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vient troubler, aucune voix haute, aucune couleur
vive
. Les journaux qu’ils lisent annoncent chaque jour quelque catastrophe
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ure, il ne reste qu’une solution : que l’écrivain
vive
de sa plume. Or, c’est cela qui devient impraticable ; ou si praticab
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crois au contraire qu’elles affectent les sources
vives
de notre civilisation. C’est pourquoi le problème apparemment seconda
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dérisoires, de vos alinéas, et le sentiment très
vif
de mon néant devant l’ampleur de la mission qui vous anime, ou qui pe
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elle est répugnante, il aurait une réaction assez
vive
. François Peyrot : Il n’y a pas d’invention au monde qui n’ait été fa