1
le bouton de ma radio, j’ai entendu cette phrase
prononcée
d’une voix forte : « Ici Radio municipale de New York, cité de 7 mill
2
laudissements se sont-ils apaisés, une voix forte
prononce
: « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit », annonçant la bénédi
3
rs que nul, parmi les officiels, ne se risquait à
prononcer
: « Messieurs, nous voici réunis pour célébrer une défaite victorieus
4
oréens n’entendent pas ce latin-là. Même s’il est
prononcé
avec l’accent anglais. Vous allez me parler, je le sais bien, des gra
5
bunal. Au lieu de l’emprisonnement tout court, on
prononce
l’emprisonnement à subir sous le régime des arrêts répressifs ; ou bi
6
me des arrêts répressifs ; ou bien, on peut aussi
prononcer
directement les arrêts répressifs. La différence n’est pas seulement
7
Depuis 1950, le Code militaire n’autorise plus de
prononcer
comme peine accessoire la privation des droits civiques, à l’encontre
8
nis de Rougemont. — La condamnation est forcément
prononcée
lorsque les conditions objectives sont réunies, disiez-vous ? Colonel
9
perpétuellement. Autrefois, il arrivait que l’on
prononce
trois condamnations. C’était trop. Maintenant à la deuxième condamnat
10
, c’est de laisser le droit aux populations de se
prononcer
. L’initiative Weber ne vise rien d’autre. J’ai peur que lorsque vous
11
. Elle demande simplement que le peuple puisse se
prononcer
. François Peyrot : Rétroactivement, ce qui est contraire à tous nos u