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i parlent une langue totalement incompréhensible,
rient
et s’enivrent comme plus un Européen ne sait le faire, et dansent à t
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’autre députés. Me voici partagé entre l’envie de
rire
de vos craintes dérisoires, de vos alinéas, et le sentiment très vif
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ue le vide et l’indifférence ; et devant vous, le
rire
des hommes d’acier ! Si vous me dites que c’est prématuré, je vous su
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e. Mais ce n’est pas ce petit corps maigre, et ce
rire
édenté de vieillard polisson qui le rendent présent parmi nous. Plutô