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ienne. Il y eut une école littéraire, à la fin du
siècle
dernier, pour soutenir que la réalité c’est le terne train-train des
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it qu’empirer depuis. Les grands auteurs de notre
siècle
ne sont pas des auteurs populaires. Ils sont à l’usage exclusif d’une
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jourd’hui, n’est plus du tout ce qu’elle était au
siècle
passé pour des millions de personnes de toutes conditions : une nourr
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hâtent vers la gare d’Orsay. Paris a reculé d’un
siècle
, en direction d’une beauté oubliée. Mais que dire de la foule que j’a
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Suisse, dès cet instant, n’a pas fléchi durant un
siècle
. Messieurs les députés, neuf mois avaient suffi pour fédérer vingt-ci
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les cantons suisses vivaient ensemble depuis des
siècles
; que les problèmes économiques sont plus complexes ; et qu’on ne peu
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ent. Vos Nations vivent ensemble depuis autant de
siècles
, et souvent davantage, que nos cantons. Leurs sorts ne sont pas moins
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istres à l’immobilité, sont la pire imprudence du
siècle
. Nous ne sommes pas impatients, mais angoissés. Nous ne voulons pas q
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ce cap de l’Asie ait dominé le monde pendant des
siècles
? D’où, sinon d’un pouvoir d’invention et de dépassement du destin do
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fédérer nos faiblesses pour en faire la force du
siècle
. Messieurs les députés européens, saurez-vous mériter votre nom ? On
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» entre Alpes et Jura, entre le xviiie et notre
siècle
, entre ces jardins de Candide et cette Bourse des valeurs de toute l’
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pendant libéral au Prince de Machiavel. Depuis un
siècle
et demi, les hommes d’État américains ont coutume de se référer aux m
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re infinie, à son peuple mystique, à la misère du
siècle
. Il n’a pas voulu rester seul. Quelques-uns des plus grands l’ont osé
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prouesses intellectuelles les plus mémorables du
siècle
. À partir de relations logarithmiques, de considérations mathématique
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quoi cette période anarchique que traverse notre
siècle
a-t-elle été préparée ? Je vous dirais sans trop réfléchir : par le n
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tte phrase absolument stupéfiante : « Au début du
siècle
, tout le monde me mettait en garde, car il n’y avait pas de demande p
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ent, vit aujourd’hui mieux qu’il n’y a un ou deux
siècles
. Moi ce qui me frappe, M. de Rougemont, dans la critique que vous fai