que ça a un sens de contra
198
ulez, qui fait des additions et des soustractions
pour
savoir si notre défense est encore positive, ou négative. Je pense qu
199
est fort possible que nous aurions été attaqués.
Pour
citer le dernier exemple : 40 divisions massées à notre frontière ava
200
Numériquement, cela ne jouerait aucun rôle. Mais
pour
d’aucuns, il y aurait de bons chrétiens qui ne portent pas les armes,
201
jecteurs de conscience ? oui, mais pas en Suisse.
Pour
quelle raison en Suisse ? Nous ne voulons de mal à personne, sinon dé
202
militaire sans doute obligatoire, nous passerions
pour
une part à une armée de métier. Mais à ce moment-là, nous serions obl
203
la proportion de dix millions d’adeptes fervents,
pour
dix lecteurs soucieux de William Reich. Quant à l’érotisme, que je dé
204
uand la population ratière devient trop nombreuse
pour
la nourriture disponible, les rats deviennent homosexuels. Mécanisme
205
n lien entre ces deux pôles d’attraction que sont
pour
vous l’amour d’une part, l’Europe d’autre part ? Mon titre vous répon
206
rvice de l’Europe, d’une société nouvelle à créer
pour
l’Europe. Aujourd’hui tout espoir est tourné vers la révolution à ven
207
japonais et en italien. C’est dire que 1972 a été
pour
lui “une année de mise au point d’une partie de son œuvre ancienne, m
208
esque tous les grands débats politiques. Rien que
pour
les votations du 26 février prochain, deux sujets sur six la concerne
209
ue et politique qui lui avait été fixé au départ.
Pour
faire le point sur la « voiture dans la société moderne », nous avons
210
on débattre du sujet, qu’elles connaissent toutes
pour
l’avoir étudié à fond, bien que sous des angles différents : Denis de
211
ngénieur de la circulation à Genève. Avant d’être
pour
ou contre l’automobile, il a l’immense responsabilité d’organiser le
212
Anti-Salon. Il est un membre actif de la campagne
pour
l’aménagement de pistes cyclables à Genève. En tant que futur médecin
213
mettait en garde, car il n’y avait pas de demande
pour
les automobiles et même les gens trouvaient cet objet répugnant, laid
214
ous conduire n’importe où il vous plaira d’aller,
pour
vous reposer le cerveau par de longues promenades au grand air et vou
215
mort dans une petite auberge qu’il avait achetée
pour
jouer avec ses petits enfants. Il avait obtenu du gouverneur de l’Éta
216
nu du gouverneur de l’État l’interdiction absolue
pour
les voitures de s’approcher à plus de 5 miles de chez lui. Il avait e
217
s lui qui a affirmé qu’il n’y avait pas de besoin
pour
la voiture, mais tous ses amis. C’était la vox populi. Jacob Roffler
218
a campagne et que vous devez vous rendre en ville
pour
travailler. Mais aussi sur le plan des loisirs. Regardez l’affiche du
219
ce non pas le samedi matin, mais le vendredi soir
pour
éviter les embouteillages. Denis de Rougemont : Vous dites, M. Peyrot
220
fin de sa vie, sur une partie de ses expériences,
pour
la placer en vérité absolue. M. Ford n’a pas inventé l’automobile. Il
221
n que lorsque vous prenez votre véhicule le matin
pour
aller travailler, vous êtes continuellement pressés, stoppés aux feux
222
us le faire croire dans certains milieux — d’être
pour
ou contre, d’en avoir ou pas. Cela équivaut à réduire le problème à u
223
première locomotive routière à vapeur. Cela a été
pour
lui son chemin de Damas. On voit d’ailleurs très bien le préadolescen
224
ont été s’installer à la campagne et s’en servent
pour
venir travailler. Jacob Roffler : Ce que je déplore dans l’évolution
225
s solutions peuvent être apportées. Certains sont
pour
accroître l’importance des transports en commun, d’autres au contrair
226
e des transports en commun, d’autres au contraire
pour
favoriser la liberté du trafic, tout est possible. Mais on ne peut se
227
si on me demande face à cette réalité si je suis
pour
ou contre la voiture, je dois convenir que c’est de la rigolade. Cela
228
s de quelques émirs du golfe Persique ? Tout cela
pour
dire que l’on ne peut traiter d’une question aussi grave en demandant
229
grave en demandant simplement aux gens s’ils sont
pour
ou contre. Les PDG de l’industrie automobile française réunis dans un
230
ndent, de leur côté, que l’intervention de l’État
pour
faire face à l’extension de la voiture, est de plus en plus brutale e
231
e décharger le réseau routier qui n’est pas conçu
pour
ce genre de trafic mais, lorsque l’on veut construire des routes de c
232
e suis parfaitement d’accord avec vous. Seulement
pour
en revenir à l’initiative Weber, elle ne demande rien d’impossible. E
233
n pourquoi au départ il avait demandé cela. C’est
pour
obliger les gens à faire attention avant de multiplier les permis de
234
e n’est prêt à abandonner son véhicule individuel
pour
prendre les transports en commun. Denis de Rougemont : Vous me rappel
235
cidents sont impopulaires mais les mesures prises
pour
les empêcher sont encore plus impopulaires ». Ce qui ne veut pas dire
236
hicules en ville, laquelle est utilisée davantage
pour
les bureaux. C’est ainsi que Wall Street ou le centre de Paris sont d
237
moderne dans des villes qui n’étaient pas faites
pour
la recevoir. Il en résulte, c’est clair, des problèmes presque insolu
238
gemont : Nous sommes ici, je pense, tous d’accord
pour
penser que cette déclaration de feu le président Georges Pompidou est
239
lle débouche sur une quantité d’emplois. Rien que
pour
la Suisse — qui pourtant ne fabrique pas directement d’automobiles —
240
ent à l’hôpital cantonal de Genève. Non seulement
pour
soigner des maladies chroniques, mais aussi des accidentés. Lorsque v
241
multiplication ou à la construction d’autoroutes.
Pour
les autoroutes, il est clairement établi que loin de résoudre le prob
242
k-end : on vous conseille d’éviter les autoroutes
pour
emprunter les parcours « Émeraude », c’est-à-dire les petites routes
243
, digne de Courteline : on aménage des autoroutes
pour
rendre la circulation plus fluide mais on s’aperçoit qu’au moindre dé
244
mportement dû au plomb, danger de l’oxyde d’azote
pour
les poumons, hausse des maladies pulmonaires, etc. Une chose étonne t
245
vous devinez. Le reste par le vent. Or on sait —
pour
l’avoir testé sur des animaux de laboratoires — que certains hydrocar
246
vec ». Ils le jurent tous. Ils paient 6 milliards
pour
une usine de retraitement, mais ils ne vont jamais l’utiliser… Franço
247
pourquoi le Conseil fédéral prend-il des mesures
pour
réduire le taux de plomb ? François Peyrot : La réglementation fédéra
248
’avais beaucoup aimé ce recueil d’essais : autant
pour
la manière dont Montherlant parlait du football que pour son style. M
249
manière dont Montherlant parlait du football que
pour
son style. Mon article fut donc publié dans La semaine littéraire, se
250
de Montherlant, le sport et les jésuites » et fut
pour
moi à l’origine d’un échange de lettres assez nourri avec Montherlant
251
uts littéraires ont donc coïncidé avec ma passion
pour
le football. Par la suite, j’ai eu l’occasion de rencontrer à maintes
252
le rôle du sport… Je crois que le sport doit être
pour
l’individu une sorte de morale ; celle de la tolérance, du fair-play,
253
aleur de la politique menée par son gouvernement.
Pour
les mêmes raisons, j’approuve totalement ceux qui refusent d’aller à
254
es et les drapeaux serait-il selon vous suffisant
pour
sauver les JO ? Non. Il faut repartir sur un autre pied, rédiger une
255
suisse le plus engagé dans les divers mouvements
pour
l’unité politique et culturelle de l’Europe. À travers ses nombreux l
256
m, c’est devenu tellement rare aujourd’hui ! Mais
pour
le reste, hélas, je n’ai pu que relire, et de très près, sept ou huit
257
in, serbo-croate, exigeant ajouts et préfaces, ou
pour
des rééditions revues et augmentées en livres de poche, à paraître à
258
Suis-je perdu
pour
la littérature ? (30 octobre 1982)as Mardi dernier, au Conservato
259
uement mûri s’il en fut, puisqu’il ne se déclare,
pour
notre Suisse romande, que tous les vingt ans en moyenne — je vous dir
260
ombe, le Victor Hugo des discours sur l’Europe et
pour
la paix, le Rimbaud d’Une saison en enfer, et tout près de nous, le V
261
un plan général, j’en viens à mon cas personnel,
pour
la première fois en public. On s’étonne souvent, ou l’on juge regrett
262
trente ans, à l’action. Qu’est-ce à dire? Action
pour
l’Europe fédérée dès 1946, fondation et direction effective pendant t
263
Genève ; présidence pendant seize ans du Congrès
pour
la liberté de la culture, à Paris ; de l’Institut universitaire d’étu
264
riment de mon œuvre littéraire ». Je serais perdu
pour
la littérature… Le prix que vous me donnez aujourd’hui, non seulement
265
« au pain et à l’eau, sans visites ni courrier »,
pour
« insultes à chef d’État étranger risquant de mettre en danger la séc
266
uite de quoi, je me vis gentiment poussé à partir
pour
New York, chargé d’une mission de conférences sur la Suisse. Je serai
267
op savoir comment, engagé dans la lutte militante
pour
la fédération de nos peuples. À mes amis fédéralistes, dont beaucoup
268
nner à leur cause deux ans de ma vie, et tant pis
pour
mon œuvre littéraire. C’était en 1947. J’y suis encore, les deux ans
269
trente-cinq ans, et pourtant je ne regrette rien,
pour
les raisons tout intérieures auxquelles il est temps que je vienne.
270
’avais découvert deux auteurs qui furent décisifs
pour
ma vie : Kierkegaard et Karl Barth. À travers eux j’allais redécouvri
271
ces termes conditionnant l’autre : nul n’est tenu
pour
responsable de ses actes si ceux-ci n’ont pas été accomplis librement
272
é fondée sur les communes, s’associant en régions
pour
les tâches qui dépassent leur compétence ; ces régions à leur tour se
273
t même plus : créateur de cette communauté. Voilà
pour
la doctrine. J’ai dit les conséquences qu’elle a entraînées dans ma v
274
lle a entraînées dans ma vie. M’ont-elles « perdu
pour
la littérature » ? J’ose dire que non. De mon action européenne, j’ai
275
’ici. as. Rougemont Denis de, « Suis-je perdu
pour
la littérature ? », Journal de Genève, Genève, 30 octobre 1982, p. I,