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rce que son livre, aux petits chapitres à la fois
si
concis et achevés, n’est ni un album de vues pittoresques, ni le jour
2
e de l’islam, que nous l’avons lu avec un intérêt
si
soutenu et parfois — je pense à certaines pages sur Jérusalem qui tou
3
nt particulièrement une sensibilité protestante —
si
passionné. Nul n’est moins oriental que de Traz, et c’est ce qui donn
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sur une partie orientale de lui-même, comme c’est
si
souvent le cas, mais bien sur l’Orient. Encore faut-il s’entendre : l
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t fait un plaisir. » Et encore ceci que je trouve
si
juste : « Ce qui définit le plus profondément l’Occidental, c’est peu
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rs, comment collaborer, comment se comprendre, et
si
c’est impossible, pourra-t-on du moins éviter le conflit que certains
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anxiété mélancolique » qu’il éprouve à se sentir
si
loin de l’Oriental, les conclusions de M. de Traz — si tant est qu’on
8
in de l’Oriental, les conclusions de M. de Traz —
si
tant est qu’on peut conclure en une matière si complexe — sont plutôt
9
— si tant est qu’on peut conclure en une matière
si
complexe — sont plutôt optimistes. Il ne paraît pas croire à un péril
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r il faut bien connaître la nature et ses abîmes,
si
l’on veut être à même d’y voir les touches du surnaturel. Si les scan
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t être à même d’y voir les touches du surnaturel.
Si
les scandales du temps vous laissent quelque loisir pour vous occuper
12
otamment de la part des marxistes, qui soutinrent
si
longtemps la primauté du matériel cette subite conversion à la cause
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est essentiellement négatif. Car à la vérité, et
si
libre qu’elle soit encore, Dieu merci, la culture française est malad
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ume. Or, c’est cela qui devient impraticable ; ou
si
praticable, néfaste. Impraticable : l’écrivain ne touche sur les livr
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paraît tendre vers la même limite, et à bon train
si
l’on n’y veille ; dégradation et domestication de l’intelligence et d
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ront sans doute déficitaires, mais qui plus tard,
si
la célébrité se dessine, se verra prisonnier d’un contrat de débutant
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dans son urgence et son ampleur. Pourquoi lit-on
si
peu ? Pourquoi, en temps de crise, a-t-on comme premier réflexe d’éco
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résoudront le mieux le problème de la culture, —
si
toutefois elles se le posent à temps ! e. Rougemont Denis de, « Co
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Mission civique de la culture (1er mars 1937)f
Si
les livres se vendent si mal, et si le public ne se rend pas compte d
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ture (1er mars 1937)f Si les livres se vendent
si
mal, et si le public ne se rend pas compte de l’importance réelle de
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ars 1937)f Si les livres se vendent si mal, et
si
le public ne se rend pas compte de l’importance réelle de cette crise
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’élus ? Le peuple lit ce qu’on écrit pour lui, et
si
les grands esprits se désintéressent de son sort, il ne peut que leur
23
nt qu’elle ne le croit, sans doute. Une situation
si
compromise ne se rétablira point par quelque truc, loi nouvelle ou ca
24
nt de la culture n’aurait pas de chance d’aboutir
si
, d’autre part, le public lui-même n’avait à cœur d’y collaborer. Auss
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i-même n’avait à cœur d’y collaborer. Aussi bien,
si
j’écris ceci à l’intention d’un de nos journaux, ce n’est pas pour pr
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hez nous qu’ailleurs. C’est vrai sans doute. Mais
si
l’on se borne à le répéter, cela cessera bientôt d’être vrai : nous s
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effet au romantisme allemand qu’il faut remonter
si
l’on veut étudier la source véritable de préoccupations qui parurent
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’issue de la campagne. Ce qui rend cette dernière
si
« excitante » pour les masses, c’est précisément le nombre des inconn
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t en tant que nation. Ils auront cessé de parier.
Si
Roosevelt l’emporte, les événements suivront leur cours actuel, et le
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dame milliardaire me déclarait pathétiquement : «
Si
Roosevelt gagne, je remplis mes caves de conserves. Car ce sera, je v
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s blessures : signe que sa circulation est bonne.
Si
les oppositions politiques les plus violentes laissent peu ou point d
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laissent peu ou point de rancune et se résolvent
si
rapidement aux États-Unis, c’est en grande partie à cause de la const
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dynamisme et de cette efficience, qui contrastent
si
fortement avec les scléroses et les vieilles rancunes de la vie polit
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e cadres traditionnels, et dont la population est
si
nomade encore, la vraie cellule sociale, c’est la paroisse. Plus soci
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s et du Saint-Esprit », annonçant la bénédiction.
Si
je relève tous ces traits, c’est que la presse et la radio ne cessero
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noms des rues sur ces maisons jaunes ou grises et
si
basses. Je cherche à voir, le nez contre la vitre, et tout d’un coup
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ent-ils non sans inquiétude. — Et New York donc ?
Si
vous y connaissez des chambres libres, faites-moi signe. (Comme les A
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s oiseaux ! Dans une ville ! Point d’autres sons…
Si
! je ne rêve pas : un coq qui crie, tout là-bas vers les Invalides. L
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Les maisons des quartiers extérieurs intactes, et
si
parfaites dans le propret-coquet scolaire 1910, que l’imagination se
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comme un bon vin. Et j’ai feuilleté des éditions
si
belles qu’on se demande quels talents les méritent. Ce qu’il y a de p
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ens là dans mes jugements, j’arrive à peine. Mais
si
j’essaie de situer ce pays dans le cadre de mon voyage, voici comment
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nos cantons. Leurs sorts ne sont pas moins liés,
si
vous regardez l’Europe dans l’ensemble du monde. Vos cordons de douan
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experts. Ces consultés à la troisième puissance —
si
l’on peut dire ! — répondent après six mois que c’est prématuré, mais
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rien faire en attendant. Et l’opinion se demande
si
tout cela dissimule une idée de derrière la tête, ou révèle au contra
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sache. Quand vous y serez, il sera temps de voir
si
la prudence, ou au contraire un peu de hâte, conviennent à nos calami
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t tout faire en deux pas, sauf franchir un abîme.
Si
votre œuvre est de longue haleine, il n’y a pas une minute à perdre.
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és. Elle vous demande « Que voulez-vous faire ? »
Si
vous ne voulez pas fédérer l’Europe, vous ne voulez rien qui l’intére
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er l’Europe, vous ne voulez rien qui l’intéresse.
Si
vous ne faites rien cet été, vous serez oubliés cet automne. Si vous
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tes rien cet été, vous serez oubliés cet automne.
Si
vous croyez qu’il vaut mieux ne rien faire, ou qu’on ne peut rien fai
50
illusion coûteuse dans un édifice inachevé. Mais
si
quelques-uns d’entre vous, comme je le crois, sont fédéralistes, qu’i
51
En vérité, je ne sais comment j’ose vous parler,
si
ce n’est par angoisse et en dernier recours, soulevé par la passion d
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e temps, tout cela peut disparaître à tout jamais
si
vous manquez à une mission précise, celle de fédérer nos faiblesses p
53
nd il regarde notre vieux continent, il n’y voit,
si
j’ose dire, que ce qui n’y est pas ; il voit que ça n’est pas rouge,
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uls mentionnés) restent unis par une même langue.
Si
c’est celle du pamphlet, tremblons pour la famille ! Tous les adversa
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e s’il n’affecte pas les intérêts anglais, et que
si
toute l’Europe se convertit à l’étatisme illimité. Ce qui n’offre auc
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ui marchent », dit Péguy. Elle ne vous suivra pas
si
vous êtes daltoniens, et les sceptiques, alors, pourront bien dire :
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a sens, c’est l’Europe. Mais elle ne bougera pas,
si
vous ne faites presque rien. Elle laissera les sceptiques parler « au
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que de bien à notre cause à tous. On me dira que
si
l’on se contente d’affirmer des principes sans les mettre en pratique
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sous-estimer la puissance des philatélistes. Mais
si
Strasbourg accouche d’un timbre-poste, nous serons un peu déçus, et S
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i restent les seuls juges d’un conflit éventuel.)
Si
vous acceptez cela, vous aurez avec vous l’opinion vraie dans sa majo
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ique de l’Histoire, le réveil de notre espérance.
Si
vous n’acceptez pas, vous ne trouverez derrière vous que le vide et l
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ce ; et devant vous, le rire des hommes d’acier !
Si
vous me dites que c’est prématuré, je vous supplierai de déclarer cla
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uelles conditions, cela cessera d’être prématuré.
Si
vous me dites que c’est très joli, mais qu’il faut qu’on vous laisse
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obtenir de Staline. Car en Europe, il y en a peu.
Si
vous me dites enfin que c’est plus difficile que je n’ai l’air de le
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penser dans ma candeur naïve, je vous demanderai
si
quelque chose au monde est plus difficile à concevoir que le maintien
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l’anxiété qui les dicte. Je ne vous écrirais pas
si
je ne savais très bien qu’une partie d’entre vous m’approuve, et qu’u
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mouvement de passion, je m’écriais l’autre jour :
si
vous ne voulez rien faire, allez-vous-en ! Mais beaucoup d’entre vous
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tient à cela, tout tient à votre sage audace. Car
si
l’Europe unie n’est pas un grand espoir renaissant dans le cœur des m
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ensemble ? Je veux avoir parlé pour ne rien dire,
si
quelqu’un nous propose une autre solution que l’Autorité fédérale, so
70
domination. La supériorité que l’Europe a depuis
si
longtemps conservée l’a disposée à se regarder comme la maîtresse de
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transformer en engagements concrets. Se demander
si
les Russes sont sincères serait bien vain : il faut absolument les pr
72
ion pacifique entre hommes également convaincus :
si
cette offre est aussi valable pour d’autres sujets de débats, plus ac
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es réels dans les deux sens, ou je n’ai rien dit.
Si
chacun mène chez l’autre un cheval de Troie et qu’il en organise, en
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os sociétés d’écrivains ne se réveillent pas pour
si
peu : elles ne dépendent pas de l’État. Mais qu’un écrivain russe reç
75
çais ». Mais la caricature veut ces déformations,
si
la critique honnête les réprouve. Tout autre chose est d’affirmer que
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contester à condamner et à flétrir publiquement.
Si
nous nous moquons de ces idéaux, ou si nous condamnons à la prison ce
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liquement. Si nous nous moquons de ces idéaux, ou
si
nous condamnons à la prison ceux qui se réclament en toute conscience
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les raisons d’être de la communauté confédérale ?
Si
c’est l’ordre à tout prix et l’écrasement légal des opposants et diss
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feront mieux que nous : voir Budapest et Prague.
Si
c’est la liberté, vous acquitterez René Bugnot. Ou plutôt, il faudrai
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er la liberté que je prends en m’adressant à vous
si
franchement et longuement. Je ne voulais être qu’un témoin de moralit
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ère fois. Et il ne pouvait en être autrement. Car
si
le juge n’est plus obligé d’aggraver la peine du fait qu’il n’est plu
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ranguer la foule par-dessus la tête du président.
Si
j’avais voulu traiter publiquement de l’objection de conscience en gé
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ire objecteur, donc le plus courageux de l’être —
si
l’on est sérieux, toutefois, ce qui n’est pas le cas, nécessairement,
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de nos institutions. J’ai parlé pour René Bugnot.
Si
je me relis bien, je n’ai pas proposé qu’on fasse de lui le « déposit
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ait qu’un État policier ». J’ai dit seulement que
si
l’on choisissait de s’en tenir à « l’ordre à tout prix » et à l’écras
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ale est la seule qui ait conquis le monde entier.
Si
on déclare qu’elle va mourir, cela revient à dire qu’il n’y aura plus
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mbe n’est pas dangereuse du tout. C’est un objet.
Si
vous la laissez tranquille dans sa caisse, elle ne va pas en sortir t
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pour contrôler la bombe ! C’est aussi absurde que
si
l’on se jetait sur une chaise pour l’empêcher d’aller casser un vase
89
sensibilités. Mais encore faut-il sentir l’époque
si
l’on veut essayer de l’influencer : et c’est à cela que l’art peut no
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oi je veux dire plus divin. Et ne me demandez pas
si
je crois que cela réussira : car nous ne sommes pas là pour essayer d
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dans la paix que l’on s’interroge sur la guerre.
Si
l’on met à part les Témoins de Jéhova qui constituent un cas particul
92
portionnellement plus nombreux en Suisse romande.
Si
la notion d’objection de conscience a été récemment étendue à des mot
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qu’entre « conservateurs » et « progressistes »,
si
je puis dire. L’objection est l’un des moyens de proposer des solutio
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gemont. — C’est la religion civique qui triomphe.
Si
l’objecteur invoque son christianisme, on lui dira : « Tant pis, c’es
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jamais en question. Bernard Béguin. — Tout dépend
si
le citoyen est autorisé à les faire, ces lois, ou si elles lui sont d
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le citoyen est autorisé à les faire, ces lois, ou
si
elles lui sont dictées. Si elles ont été faites par la collectivité,
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es faire, ces lois, ou si elles lui sont dictées.
Si
elles ont été faites par la collectivité, et si elles sont amendables
98
. Si elles ont été faites par la collectivité, et
si
elles sont amendables par elle en tout temps. Christian Schaller. — E
99
. — Vous ne connaissez pas les troupes genevoises
si
vous parlez d’obéissance inconditionnelle… Denis de Rougemont. — Au p
100
rent. Nous avons besoin d’eux, et cela montre que
si
nous n’avons pas en droit un statut pour les objecteurs nous l’avons
101
ans les tribunaux militaires ? Colonel Vaucher. —
Si
, nous pouvons les juger. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Mais le ga
102
aux pour malhonnêtes gens. Bernard Béguin. — Mais
si
. Il y a un délit constitutionnel qui n’est pas un délit pénal. Il y a
103
énaux suisses, le sursis ne peut être accordé que
si
le juge a plus qu’un espoir, mais une conviction suffisante. Alors, l
104
rocès n’avait pas d’autre objet que de déterminer
si
les conditions objectives de l’objection de conscience étaient réunie
105
nuantes Colonel Vaucher. — Ce n’est pas exact.
Si
l’objecteur bénéficie de circonstances atténuantes ou exculpantes, il
106
longuement leurs motifs, nous les demandons, car
si
ces motifs ne sont ni religieux, ni moraux, ni philosophiques, alors
107
is que dans notre pays, l’armée et le peuple sont
si
intimement mêlés que vous retrouvez les mêmes personnages dans les de
108
ibunal militaire. Nous représentons le peuple, et
si
le peuple suisse veut déférer le jugement de certaines causes à d’aut
109
t pas de l’antimilitarisme, il faut bien voir que
si
l’on hésite à créer un statut de l’objecteur, c’est qu’on a le sentim
110
ne faut pas confondre soldat et militarisme. Mais
si
l’on discute l’efficacité de la non-violence, il faut aussi discuter
111
ppliquer les recettes du passé — qui ont toujours
si
bien marché — ou bien est-ce que nous avons autre chose à faire que s
112
sé. Je suis un officier de métier, un technicien,
si
vous voulez, qui fait des additions et des soustractions pour savoir
113
it des additions et des soustractions pour savoir
si
notre défense est encore positive, ou négative. Je pense que notre sy
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nombre d’objecteurs. Nous en serions ravis. Mais
si
je me pose la question comme citoyen — et je suis reconnaissant aux o
115
ique de réaliser cette armée. J’ignore totalement
si
une armée de métier ou simplement des volontaires pourraient assurer
116
précisément s’étonner que vous ayez pu le tolérer
si
bien sans changer de mentalité. Bernard Béguin. — Pourquoi nous l’avo
117
faire en Russie. Mais je pense, pour ma part, que
si
la neutralité suisse doit s’accompagner de la solidarité, il faut sav
118
bord la survie. Vous ne pouvez pas être solidaire
si
vous courez le risque de l’anéantissement. Christian Schaller. — Parf
119
ituation particulière de la Suisse. Je me demande
si
cette situation ne crée pas des devoirs particuliers aux Suisses dans
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tel qu’il se présente aujourd’hui. Je me demande
si
on peut toujours se référer à notre neutralité comme à une espèce de
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dans le prolongement de L’Amour et l’Occident .
Si
le second ne renie pas le premier, toutefois il le rectifie. Comment
122
maladie monogamique ». De l’unicité, l’amour va,
si
l’on peut dire, vers la « pluridimensionnalité ». Avant « la mort de
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en qui ressemble à un « l’éclatement de l’Éros »,
si
j’en crois mes yeux et les statistiques. Le fait qu’un livre comme Lo
124
n s’aidant de slogans publicitaires habiles. Mais
si
la voiture avait été, dès le départ, un besoin inventé de toute pièce
125
ait que je l’aime bien ou que je la trouve utile.
Si
j’ai consacré dans mon dernier livre une trentaine de pages à l’auto,
126
us devez respecter des horaires au même titre que
si
vous preniez le train. Vous partez en vacance non pas le samedi matin
127
ouvrir autrement, à pied ou à vélo. Vous demandez
si
la prolifération des autos n’en a pas réduit les avantages. Mais c’es
128
a liberté des peuples. C’est un point primordial.
Si
vous comparez le nombre de véhicules par habitant en Occident par rap
129
omme des inconvénients. L’important est de savoir
si
le bilan est positif ou négatif. À mon avis il est immensément positi
130
. Il ne s’est jamais demandé ce qu’il adviendrait
si
au lieu de vendre cent ou deux cents véhicules par an, il en vendrait
131
ent un phénomène qui m’impressionne beaucoup. Car
si
on me demande face à cette réalité si je suis pour ou contre la voitu
132
aucoup. Car si on me demande face à cette réalité
si
je suis pour ou contre la voiture, je dois convenir que c’est de la r
133
référendaire. Mais il n’y a pas eu de référendum.
Si
le peuple suisse donne raison le 26 février à M. Weber, il aura obten
134
e telles choses, on est bien obligé de penser que
si
le fédéral s’obstine, un recours démocratique doit être possible. Hub
135
du centre commercial de la ville. Jacob Roffler :
Si
beaucoup de personnes désirent aller habiter à la campagne, c’est que
136
es des communes au Moyen Âge qui ont joué un rôle
si
important. Voilà encore un certain nombre d’effets objectifs que pers
137
réalité économique ? François Peyrot : En effet,
si
vous avez eu l’occasion de visiter une usine d’automobiles, vous aure
138
oint des véhicules qui au lieu de durer cinq ans,
si
tout va bien, durent vingt ou trente ans ? Je trouve personnellement
139
joie de vivre, la douleur, etc. Donc on voit que
si
la voiture donne une certaine liberté, on paie celle-ci horriblement
140
de gardiens de but. C’est tout de même étonnant.
Si
vous deviez définir le rôle du sport… Je crois que le sport doit être
141
s ont eu le plus grand tort de participer aux JO.
Si
elles avaient refusé d’y aller tout en exprimant clairement leurs rai
142
ase ses adversaires, dicte sa loi », un peu comme
si
les grands sportifs imposaient leurs volontés les plus arbitraires à
143
ert l’Europe et la nécessité vitale de son union,
si
les Alliés gagnaient, la délivraient d’Hitler. Et dès mon retour défi
144
re : nul n’est tenu pour responsable de ses actes
si
ceux-ci n’ont pas été accomplis librement (les juristes connaissent b
145
e, personne n’est vraiment libre de ses décisions
si
celles-ci ne peuvent entraîner aucun effort concret. Poursuivant ce r