1 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
1 s une zone de silence. Mais quand un homme d’État soviétique passe le Rideau, c’est pour entrer dans la zone où l’on parle. Toute
2 s à se manifester dans l’énorme psyché collective soviétique . Celle-ci cherche avant tout non point la liberté, qu’elle redoute, m
2 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
3 elations, diplomatiques ou autres, avec la Russie soviétique , ses clients et ses partisans. Je crois avoir été le premier à propos
4 er, ici, la reprise du dialogue culturel avec les Soviétiques délivrés de Staline. Des rencontres privées ont suivi mon appel. Les
3 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
5 écrasement légal des opposants et dissidents, les Soviétiques le feront mieux que nous : voir Budapest et Prague. Si c’est la liber
4 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
6 es par habitant en Occident par rapport à l’Union soviétique , il n’y a aucune commune mesure : 0,5 % de la population en URSS, 50 
7 ure, vous appelez la liberté. Le jour où 50 % des Soviétiques pourront aussi se déplacer en voiture, ils n’accepteront plus d’être
5 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
8 qui refusent d’aller à Moscou tant que le régime soviétique continue à faire ce que l’on sait. D’autant que le gouvernement russe
9 on du monde entier à l’égard du régime communiste soviétique . Le fait de supprimer les hymnes et les drapeaux serait-il selon vous