1 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
1 le bouton de ma radio, j’ai entendu cette phrase prononcée d’une voix forte : « Ici Radio municipale de New York, cité de 7 mill
2 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
2 laudissements se sont-ils apaisés, une voix forte prononce  : « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit », annonçant la bénédi
3 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
3 rs que nul, parmi les officiels, ne se risquait à prononcer  : « Messieurs, nous voici réunis pour célébrer une défaite victorieus
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
4 oréens n’entendent pas ce latin-là. Même s’il est prononcé avec l’accent anglais. Vous allez me parler, je le sais bien, des gra
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
5 bunal. Au lieu de l’emprisonnement tout court, on prononce l’emprisonnement à subir sous le régime des arrêts répressifs ; ou bi
6 me des arrêts répressifs ; ou bien, on peut aussi prononcer directement les arrêts répressifs. La différence n’est pas seulement
7 Depuis 1950, le Code militaire n’autorise plus de prononcer comme peine accessoire la privation des droits civiques, à l’encontre
8 nis de Rougemont. — La condamnation est forcément prononcée lorsque les conditions objectives sont réunies, disiez-vous ? Colonel
9 perpétuellement. Autrefois, il arrivait que l’on prononce trois condamnations. C’était trop. Maintenant à la deuxième condamnat
6 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
10 , c’est de laisser le droit aux populations de se prononcer . L’initiative Weber ne vise rien d’autre. J’ai peur que lorsque vous
11 . Elle demande simplement que le peuple puisse se prononcer . François Peyrot : Rétroactivement, ce qui est contraire à tous nos u