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i le discours que nul, parmi les officiels, ne se
risquait
à prononcer : « Messieurs, nous voici réunis pour célébrer une défait
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emps de méditer avant d’agir. Mais celui que vous
risquez
de perdre, cet été, soyez bien sûr qu’il le retrouvera : c’est le tem
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e inlassable embellit vos discours. En somme, que
risquez
-vous ? Je cherche à voir ce qui peut vous faire peur, ce qui peut êtr
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sommes, il n’y a presque plus rien à perdre. Que
risquez
-vous à tenter l’impossible ? D’autre part, il est sûr qu’il y aurait
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y aurait tout à perdre, même l’espoir, à ne point
risquer
la dernière chance européenne. Voilà le pari. Vous êtes acculés à l’a