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n point primordial. Si vous comparez le nombre de
véhicules
par habitant en Occident par rapport à l’Union soviétique, il n’y a a
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ous savez très bien que lorsque vous prenez votre
véhicule
le matin pour aller travailler, vous êtes continuellement pressés, st
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viendrait si au lieu de vendre cent ou deux cents
véhicules
par an, il en vendrait des millions. Il ne s’est jamais interrogé sur
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voitures, cela vous rendra libres », en fait leur
véhicule
leur servait essentiellement à aller travailler. Autre aspect : le re
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e que l’extraordinaire prolifération du nombre de
véhicules
pose des problèmes. Des solutions peuvent être apportées. Certains so
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entre, à la campagne, parce qu’ils disposent d’un
véhicule
. Cette tendance a considérablement modifié le visage de la ville. À G
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actes, plus personne n’est prêt à abandonner son
véhicule
individuel pour prendre les transports en commun. Denis de Rougemont
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ennent. Ces mouvements amènent par conséquent des
véhicules
en ville, laquelle est utilisée davantage pour les bureaux. C’est ain
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n pas, au moins, envisager de mettre au point des
véhicules
qui au lieu de durer cinq ans, si tout va bien, durent vingt ou trent