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ires : c’est le meilleur qui gagnera. Bien que la
presse
, à peu d’exceptions près, soutienne Willkie — comme elle soutint Land
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eterre. Le lendemain même de l’élection, toute la
presse
qui venait de soutenir Willkie avec ensemble, et qui n’avait pas cess
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ruine, division, guerre et inflation, toute cette
presse
proclamait l’union des partis, l’oubli des polémiques, la confiance d
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ement telle ou telle mesure prise par l’État : la
presse
et la radio lui en offrent les moyens. S’il a quelque chose de mieux
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ction. Si je relève tous ces traits, c’est que la
presse
et la radio ne cesseront de les souligner et de les détailler le lend
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stes, qui pensent comme des millions que le temps
presse
, et que les lenteurs de l’Assemblée, ramenées par les ministres à l’i
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re qui vote. La première est exactement ce que la
presse
et la radio déclarent qu’elle est. Presse et radio voudraient que Dew
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que la presse et la radio déclarent qu’elle est.
Presse
et radio voudraient que Dewey soit élu : on dit alors qu’il a pour lu
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auté dans l’Union. C’est donc précisément dans la
presse
de New York que trois des rédacteurs de la Constitution, Hamilton, Ja
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iste, et nous passons. La radio cite et passe, la
presse
en fait autant, et nos sociétés d’écrivains ne se réveillent pas pour
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ulture est apparue avec l’école obligatoire et la
presse
. On a fabriqué le nationalisme au xixe siècle. En peinture, voyez co
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stion de sport mais de délire nationaliste. Et la
presse
sportive dans tout cela… Je pense que les mass médias, dans leur ense