1 puis quelques années à tant de traductions qui ne valent pas dix pages de ce roman ! La mode passe, le public se fatigue, para

2 es minutes. La Suisse s’est unie en neuf mois. Il vaut la peine de s’arrêter devant ce fait, pour mieux se persuader qu’on p

3 s serez oubliés cet automne. Si vous croyez qu’il vaut mieux ne rien faire, ou qu’on ne peut rien faire de sérieux, vous pou

4 de l’Europe ! Il y va de notre indépendance, qui vaut mieux qu’elles, et qu’elles sabotent. Le peuple suisse, il y a cent a

5 . Voilà l’ennemi, et non point Vichinsky. Et cela vaut pour tous ceux qui pourraient déclarer que l’Europe sera toute cathol

6 incipes. Or une Europe qui se moque des principes vaut beaucoup moins qu’une Amérique qui les professe, et ne vaut rien en f

7 oup moins qu’une Amérique qui les professe, et ne vaut rien en face des Russes qui les assènent. Il faut des actes, dit-on.

8 riche et souvent généreux, pourvu d’une plume qui valait une armée, et d’un mauvais esprit qui valait cent vertus. « Marchez t

9 qui valait une armée, et d’un mauvais esprit qui valait cent vertus. « Marchez toujours en ricanant dans le chemin de la véri

10 est là m’accuser d’un acte bien défini, qui m’eût valu un peu plus, croyez-moi, que les quinze jours de forteresse auxquels

11 que. Il n’y a aucune espèce de valeur humaine qui vaille les destructions physiques et morales qu’entraînerait la bombe atomiq

12 pel lancé par de Gaulle à Londres. Cet article me valut une condamnation à quinze jours de forteresse « au pain et à l’eau, s