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de se placer en face des choses, tout près, mais
sans
jamais s’y perdre ou se confondre en elles, révèle sa personnalité pe
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agne ayant, comme chacun sait, déclaré une guerre
sans
merci à toutes les formes d’intelligence réfractaires à la caporalisa
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jour, un troisième « fait les théâtres », besogne
sans
gloire et de maigre profit, un quatrième enfin, malgré ses quatre-vin
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e ou du philosophe, par exemple. Ce qui ne va pas
sans
risques graves, pour la plupart. Tout cela, que je résume à grands tr
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apparaître assez clairement que la situation est
sans
issue directe. J’entends que nulle réforme légale ne suffirait à l’as
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e chose qu’« une heure d’oubli », une distraction
sans
conséquence entre les heures de bureau ou d’usine. Après le travail e
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ire, et ses partisans accusent Willkie de jouer —
sans
le vouloir — le jeu des totalitaires. Mais Willkie réplique que c’est
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cal de trois-cents policemen montés. On circulait
sans
nulle peine autour du building du Times, sur lequel passaient en ruba
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sentait vraiment battu. On peut dire aujourd’hui
sans
exagération que la réélection de Roosevelt a été l’une des trois « Kr
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ement devant le peuple, et à ne rien entreprendre
sans
son appui. Les plus hauts fonctionnaires n’hésitent pas à participer
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atiquement que les États-Unis sont une démocratie
sans
partis. Entre le citoyen et les autorités, pas d’autre intermédiaire
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en ne donne une idée de l’immobilité comme ce vol
sans
repères en plein ciel, à 130 mètres à la seconde, sans vibrations ni
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repères en plein ciel, à 130 mètres à la seconde,
sans
vibrations ni courant d’air, et sans nul signe apparent de mouvement.
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la seconde, sans vibrations ni courant d’air, et
sans
nul signe apparent de mouvement. Les uns écrivent, d’autres déjeunent
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t-coquet scolaire 1910, que l’imagination se rend
sans
condition après la plus rapide reconnaissance des lieux. J’ai revu de
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e et intacte. Et j’ai revu la SDN dans son palais
sans
patine, sans fantômes. Pourtant, cette grande figure voûtée qui lui r
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Et j’ai revu la SDN dans son palais sans patine,
sans
fantômes. Pourtant, cette grande figure voûtée qui lui ressemblait à
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iers de salle, un ton d’obsèques officielles mais
sans
tristesse. Ce fut une glorieuse journée, comme disent les Anglo-Saxon
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sont plus complexes ; et qu’on ne peut comparer,
sans
offense, nos modestes sagesses et les folies sublimes des grandes Nat
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eur — moins astucieusement combiné pour s’enrayer
sans
faute avant le départ —, vous en ferez l’usage qu’elle attend. Elle n
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nt nous cherchons en vain l’égal sur la Planète ?
Sans
remonter jusqu’au déluge, ni même jusqu’aux Anciens qui manquent à l’
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n trésor de diversités souvent irréductibles mais
sans
prix, de libertés, de foi, et de formes de vie, cette idée par exempl
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e anglais. Il en découle primo : qu’une Assemblée
sans
majorité travailliste ne saurait être tolérable que dans la mesure où
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t à ce mythe que pour garder quelque moyen d’agir
sans
démasquer sa vraie nature. Car dans le fait, où sont nos souveraineté
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e par l’union, et que l’unification tuerait. Mais
sans
sacrifices d’amour-propre, sans replis stratégiques d’intérêts légiti
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ion tuerait. Mais sans sacrifices d’amour-propre,
sans
replis stratégiques d’intérêts légitimes, sans compromis elle ne sera
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e, sans replis stratégiques d’intérêts légitimes,
sans
compromis elle ne sera pas. C’est clair. Seuls, ceux qui veulent pass
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pas mûre, et chacun sait qu’on ne peut rien faire
sans
elle. » C’est qu’ils se prennent pour l’opinion, qu’ils ont négligé d
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que si l’on se contente d’affirmer des principes
sans
les mettre en pratique, cela ne fait de mal à personne. Mais cela en
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appuie cette suggestion. On ne fera pas l’Europe
sans
informer ses peuples, et du danger qu’ils courent, et de la parade pu
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notre fédération. On n’informera pas les peuples
sans
une propagande massive. Personne n’a les moyens de la financer. La se
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e ne suis rien qu’une voix presque désespérée, et
sans
autre pouvoir que de vous adjurer de la part des millions qui se tais
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et n’aiment pas l’eau. La frontière est partout,
sans
nulle raison visible, découpant une contrée que la nature avait conçu
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érité », écrivait-il à Madame du Deffand. Avec ou
sans
le curé, contre les tyranneaux, en dépit des conseils des réalistes,
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ux princes intellectuels et temporels de l’Europe
sans
y ajouter un prospectus vantant la qualité des montres de Ferney, ou
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sme dans l’intelligentsia européenne : l’autorité
sans
discussion. Telles étant les implications de l’offre russe, il appart
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du moment où ils disposeraient de l’armée commune
sans
laquelle toute neutralité reste illusoire. L’Amérique n’aurait rien à
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ules qui permettent l’élaboration de l’instrument
sans
lequel il n’est point d’entente entre les hommes, je veux dire un lan
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conditions du dialogue viennent d’être acceptées
sans
réserve par la déclaration de Boulganine — et cela pour la première f
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é, pour avoir laissé faire sous nos yeux hébétés,
sans
un cri, sans un geste — cela ? Ces voix rauques, jusque dans nos cham
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laissé faire sous nos yeux hébétés, sans un cri,
sans
un geste — cela ? Ces voix rauques, jusque dans nos chambres, criant
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e, qui ne pouvait pas répondre, appelant l’Europe
sans
chefs et sans armée, et sans même un porte-parole pour nous dire : al
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ait pas répondre, appelant l’Europe sans chefs et
sans
armée, et sans même un porte-parole pour nous dire : allons-y ! pour
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e, appelant l’Europe sans chefs et sans armée, et
sans
même un porte-parole pour nous dire : allons-y ! pour leur dire : nou
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res foules révoltées, et liquider d’autres élites
sans
armes. Nous devons à la passion de Budapest martyre une réparation sa
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s à la passion de Budapest martyre une réparation
sans
merci, vigilante, obstinée, sans éclat, comme il convient à la repent
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e une réparation sans merci, vigilante, obstinée,
sans
éclat, comme il convient à la repentance active. Nous devons tout d’a
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ccident, hurlant : l’Europe à l’aide ! et mourant
sans
réponse. x. Rougemont Denis de, « Oserons-nous encore… », Journal
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e courage d’être lui-même, et le rabat au mutisme
sans
espoir, seule communion possible encore avec son peuple. y. Rougem
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et dont l’écho s’entend dans tout l’ouvrage, est
sans
nul doute l’une des prouesses intellectuelles les plus mémorables du
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vec une référence explicite à Calvin). Tout cela,
sans
aucun recours au vocabulaire consacré de la piété, ni aux symboles de
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chrétienne », p. 231.) Or, ce Dieu que l’on écrit
sans
sourciller Ps-Pr-F — comme l’énergie s’écrit mc2 dans la célèbre équa
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tructures physico-mathématiques, est inconcevable
sans
Dieu. Elle cesse donc d’être vraie musique chez ceux de nos contempor
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Bugnot. Équilibré, maître de soi, convaincu mais
sans
fanatisme, il n’est ni subversif, ni anarchiste, ni cryptocommuniste,
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serait qu’un État policier régnant sur des êtres
sans
âmes. La politique de neutralité donne aux responsabilités du citoyen
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tre siècle a-t-elle été préparée ? Je vous dirais
sans
trop réfléchir : par le nationalisme militarisé, l’étatisme, le matér
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l’État où le citoyen applique les lois et y obéit
sans
les mettre plus jamais en question. Bernard Béguin. — Tout dépend si
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. L’objecteur peut accomplir ses devoirs civiques
sans
s’opposer à sa propre conscience. Pour les autres, l’officier de recr
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rait s’y soustraire en se faisant réformer.) Mais
sans
se soustraire à la loi l’objecteur cherche à montrer les failles de l
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dépit de la bombe atomique dont on parle beaucoup
sans
en connaître les effets. Par deux fois déjà, nous avons été maintenus
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ent s’étonner que vous ayez pu le tolérer si bien
sans
changer de mentalité. Bernard Béguin. — Pourquoi nous l’avons toléré
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s pas simplement défendre les frontières du passé
sans
tenir compte du fait que nos frontières actuelles sont celles de la p
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ndement du rapport humain le plus total, survivra
sans
trop de mal à nos modes intellectuelles. La mode littéraire des troub
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rite », c’est-à-dire leur nature et leur contenu,
sans
plus se laisser paralyser par la fiction, décidément indéfendable à t
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l’imagination d’un Henry Ford, mécanicien têtu et
sans
culture, dites-vous, qui est parvenu à ses fins en créant dans ses us
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’y a pas d’invention au monde qui n’ait été faite
sans
un besoin et sans des années et des années de recherches. L’auto n’éc
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on au monde qui n’ait été faite sans un besoin et
sans
des années et des années de recherches. L’auto n’échappe pas à la règ
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selon laquelle aucune réalisation n’est possible
sans
besoin. François Peyrot : Permettez-moi d’observer que l’on ne peut p
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es innovations technologiques dans notre société,
sans
nous demander au préalable à quoi cela peut bien nous mener. Mais voi
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ble, des villes invivables, et des embouteillages
sans
fin. Jean Kräyenbühl : Je pense qu’il faudrait davantage analyser le
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ville où les gens se rencontrent librement, même
sans
se connaître, où se formait l’opinion et cela depuis la cité grecque.
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’à ce jeu de l’auto prioritaire ont été sacrifiés
sans
douleur, logement, enseignement, téléphone, urbanisme, recherche scie
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s ne pouvez aujourd’hui brancher votre télévision
sans
entendre parler d’emplois et de niveau de vie. La voiture y contribue
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ersitaire d’études européennes, à Genève encore ;
sans
parler de l’Association européenne des festivals de musique, de l’Ass
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joué entre 1930 et 1940 J’oserai donc aborder
sans
aucune précaution la question que beaucoup se posent à mon sujet : —
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quinze jours de forteresse « au pain et à l’eau,
sans
visites ni courrier », pour « insultes à chef d’État étranger risquan
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on retour définitif en Suisse, je me suis trouvé,
sans
trop savoir comment, engagé dans la lutte militante pour la fédératio
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se porter et où n’importe qui puisse lui répondre
sans
avoir l’organe de Stentor. Nous retrouvions l’idéal d’Aristote qu’il