1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
1 lgarisait, tout récemment encore, le timbre-poste vendu au profit des « intellectuels en chômage ». Ou bien l’on s’imagine un
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
2 etzsche ? Qui voudrait de ce Zarathoustra dont on vendit , lorsqu’il parut, 15 exemplaires ? Nul ne peut plus se payer de telle
3 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
3 e la culture (1er mars 1937)f Si les livres se vendent si mal, et si le public ne se rend pas compte de l’importance réelle
4 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
4 ournée. À neuf heures, Willkie semblait mener. On vendait à la criée les derniers stocks de boutons au nom des candidats. À dix
5 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
5 ossé au Jura, s’approche assez de Genève pour lui vendre ses bœufs, mais s’arrête avant de toucher les rives du lac ; les pays
6 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
6 xistait pas avant. Les premières années, Ford n’a vendu que cent ou deux cents voitures. En 1909, il en avait vendu 18 000, e
7 cent ou deux cents voitures. En 1909, il en avait vendu 18 000, en 1919, 1 million et en 1924 7000 par jour. Aujourd’hui, les
8 jamais demandé ce qu’il adviendrait si au lieu de vendre cent ou deux cents véhicules par an, il en vendrait des millions. Il
9 vendre cent ou deux cents véhicules par an, il en vendrait des millions. Il ne s’est jamais interrogé sur les conséquences au ni
10 me rappelle ce que l’on dit aux États auxquels on vend des centrales : « Surtout ne faites pas de mal avec ». Ils le jurent