1 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
1 e touche le fond de la détresse humaine. C’est un vieux pasteur un peu ivrogne, un vieil ours intraitable, toujours dressé co
2 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
2 ontrastent si fortement avec les scléroses et les vieilles rancunes de la vie politique européenne : ce secret réside peut-être
3 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
3 du Sénat, le président jura, la main posée sur sa vieille Bible de famille, en langue hollandaise, qu’il avait choisi d’ouvrir
4 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
4 e de service à côté du portail d’un ministère. Un vieux monsieur très grand, vêtu de noir, aux pantalons étroits, aux longs s
5 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
5 ème de l’unité européenne. Quand il regarde notre vieux continent, il n’y voit, si j’ose dire, que ce qui n’y est pas ; il vo
6 rité ; et derrière le veto se cachent en fait les vieux nationalistes, les daltoniens, et les totalitaires cyniques. (Ou bien
6 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
7 européens et ces prairies entre deux bois de très vieux chênes, où persiste un tapis de brume. Aux bords de ce ruisseau qui l
8 ranguer le bon peuple à la sortie de la messe, en vieux père de famille. C’est ici que la publicité fut inventée. Voltaire n’